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Thierry Jousse
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B.O. ! bandes originales : une histoire illustrée de la musique au cinéma
Thierry Jousse
- Epa
- Musique & Arts Vivants
- 9 Novembre 2022
- 9782376710776
Dans l'imaginaire du cinéma, la musique de film a été longtemps considérée comme un parent pauvre. Aujourd'hui, alors que ce genre connaît un véritable engouement, l'histoires de B.O. de films est encore trop méconnue.
De l'âge d'or hollywoodien aux blockbusters contemporains, de Bernard Herrmann à Alexandre Desplats en passant par Geroges Delerue, Ennio Morricone ou John Barry, ce livre illustré retrace l'histoire de la musique au cinéma. À travers des documents d'archives (scènes de films, affiches, portraits), (re)découvrez les musiques et les films qui nous enchantent encore et toujours ! -
Dictionnaire amoureux de la musique au cinéma Tome 1 : dictionnaire enchanté de la musique au cinéma
Thierry Jousse
- Marest
- Essais
- 26 Août 2022
- 9791096535279
Que serait le septième art sans la musique ? Depuis les mariages légendaires entre cinéastes et musiciens (Hitchcock et Herrmann, Leone et Morriconne) jusqu'aux chansons de Christophe, de Chet Baker à David Bowie, du cinéma de Clint Eastwood à celui de Claire Denis, des compositions de Georges Delerue à celles de Burt Bacharach, ce dictionnaire aborde le sujet sous tous les angles. écrit avec un plaisir contagieux, mêlant générosité et érudition, cet ouvrage est une invitation à redécouvrir le continent encore trop méconnu des musiques au cinéma.
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Découvrez David Lynch, le livre de Thierry Jousse. David Lynch (États-Unis, 1946) est le réalisateur culte par excellence, dont le mythique Mulholland Drive (2001) a contribué à faire entrer le cinéma dans le vingt et unième siècle. Trois décennies plus tôt, sa carrière débutait avec l'inclassable Eraserhead (1977), bientôt suivi de Blue Velvet (1986), Sailor et Lula (1990), puis Lost Highway (1997). Le cinéma de Lynch invite le public à de nouvelles expériences sensorielles, où la logique narrative se désagrège pour mieux mystifier le spectateur. S'il appartient bel et bien au système des studios hollywoodiens, Lynch n'a jamais cessé d'en explorer les marges, inventant par exemple au début des années 1990 un nouveau genre de série télévisée avec Twin Peaks. Son talent aux multiples facettes s'exprime dans des médias aussi divers que la photographie, la peinture, la musique, et ses oeuvres s'exposent désormais dans les musées et les galeries d'art.
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Le nom de ce jeune cinéaste chinois de Hong Kong n'est pas encore très familier du grand public en
France et pourtant son film In the Mood for Love a connu un énorme succès d'abord en salles puis
en DVD. Il est devenu mythique pour toute une génération de spectateurs avec ses deux acteurs
beaux et mystérieux, Maggie Cheung et Tony Leung, son ambiance onirique, ses costumes d'un
style inoubliable, sa musique obsédante.
Son nom va bientôt faire la une des médias puisqu'il est le président du jury du prochain festival de
Cannes en mai 2006. Et le prochain film au programme du baccalauréat option cinéma à partir de
juin 2007 est sa dernière oeuvre : 2046.
Son style est reconnaissable entre tous : un style hérité à la fois du cinéma de sabre chinois et du
cinéma d'action de Hong Kong, mais qui doit aussi beaucoup au cinéma occidental tendance
Nouvelle Vague. Il est associé depuis ses premiers films avec le même chef-opérateur talentueux :
Christopher Doyle.
Wong Kar Wai a puisé l'inspiration de ses scénarios et de ses personnages au romantisme déjanté
dans la ville de Hong Kong en proie à l'angoisse et au doute à l'heure de son rattachement à la
Chine populaire.
Après un premier film de gangsters, librement inspiré de Scorsese, il trouve un ton personnel
affirmé. Ses principaux films sont Les Anges déchus, Chungking express, Happy Together, Les
Cendres du temps, Nos années sauvages.
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Avec cette anthologie, c'est l'histoire d'un regard et d'un discours critique qui est racontée à travers l'exploration des formes télévisuelles que sont les dramatiques télé, les débats politiques, les émissions littéraires, les séries, le cinéma à la télé, les matchs de football, les documentaires de création, les clips ou la télé-réalité, sans oublier quelques moments forts de notre histoire contemporaine et télévisuelle comme la chute de ceaucescu, la guerre du golfe, le procès barbie ou la guerre en irak.
Tout à la fois réflexion historique et ontologique sur l'évolution d'un médium et questionnement sur l'existence d'une critique de télévision, le goût de la télévision fait coexister dans un même ouvrage, andré bazin, eric rohmer, andré s. labarthe, gilles deleuze, serge daney, jean baudrillard, olivier assayas, paul virilio avec jean-christophe averty, pierre bellemare, serge moati, pierre dumayet, bernard pivot, guillaume durand ou pierre chevalier.
Les cahiers du cinéma n'ont cessé, depuis le commencement de leur histoire en 1951, d'écrire sur la télévision. le premier numéro des cahiers y consacrait déjà un article, alors intitulé " film, cinéma et télévision ". considérée d'abord comme un espace utopique, ouvert à tous les possibles, la télévision est peu à peu devenue, pour les cahiers, un sujet de réflexion, depuis l'expérience des pionniers de l'ortf comme pierre sabbagh, pierre lazareff, stellio lorenzi jusqu'aux tentatives de quelques grands cinéastes comme hitchcock, renoir, welles, rossellini, godard ou fassbinder, pour investir le medium.
Après 1981, et les multiples modifications du paysage audiovisuel (création de canal +, irruption des chaînes privées, arrivée d'arte, généralisation du câble et du satellite. ), la télé prend une place grandissante dans la revue mais devient dans le même temps de plus en plus polémique. l'institut national de l'audiovisuel conserve la mémoire de la télévision depuis ses origines. en s'associant à cet ouvrage, l'ina a souhaité proposer de nouvelles clés de lecture pour l'histoire de la télévision et de des programmes.
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Pendant les travaux, le cinéma reste ouvert
Thierry Jousse
- Cahiers Du Cinema
- Essais Cahiers Du Cinema
- 22 Mars 2003
- 9782866423544
L'ambition de ce livre est de tracer le portrait d'un moment clé du cinéma, les années 90, où les mutations économiques, esthétiques, technologiques ont obligé le cinéma à s'interroger sur lui-même et à penser son avenir sur fond de prolifération d'autres images.
Ce livre s'ouvre sur une réinterprétation de la Nouvelle Vague, période qui a façonné l'auteur dans ses racines de spectateur de cinéma, et s'achève sur les interrogations les plus contemporaines autour de l'image, du côté des événements du 11 septembre 2001 et de la téléréalité. Entre les deux, le livre suit l'évolution du cinéma français contemporain et ses auteurs importants (Brisseau, Desplechin, Claire Denis, Catherine Breillat.
), explore certaines voies majeures du cinéma européen (Monteiro, Lars von Trier, Kusturica. ), analyse la vision contemporaine de l'oeuvre de grands cinéastes modernes (Nicholas Ray, Antonioni, Bunuel, Eastwood, Debord. ), évoque l'irruption du cinéma asiatique (Kitano, Wong Kar-wai, Hou Hsiao-hsien. ), les métamorphoses du cinéma américain (Kubrick, Lynch, Tim Burton, les frères Coen, Jarmusch. ) et s'arrête sur l'éclatement du cinéma touché par le clip, les séries TV, les nouveaux modes de consommation de l'image avec quelques paris pour l'avenir.
Le montage de certains de ses textes essentiels que propose aujourd'hui Thierry Jousse, rédacteur en chef des Cahiers du cinéma pendant ces années 90, dessine le portrait d'une époque qui, laissant derrière elle le thème de la mort du cinéma, l'a vu se régénérer et retrouver un horizon en mouvement. En bref, une histoire rédigée au présent, et qui continue à s'écrire aujourd'hui encore comme le montre la postface inédite à la recherche des nouveaux territoires du cinéma.
Le livre est précédé d'une préface signée du cinéaste Olivier Assayas.
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Un beau jour de 1957, le comédien john cassavetes passe à la mise en scène : ce sera shadows qu'il produit lui-même, tourné dans la rue avec des acteurs inconnus.
L'acteur promis à un destin de star est devenu un cinéaste indépendant. hollywood s'intéresse à son travail, mais après deux films pour les studios : too late blues et a child is waiting, il reprend sa liberté.
Entouré d'une petite troupe de fidèles et avec la complicité totale de gena rowlands, il se lance alors dans la réalisation de faces. husbands (1970), une femme sous influence (1975), meurtre d'un bookmaker chinois (1976), opening night (1978) et love streams (1984) sont les jalons marquants d'un parcours original face au système, qui lui donne rapidement une stature d'auteur mythique aux yeux du public européen.
Cependant, c'est une oeuvre profondément enracinée dans le cinéma américain dont thierry tousse parcourt ici les métamorphoses : du théâtre à la famille, du jazz à la peinture, du rêve à l'hystérie, des flux d'amour aux flux d'alcool.
Trois entretiens inédits avec ses amis et ses collaborateurs les plus proches - ben gazzara, seymour cassel, al ruban - dessinent la figure vivante de l'homme et de l'artiste.
Une filmographie exhaustive, incluant la carrière de l'acteur et les projets non tournés, complète l'ouvrage.
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La ville au cinéma ; encyclopédie
Thierry Jousse, Thierry Paquot
- Cahiers Du Cinema
- 21 Octobre 2005
- 9782866424114
le cinématographe est contemporain de la grande métropole à la fin du xixe siècle et exprime à merveille les nouvelles " valeurs " de la modernité portées par l'urbanisation planétaire.
le cinéma et la ville ont un destin intimement mêlé. de la ville reconstruite dans les studios des débuts du cinéma à la ville virtuelle des logiciels des films d'anticipation à images numériques, en passant par l'écrasante quantité de films tournés dans les décors naturels, c'est un incroyable livre d'images de villes que nous offre le cinéma. ce volume explore pour la première fois de façon systématique en langue française la représentation de la ville à l'écran.
90 auteurs, universitaires cinéphiles et critiques internationaux, ont rédigé cette " biographie croisée " de la ville et du cinéma. cette encyclopédie est construite en cinq parties : filmer, montrer, représenter (lumière, décor, histoire, montage, musique de film. ) ; genres et écoles (film noir, science-fiction, banlieue, western. ) ; lieux et personnages (30 courts textes personnels d'aéroport à voisinage) ; villes cinématographiques (55 portraits d'abidjan à washington, en passant par buenos aires, new york, taipei.
) et 50 cinéastes urbains (50 notices biographiques de woody allen à wong kar-wai). de nombreux professionnels (architectes, urbanistes, paysagistes, concepteurs-lumière. ) revendiquent l'influence du cinéma dans leur pratique. ils considèrent, par exemple, que l'architecture et le cinéma possèdent certains points communs, comme l'image bien sûr, mais aussi le cadrage, la lumière, le montage ou encore le rythme.
des enseignants utilisent le cinéma afin d'expliquer à leurs élèves et étudiants ce qu'est l'" espace ", l'" architecture ", le " territoire ", la " ville ", l'" urbain ", à telle ou telle époque dans telle ou telle culture, pour tel ou tel cinéaste. c'est dire si tout un public composite trouvera dans cette encyclopédie de quoi satisfaire sa curiosité. un ensemble allie la maniabilité d'une encyclopédie (ordre alphabétique à l'intérieur des parties, références bibliographiques et index) à la qualité d'écriture d'essais subjectifs et documentés.
une telle entreprise éditoriale n'est envisageable que si la passion du cinéma qui anime les auteurs se nourrit du plaisir de vivre en ville ! les deux directeurs de ce volume aiment le cinéma et la ville, la ville du cinéma et le cinéma des villes, et se complètent heureusement, thierry paquot (philosophe, professeur des universités, éditeur de la revue urbanisme et responsable de " la forme d'une ville " au forum des images) et thierry jousse (cinéaste, ancien rédacteur en chef des cahiers du cinéma).
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Le retour du cinéma
Antoine De Baecque, Thierry Jousse
- Hachette Litteratures
- 1 Mai 1996
- 9782012352018
Le point sur ce qu'on entend aujourd'hui par la « mort du cinéma » celui-ci ne fait qu'un avec la cinéphilie, à laquelle il doit quelques vérités fondatrices, qui ont été subverties par l'irruption de la modernité.
Une réflexion sur « l'après-mort du cinéma » : le temps de la mélancolie passé, nous entrons dans l'ère des mutations, qui sont d'ordre économique, technologique, perceptif ou symbolique.
Un débat des auteurs avec Arnaud Desplechin, jeune réalisateur français, qui tire la leçon de ces bouleversements, aborde le prétendu « malaise du cinéma français », les rapports des cinéastes à la critique, les nouvelles filiations...
Antoine de BAECQUE est historien, critique de cinéma et membre du comité de rédaction des « Cahiers du cinéma » ; il a publié récemment Andreï Tarkovski (Éditions des Cahiers du cinéma, 1989), Les Cahiers du cinéma. Histoire d'une revue (Éditions des Cahiers du cinéma, 1991) et dirigé Le Cinéma des écrivains (Éditions des Cahiers du cinéma, 1995).
Thierry JOUSSE a été rédacteur en chef des « Cahiers du cinéma » de janvier 1991 à janvier 1996 ; collaborateur régulier au « Masque et la Plume », il a entre autres publié John Cassavetes (Éditions des Cahiers du cinéma, 1989).