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Prix
Bernard Plossu
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En Inde, en Italie, en Andalousie, en Grèce, en France, Plossu dérobe des fragments du monde. Faisant alterner scènes urbaines et paysages majestueux, le photographe pose sur les oiseaux un regard à la fois tendre et curieux que souligne la qualité onirique et « surréelle », comme l'a précisé le critique Francesco Zanot, de ses images. Partout où il promène son appareil, Plossu s'impose une seule et même règle : la sobriété, obtenue grâce à un objectif de 50 mm. « C'est mon seul style, précise-t-il, ce qui me permet d'affirmer que mon style, c'est de ne pas faire de style ». Les oiseaux de Bernard Plossu nous semblent parfois bien familiers, peuplant cours d'immeubles, toits des campagnes ou fils électriques, d'autres, les ailes déployées, jouent avec les vents ascendants qui sifflent en altitude et attisent la fascination et le désir qu'ont depuis toujours les hommes de voler.
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La collection 36 vues invite un photographe à raconter, avec ses mots, l'histoire de trente-six de ses images.
On ne présente plus Bernard Plossu.
De Mexico City à La Ciotat, en passant par Delhi, cet infatigable voyageur traque la poésie depuis plus de cinquante ans. Toujours entre deux trains, l'homme au Nikkormat s'est laissé convaincre de raconter l'histoire de trente-six de ses images. Certaines ont fait comme lui le tour du monde, d'autres sont montrées ici pour la première fois.
Vous allez voir, personne ne raconte Plossu comme Plossu ! -
Paris sixties
Bernard Plossu, Olivier Renault
- Exhibitions International
- Yellow Now
- 15 Septembre 2023
- 9782873404994
Les sixties... un air de liberté flotte, l'émancipation devient un sujet central, les guerres coloniales françaises s'achèvent enfin, les hippies clament la paix sur terre. Les fleurs deviennent un motif de puissance, inondant de couleur les robes, les chemises et les jupes qui raccourcissent. [...] On découvre le blues, le folk et le rock : on chante, danse et bouge autrement. La Nouvelle Vague déferle avec force, changeant le regard sur le cinéma et la vie. Bernard Plossu, jeune photographe qui se rêve aussi cinéaste, arpente la capitale, projetant sans doute de la mettre en scène comme savent si bien le faire Godard ou Truffaut. Entre 1961 et 1968, il filme Paris en 8 mm, sous tous les angles, dans divers quartiers, captant l'ancien comme le nouveau - et même ce qui est en cours de construction ! De ces films ont été tirés des photogrammes ; arrêts sur image comme autant d'instantanés parvenant jusqu'à nous avec leurs ailes de papillon pour nous souffler doucement au visage ce que fut l'air de ce temps...
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Lire / écrire
Bernard Plossu, Bernard Noël
- Yellow Now
- Cote Photo - Images
- 15 Mars 2019
- 9782873404420
Cet ouvrage s'inscrit dans la collection Les carnets, une collection - mise au point avec Bernard Plossu - qui se propose de revisiter les archives d'un photographe ou d'un collectionneur et d'en extraire des séries thématiques (des faits, des objets, des situations, des évocations...).
Bernard Plossu a extrait de ses archives des images montrant des lecteurs ou des lectrices - au Mexique en 1966, en Inde en 1989 ou à Paris en 2017 - en train, en rue (souvent) ou au lit (parfois) ; des écrivains au travail - Perec, Butor, Bailly ou Noël ; des librairies et des bibliothèques - à Palerme, à Berkeley ou à Delhi ;
Des hiéroglyphes et des graffitis - en Égypte ou à Toulon. Pour notre plus grand bonheur de lecteur.
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Quelque part, j´aime bien être là où l´on ne m´attend pas. Ce n´est pas parce que j´aime la photographie ""poétique"" à la Boubat ou Frank que je n´aime pas, ou ne sais pas apprécier autre chose. D´ailleurs, dès le début des années 1970, j´avais photographié ainsi en série au 50 mm les cinémas de l´Ouest américain, et tous les écriteaux ou symboles du mythe des cow-boys et des Indiens. C´est ainsi qu´un jour je me retrouvai consciemment à Düsseldorf, voulant, à ma manière, rendre hommage à cette célèbre école de photographie. Comment faire?? Je ne me sers pas d´une chambre?! Mais avec la rigueur du 50 mm à laquelle je crois dur comme fer, il était possible de photographier telle quelle cette ville moderne contemporaine. Au 50 mm, aucune déformation ou effet et ainsi, je pus m´inscrire dans cette approche düsseldorfienne.
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Paris, encore et toujours, pour cet amoureux de la capitale, Paris qu'il a tant photographiée... Mais Paris-Matic... photographiée - en 1970 puis 1990 - à l'Agfamatic, cet appareil jetable, presque un jouet, qu'un photographe pourrait ne pas prendre au sérieux... Pourtant, Bernard Plossu joue avec les possibilités de l'appareil, si différentes de celles de son Nikkormat professionnel, et nous offre ici un nouveau regard "instantané" sur la ville...
"Photos faites à l'Agfamatic, "pour enfants" c'est-à-dire d'une "technique enfantine"... Rien à régler, on met juste sur le petit dessin de nuages ou de soleil. Un rêve I Et en fait d'enfantin, ce sont les appareils les plus révolutionnaires I Pensez, il n'y a même plus à régler, il suffit d'appuyer : on peut photographier avant même qu'on ait eu le temps de se demander si on allait prendre la photo ou pas ! On n'a même plus le temps d'hésiter Plus rapide que du reportage ! " B.P.
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Les carnets Tome 1 ; 2CV, un air de liberté
Bernard Plossu, Pierre Devin
- Yellow Now
- 22 Janvier 2014
- 9782873403447
Plossu en quelques mots-clés :
La Cinémathèque française, Bergman, Dreyer, Antonioni, Bunuel, Jessua, Bresson, le western, la Nouvelle Vague, le néo-réalisme, la contre-culture, la Beat Generation, les hippies, le Mexique, San Francisco, les Chiapas, le Nevada, l'Inde, l'Afrique, le Niger, les déserts, la route, la poussière l'Andalousie, l'Italie, la Turquie, le Nord, la pluie, la brume, Paris, Bruxelles, les chiens, Charleroi, les chats, la Haute-Provence, Hyères, Marseille, le Jura, Almeida, Madrid, Françoise, Joaquim, Manuela, en bus, en train, à pied, la couleur Fresson.
Des premières photos en 1965 à aujourd'hui, des dizaines de milliers de clichés, autant d'instants capturés dormant dans des boîtes. Une petite partie émerge. Dans des expositions parfois, dans des livres souvent, ou en cartes postales.
Avec la complicité de Bernard Plossu nous projetons de mettre en oeuvre une nouvelle collection de recueils de ses images - pour la plupart inédite - privilégiant une approche thématique (les 2CV, les inscriptions dans l'image, la pluie, la brume, Magritte, le néo-réalisme.) et transversale (toutes les époques, tous les lieux, toutes les techniques.).
Chaque volume, de petit format (12 x 17 cm), comprendra, suivant les thèmes abordés, entre 60 et 100 photographies. Il sera accompagné d'un texte rédigé par un critique ou un écrivain.
Rythme de parution : 2 volumes par an.
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à boire et à manger
Bernard Plossu, Claude Deloffre
- Yellow Now
- Les Carnets
- 5 Octobre 2017
- 9782873404123
Cet ouvrage s'inscrit dans la collection Les carnets, une collection - mise au point avec Bernard Plossu - qui se propose de revisiter les archives d'un photographe ou d'un collectionneur et d'en extraire des séries thématiques (des faits, des objets, des situations, des évocations...) ; dans chaque volume, un texte dialogue avec les images.
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Far out ! les années hip : Haight-Ashbury, Big Sur, India, Goa
Bernard Plossu
- Médiapop
- Sublime
- 25 Mai 2011
- 9782918932024
Bernard Plossu découvre la Californie en 1966, un an avant le Summer of Love. En pleine période hippie, il fréquente la City Lights Bookstore, croise Joan Baez et ses soeurs, rencontre Henry Miller et photographie sans arrière-pensée ses amis artisans, écrivains et artistes (certaines de ces photographies sont inédites, notamment les images en couleurs de 1966 à Haight-Ashbury). En 1970, attiré par l'Inde, Bernard Plossu se rend à Ceylan puis à Goa. Sincèrement hippie, il vit son époque intensément non sans une certaine naïveté.
Dans les deux reportages publiés par Rock & Folk en 70 et 71 et intégralement repris ici (textes et photos de Bernard Plossu), il raconte sa quête d'amour et son aspiration à la paix à travers ses voyages et ses rencontres puis ses premières désillusions quand il se rend compte que l'anticonformisme est devenu une mode et que le rêve hippie est en passe d'être recyclé en business lucratif. Quarante ans après, Bernard Plossu revient sur ses années hip, ses débuts dans la photographie, son goût puis son dégoût pour le "grand angle" qu'il finira par abandonner définitivement. Ce livre touchant témoigne d'une époque qui marqua à jamais Bernard Plossu et nous rappelle que pendant quelques années, les hippies crurent sincèrement qu'un monde meilleur et une vie plus proche de la nature étaient possibles.
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Des millions d'années... la réserve géologique de Haute-Provence
David Le Breton, Bernard Plossu
- Yellow Now
- Cote Photo - Images
- 14 Septembre 2010
- 9782873402631
C'est parce qu'il est marcheur et photographe que j'ai invité Bernard Plossu en 1994 avec le désir de lui faire connaître les monts et vals de Haute-Provence, sur les pas des géologues qui, comme moi, les ont arpentés, depuis plus d'un siècle.
Depuis cette date, comme eux, parfois avec eux ou d'autres amis marcheurs, Bernard Plossu parcourt à pied cet immense territoire protégé dont il fait l'inventaire des paysages ; ceux de la vallée du Bès, du plateau de Chine, des Glues du Péouré, du pic de Couard, du pas de Labaud, de la montagne de Coste-Longue, de la barre de Géruen, des Terres noires, de la montagne du Cheval blanc et tant d'autres.
En photographiant ces lieux Bernard Plossu procède à leur invention paysagère. Ainsi son travail vient-il rejoindre l'action du musée Gassendi de Digne, musée à ciel ouvert qui propose à des artistes contemporains d'inscrire leurs productions au coeur du territoire naturel. C'est ce musée qui, en 2010, a souhaité que les photographies de Bernard Plossu deviennent aussi un livre, avec l'apport d'un texte de David Le Breton sur la marche, la Réserve et le lointain Ouest.
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Hôtel
Liliane Giraudon, Jean-jacques Viton, Bernard Plossu
- Argol
- Interferences
- 29 Avril 2009
- 9782915978490
Né de la rencontre - pas du tout fortuite - entre le photographe Bernard Plossu depuis longtemps apprécié par les deux écrivains, sa série de photos de chambres d'hôtel, (Palerme et Gênes) a donné vie à ce livre à trois « voix ». Chacun d'eux a écrit en vis à vis de chacune des photos un petit texte fictionnel formant une sorte de récit énigmatique. Le livre se compose donc de deux parties : « Palerme Fonction Silence » de Liliane Giraudon et « Gênes Fonction Basilic » de Jean-Jacques Viton.
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Pages de mémoire ; bibliothèque humaniste de Sélestat
Alberto Manguel, Bernard Plossu
- Médiapop
- 22 Août 2015
- 9782918932376
Installée à la fin du XIXe siècle dans une ancienne halle au blé, la Bibliothèque Humaniste de Sélestat a fermé ses portes fin 2013 pour une vaste opération de rénovation et d'agrandissement. Ce joyau était devenu au fil du temps un lieu tout à fait atypique, à la fois musée et bibliothèque, où l'Eloge de Sélestat par Erasme faisait vitrine commune avec le premier texte mentionnant l'Amérique, et où manuscrits et incunables côtoyaient une tête de Christ, des statues de saints, des porte-cierges de corporations et un plan en relief de la ville...
Pour garder trace de cette atmosphère unique, de ce génie des lieux si particulier, les Amis de la Bibliothèque Humaniste ont souhaité qu'un grand photographe, Bernard Plossu, pose sur le noble établissement un dernier regard avant transformation. Il a rapporté de cette visite une quarantaine de photographies, qui sont désormais autant de pages de mémoire. Elles font l'objet de ce livre, auquel l'écrivain Alberto Manguel, qui a longuement séjourné à Sélestat pour son Histoire de la lecture (Actes sud), contribue en nous livrant une belle méditation sur l'universalité des bibliothèques.
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Né au Vietnam en 1945, nourri de la contre-culture américaine et de l'esthétique de la Nouvelle Vague, Bernard Plossu souhaitait devenir cinéaste.
C'est en photographe atypique, inclassable qu'il trace ainsi depuis le début des années 1960 son parcours en solitaire, en marge du reportage, de la photographie plasticienne et des modes, « pour être, nous dit-il, de plain pied avec le monde et ce qui se passe. » Pour ce cinéaste de l'instant donné, photographe du mouvement, la photographie est le moyen d'arrimer la pensée à une connaissance personnelle et physique du monde. Rencontres fortuites, stratégies furtives et rapides des sentiments... Bernard Plossu nous montre à quel point on saisit le monde à travers le corps et le corps à travers le monde.
La carte «25_Lisbonne» rassemble plus de 30 photographies en noir et blanc prises par Bernard Plossu à l'occasion de plusieurs séjours à Lisbonne, ville pour laquelle il a une affection toute particulière.
Bernard Plossu a fait l'objet de nombreuses expositions et de nombreuses publications, mais c'est la première fois que ses images font l'objet d'une carte !
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Porquerolles, les années douces
Bernard Pesce, Bernard Plossu, François Carrassan, Olivier Martocq
- Arnaud Bizalion
- 10 Juillet 2018
- 9782369800880
Bernard Pesce est né et a grandi à Porquerolles dans une famille d'immigré italiens. Dans les années 80, 90, et 2000 il y revient régulièrement et vit à fond ce que lui offre ce joyau de la méditérrannée. Il côtoie les habitants à l'année pêcheurs, artisans, mais aussi les marginaux qui vivent là, à l'abri des lois du continent. Balades, baignades, apèros à l'ombre des canisses, et premières amours. Une photographie sensible, impulsive, sans détours toute en charme.
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Periferia ; échos du néo-réalisme
Bernard Plossu, Alain Bergala
- Yellow Now
- 29 Octobre 2015
- 9782873403683
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Une ville marquée par l'Histoire : cela se dit de beaucoup d'entre elles, mais à Berlin qui, pour l'histoire récente - celle des deux siècles passés - devrait être l'emblème même d'une telle empreinte, le paradoxe est que, plus de vingt ans désormais après la réunification, cela ne se voie plus tellement. Certes, les traces, pour qui s'en ferait le sourcier, restent nombreuses, et plus particulièrement dans certains quartiers, mais dans ce que l'on pourrait appeler le centre et, par conséquent, là même où les destructions puis la visibilité de la division furent extrêmes, l'impression majeure que ressent le visiteur est celle d'une ville neuve et moderne, en partie transparente, où il semble que la volonté d'oubli (mais est-ce vraiment une volonté, ou un réflexe vital ?) ait triomphé.
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Bernard Plossu parcourt l'Ouest américain de 1966 à 1985. Du Nouveau Mexique à la Californie, via le Nevada, l'Utah, l'Arizona, il photographie les signes, signaux, néons, panneaux et façades sur lesquels apparaissent cowboys et Indiens le long des routes qui traversent le désert. Par dérision, il appelle la série « De Buffalo Bill à Automo Bill ». Sous le regard amusé du photographe, les anciens ennemis, le cowboy, avec ses colts à la ceinture et son chapeau, et l'Indien, avec son tomahawk et sa coiffure en plumes, se livrent désormais une guerre commerciale en étant investis comme enseignes de boutiques rivales. Selon David Le Breton, ces photographies témoignent de la nostalgie inguérissable d'un monde amérindien disparu dont Bernard Plossu a longtemps rêvé. L'ombre des populations indiennes ayant vécu dans sa proximité continue à hanter le désert. Il y a là dans ces rochers et dans la nostalgie de la mesa, l'image possible d'une existence où la fêlure serait atténuée, où une hospitalité serait enfin pensable. Mémoire d'un monde sans séparation mais voué au dépouillement, à l'essentiel, à l'élémentaire.
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Deux photographes pour une série inédite Bernard Plossu et sa compagne Françoise Nuñez présentent Ensemble. Photographe et voyageurs, ils ont accepté d'aller fouiller dans les valises d'images de l'autre.
Voyages d'hier, portraits d'ailleurs, les oeuvres sélectionnées nous apportent le monde. L'exotisme ou le dépaysement ne priment pas dans ces images, mais plutôt la recherche sensible de l'autre.
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Deux voix, deux personnes qui se rencontrent, qui s'entretiennent, qui se connaissent depuis longtemps. Max Pam, photographe Australien et Bernar Plossu son ami, grand photographe français.
Max Pam (né à Melbourne en 1949) est un photographe australien.
Son oeuvre majeure est Going East, récit photographique de ses voyages en Asie durant les années 1970 et 1980.
Adolescent Pam durant l'après-guerre vit dans une banlieue de Melbourne qu'il trouve sombre, oppressante et culturellement isolé.
Il trouve alors refuge dans la contre-culture du surf et produit des images pour le National Geographic et Surfer Magazine, il décide alors de voyager.
Pam a quitté l'Australie à 20 ans, après avoir accepté un emploi en tant que photographe auprès d'un astrophysicien. Ensemble, ils partent en Volkswagen de Calcutta à Londres. Cette aventure a été une source d'inspiration, et le Voyage est resté un maillon essentiel et continu dans son développement créatif et personnel.
Comme Gary Dufour l'a noté dans son essai sur l'océan Indien (Steidl, 2000): «Chaque photographie est façonnée par les incidents vécus par le voyageur. Chaque photo est l'enregistrement d'une expérience, l'histoire personnel d'une rencontre quelque part dans le monde. Chaque séquence fait partie d'une histoire qui se développe plutôt qu'un simple enregistrement d'un lieu observé.
Chaque voyage enrichit sa production, les photographies de Pam ne sont pas les images accidentelle d'un touriste».
Pam emmène le spectateur dans des voyages à travers le monde, et l'on retrouve dans ses photographies une intensité souvent surréaliste, correspondant à la prise de conscience sensorielle accrue de ses voyages. Son travail implique souvent un voyage intérieur, qui correspond avec le voyage physique.
Son travail dans les pays asiatiques, en Europe et en Australie à été largement publié par les magazines ainsi que ses images sur les cultures de l'océan Indien Rim : l'Inde, le Pakistan, le Myanmar, le Yémen, la République de Tanzanie, Maurice, Madagascar. Les images laissent le lecteur, comme le dit Tim Winton dans l'ouvrage Going East (Marval, 1992), «reconnaissant d'avoir été pris si mystérieusement par surprise et embarqué si doucement à l'étranger.»
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Mediterranean Metaphysics is the subtitle of this photographic project by French artist Bernard Plossu, which brings together 106 images taken over the course of thirty years in the south of France, Spain, Greece, Italy and Turkey Photographs in which the omnipresent white light eclipses people, in a visual exercise that reflects upon the real dimension of landscapes and architectural weaving-images shaping timeless spaces, an almost dreamlike journey through time and light.
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8 / super 8
Christophe Berthoud, Bernard Plossu
- Yellow Now
- Cote Photo - Images
- 12 Juin 2012
- 9782873403058
Redécouverts. Plossu Cinéma, publié en 2010, avait souligné les affinités du photographe avec l'esthétique et l'univers des cinéastes de la Nouvelle Vague. En écho à ce livre, 8 / SUPER 8 revisite la matière filmique issue d'un corps à corps inaugural de l'artiste avec la caméra, ses réponses visuelles à la stimulation des salles obscures fréquentées assidûment avant de les déserter pour substituer à l'écran le rectangle du viseur.
Chronologique, le livre se présente comme un apprentissage: celui d'un postadolescent, amoureux d'une héroïne qui semble issue des films de Godard et Truffaut, qu'il fait jouer et rejouer dans la lumière, sur la plage, au Trocadéro... ; l'apprentissage d'un jeune homme de 20 ans qui part au Mexique, fait l'expérience de la route, se confronte à une culture autre, tout en retrouvant les paysages familiers des westerns; puis la découverte d'une société hippie traversée d'idéaux généreux, dans le berceau californien d'où elle essaimera ensuite.
Les photogrammes rendent compte de la dimension à la fois individuelle et collective d'une épopée que l'esthétique amateur nous rend étonnamment proche.
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The raw edge ; Vière et les moyennes montagnes
Richard Nonas, Bernard Plossu
- Yellow Now
- 14 Mars 2012
- 9782873402969