Depuis que nous sommes nés, nous apprenons les gestes que nous utilisons et répétons quotidiennement : développer des sentiments et des relations, nous préparer le matin, porter à notre bouche une cuillère, jouer d'un instrument, etc. Et puis un jour, une dépression légère embrume notre esprit, et nous semblons perdre le plaisir de ces actions et de ces gestes. Malgré les tabous encore persistants, la dépression est assez commune - une personne sur sept est atteinte d'un épisode dépressif au cours de sa vie, et une femme sur cinq. Bonne nouvelle : ces premiers épisodes peuvent être traités ; et les rechutes, évitées ! Jan Marsh, psychologue clinicienne retraitée, partage avec nous le parcours et les histoires de 5 personnes - Laura, 32 ans, Jackson, 17 ans, Kathy, 45 ans, Josie, 15 ans, et Tom, 58 ans. L'autrice nous offre alors des mots, des descriptions, les raisons possibles, et de nombreuses actions et réactions efficaces pour traverser avec indulgence une dépression légère et éviter les suivantes. À notre tour, nous pouvons (ré)apprendre à prendre soin de nous, en renforçant nos valeurs, nos forces, notre gratitude, notre capacité à faire face à la réalité et aux obstacles, à pardonner, mais aussi à trouver ou créer une communauté, à donner du sens à notre vie, et surtout à devenir notre meilleur allié pour éviter les rechutes.
Afficher tous les formats et éditions
When the Pre-Raphaelite Brotherhood (the 'PRB') exhibited their first works in 1849 it heralded a revolution in British art. Styling themselves the 'Young Painters of England', this group of young men aimed to overturn stale Victorian artistic conventions and challenge the previous generation with their startling colours and compositions.
Think of the images created by William Holman Hunt, John Everett Millais, Dante Gabriel Rossetti and others in their circle, however, and it is not men but pale-faced
Elizabeth Siddal is remembered as a Pre-Raphaelite supermodel and the muse and wife of Gabriel Rossetti. She is cast as a tragic heroine much like the Ophelia she modelled in the renowned Millais painting. But Elizabeth Siddal: Her Story overturns this myth. 'Lizzie' is presented as an aspirational and independent woman who knew what she wanted and was not afraid to let it be known. With extraordinary stories, including previously undiscovered details of Siddal's journeys across the UK and to the south of France, Jan Marsh reclaims Siddal's narrative from the historical record. She brings new perspective to the post-natal, mental trauma Elizabeth suffered after a stillbirth. Furthermore, she casts new light on the renowned story of Siddal's grave being exhumed for Rossetti's poems. Jan Marsh explores the finer, little known details of Siddal's life, including her four months at art school in Sheffield, which Rossetti's brother always denied. In addition to this, few will know how Siddal was often regarded as difficult and ungrateful. Historical record tends to forget or misremember women, but with Elizabeth Siddal: Her Story, Jan Marsh forces us to take a closer look and see a very different picture. Siddal was not passive and lacking in agency, she was a woman with a strong mind, flourishing career and an admirable talent.
Ce livre, publié à l'occasion de l'exposition éponyme à la National Portrait Gallery, met à l'honneur le rôle fondamental des femmes au sein du mouvement préraphaélite. En prévalence masculin, ce chapitre de l'art anglais a portant pu conter sur de nombreuses femmes qui de manière transversale ont habité et soutenu le mouvement en qualité de modèles pour certaines, de partenaires pour d'autres, mais aussi de créatrices de décors ou d'accessoires utilisés en suite pour les scénarios des célèbres peintures.
