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Prix
Marc Bernard
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Après la perte d'un être cher, bien des écrivains sont tentés de retracer, pour l'exorciser, l'histoire du cauchemar qu'ils viennent de traverser. Mais ce livre est exceptionnel. Du jour où il est évident que Else va mourir bientôt, commence vraiment, pour elle et son mari, une nouvelle et étrange période de bonheur. C'est le sommet de leur amour, le moment où ils s'aiment le mieux et où ils revivent tout ce que leur rencontre leur a apporté.
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Ce volume ne contient que la première partie de Mayorquinas, intitulée «Présentation de l'île»
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Mister Everywhere ; entretiens
Pierre Rissient, Samuel Blumenfeld, Marc Bernard
- Actes Sud
- Institut Lumiere
- 14 Septembre 2016
- 9782330063979
Cinéphile éclairant et éclaireur, Pierre Rissient fut, tour à tour, programmateur de cinéma, attaché de presse, distributeur, producteur, réalisateur... Dénicheur de talents également puisqu'il a oeuvré à la reconnaissance européenne d'Eastwood, Schatzberg, Coppola, Tarantino, l'Australienne Jane Campion, le Chinois de Hong Kong King Hu, ou encore le Philippin Lino Brocka. Dans cet ouvrage, il se livre à cet exercice délicat de la mémoire. Il revient sur ces auteurs qui l'ont construit, ces «monstres» qu'il a croisés (Walsh, Lang, Huston), ses envies de cinéma et ses petites histoires, ses réflexions sur le cinéma, il évoque également ces cinéastes de la liste noire ou ces talents tombés dans l'oubli...
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Un immeuble dans un quartier populaire, à Paris, dans les années 50. Le décor est campé. La concierge, Madame Hortense, connaît son monde : la dactylo du deuxième, le plombier du troisième, et sous les toits un écrivain, Marc Bernard, sa femme et ses canaris.
C'est Paris, c'est animé, ça râle, ça court, ça bavarde. L'écrivain observe, amusé, et raconte.
Parfois, il boucle ses valises, et c'est l'Espagne, le Portugal, si exotiques pour un Parisien.
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Voici la suite de La mort de la bien-aimée. Marc Bernard, marié à Else depuis trente et un ans, l'avait vue tomber malade et puis mourir. Chacun d'eux savait que la mort ne laissait à leur couple, extraordinairement uni, qu'un mince délai durant lequel l'auteur devait se consacrer à l'apprentissage de la séparation sans recours et de la solitude.«Depuis la mort d'Else je n'ai pas touché une femme.» Ainsi commence le présent livre au cours duquel Marc Bernard, mutilé par le départ de celle qu'il aimait, essaie de continuer à vivre seul, à Cala d'Or, dans l'île de Majorque. Il y entretient avec la disparue un merveilleux rapport de passion. Il retrouve Else partout et toujours, brassant leur passé de bonheur, leur entente, les silences qui les rapprochaient dans la vie et que la mort a pu transfigurer.
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Ce livre est une histoire d'amitiés.
Marc Bernard, à travers la dizaine de portraits que rassemble ce volume, nous parle de ses amis écrivains et des oeuvres qu'il admire. On voit ainsi défiler Jean Paulhan, Pascal Pia, Henri Calet ou encore Eugène Dabit à propos duquel Marc Bernard écrit : "il est des gens qu'on voit d'en bas, ou d'en haut; on a l'impression qu'il faudra crier pour qu'ils vous entendent, ou parler à mi-voix, bref qu'on ne pourra pas être en face d'eux tout à fait naturel.
Avec Eugène Dabit, rien de pareil ; il était juste à hauteur d'homme, à votre hauteur." Et c'est bien aussi à hauteur homme que se place Marc Bernard dans ces portraits.
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Durant l'hiver 1963, le romancier Marc Bernard est envoyé à Sarcelles par son éditeur. Sa mission : s'installer durant trois mois dans cette ville nouvelle, dans ce grand ensemble flambant neuf et en ramener un livre de témoignage.
Ce sera Sarcellopolis. Un essai sociologique ? un traité d'urbanisme ? Non, plutôt un récit de voyage dans un pays étrange, que Marc Bernard découvre à travers ses habitants, Sarcellois de la première heure, croqués avec humour et tendresse. Même si l'auteur entrevoit déjà que l'avenir ne sera pas toujours rose à Sarcelles...
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Si l'on portait un regard un peu rapide ou par trop manichéen sur le parcours de Marc Bernard (1900-1983), on n'y lirait que l'itinéraire convenu de l'homme de lettres.
Il écrit dans les années 30 à Monde - journal procommuniste -, en qualité de critique, où il se fait remarquer en livrant de courts essais, parfois intimes, souvent saignants : il n'est encore " personne " dans le milieu littéraire et se trouve d'autant plus libre pour s'y faire entendre. Sa carrière dans la presse écrite se poursuivra notamment dans les années 60 au Figaro. Lauréat, en 1934, du prix Interallié pour Anny, il recevra le prix Goncourt pour Pareils à des enfants...
En 1942. Mais, sous le conformisme apparent, la réalité est tout autre chez cet écrivain qui fut l'ami aussi bien de Dabit que de Chardonne, Paulhan, Arland, ou encore , et qui n'eut de cesse d'écrire en homme libre, fidèle à ses origines ouvrières. Ce sont les débuts "fracassants " que nous donnons à lire aujourd'hui, de celui qui déclara par ailleurs avoir "la volupté de l'effacement"...
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Les vautours givrés Tome 1 ; une grande famille
Tristan, Marc Bernard
- Editions Du Coprin
- 25 Novembre 2011
- 9782950524492
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Jo le paysan Tome 3 ; l'accueil à la ferme
Guillaume Legoupil, Marc Bernard
- Editions Du Coprin
- 1 Janvier 2000
- 9782950524447
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Après La mort de la bien-aimée et Au-delà de l'absence, se poursuit l'évolution intellectuelle, sentimentale et spirituelle de Marc Bernard. Cette fois, elle prend la forme d'un journal, celui d'une année. Marc Bernard a reçu un sérieux avertissement. Son coeur est malade. Il continue à vivre dans le souvenir d'Else, sa femme morte. Il va de Paris à Nîmes et à Majorque, près de la nature. Autour de lui, on vieillit et on disparaît. Mais cette approche des ténèbres s'accompagne, de façon assez inattendue chez Marc Bernard, par une découverte du monde spirituel, une sorte de certitude qui se fait petit à petit : quelque chose que l'on peut appeler Dieu existe dans la nature. «Dieu, c'est mon refus de la croire à jamais perdue.» Devant la beauté d'un ciel méditerranéen, après l'orage, le monde prend le sens d'un lumineux mystère. Que de choses étonnantes se passent encore ! L'auteur est âgé, malade, mais c'est son jeune médecin qui se tue, car il a découvert que sa femme le trompait. Étrange aussi cette relation nouvelle qui s'établit entre Marc et J., une femme avec qui, jadis, il a vécu une grande passion et qui est la mère de sa fille. Les voici malades tous les deux, s'aidant parfois, elle encore pleine de rancoeur, lui nourri de souvenirs d'autrefois. Femme courageuse, fidèle à elle-même si ce n'est aux autres. Il y a là comme un roman. Tel est ce livre dont la sincérité absolue va droit au coeur.
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L'un des principaux personnages de ce roman est une ville : Nîmes. Non seulement elle en est le cadre, comme elle l'avait été dans Les Exilés et Une journée toute simple, mais encore elle colore tout le livre, qu'il s'agisse des vieilles rues qui entourent la cathédrale, des boulevards où il est de bon ton de se montrer à certaines heures, ou des abords immédiats : la garrigue des environs de la tour Magne où, à l'époque où se situent Les Marionnettes, se dressaient les «mazets», aujourd'hui remplacés par des villas. C'est dans ce décor que vivent les personnages de ce roman. Leurs vies se poursuivent parallèlement, comme il arrive dans la vie ; elles se croisent, se heurtent parfois ou s'harmonisent, sans que jamais aucun Dieu ne noue les fils de la trame. Mais il est aussi des rencontres singulières telle celle de Pujol, sorte de notable, qui, sans souci de l'opinion publique, épouse une prostituée et découvre à l'usage que c'est une femme infiniment plus attachante qu'il ne l'avait imaginé. Il y a l'intellectuel «raté» non par médiocrité, mais au contraire par la faute de ses qualités mêmes, de son refus de se soumettre aux règles communes. Enfin il y a l'humour si particulier aux régions ensoleillées où parfois les choses sont prises au tragique, mais jamais tout à fait au sérieux.
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Marc Bernard, disparu à la fin de l'année dernière, avait terminé ce manuscrit peu avant sa mort. Dans l'esprit de ses derniers livres, et surtout de La mort de la bien-aimée, il reste un incomparable spectateur de la vie et de la nature. Avec le grand âge, il nous parle, avec humour et délicatesse, de ses petites misères. Un vieillard est peu sûr de lui:il n'a pas «le pied terrien». Il vit dans la familiarité de la fin prochaine. Il parle de Dieu, mais se fait une religion toute personnelle, qui ne doit rien aux Églises, avec une naïveté savoureuse. Cela a toujours été une de ses qualités:parler de tout en disant ce qu'il pense, sans se soucier des opinions reçues. Dans ces notes, l'écrivain fait merveille pour évoquer le souvenir d'Else, sa femme. Pour se livrer à la célébration des figues ou des amandes, l'été, dans sa petite maison des Baléares. Pour dire la timidité d'un vieil homme quand il croise une fille jeune et jolie. Sa joie soudaine si elle daigne le regarder, lui accorder l'aumône d'un sourire. Il y a aussi des histoires de gens, comme la fin de J., une des deux femmes qu'il a le plus aimées, ou le portrait de Fernando, élégant aficionado majorquin. Ce livre ne peut que plaire au public qui a été ému par les derniers ouvrages de Marc Bernard.
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Jo le paysan Tome 1 ; main basse sur la ferme
Guillaume Legoupil, Marc Bernard
- Editions Du Coprin
- 1 Janvier 2000
- 9782950524416
Jo est un paysan traditionnel qui aime passionnément son métier. Mais M.Martinel, son banquier, vient lui rappeler qu'il ne suffit pas d'être un bon paysan pour qu'une ferme, même pleine charme, soit rentable. Jo croule sous les dettes et les agios. Martinel, le banquier, veut l'obliger à se séparer de ses animaux les moins rentables : les chevaux.
La solution pour avoir une chance de sauver la ferme est simple : il faut de toute urgence les envoyer à l'abattoir. Jo est affolé. Fou de ses pur-sang, il sait néanmoins qu'ils sont la cause principale du gouffre financier dans le quel il a plongé sa ferme et dans lequel il a entraîné Annick, ses enfants Mireille et Etienne, et sa soeur Louisette.
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Un jeune homme et une jeune femme sont pris au piège de la sensualité. Isolés dans une ville de province, coupés du monde, une longue lutte les dresse l'un contre l'autre. L'auteur s'est attaché à peindre ce combat où l'amour et la haine, nourris aux sources du désir, ont des visages à peine différents, où deux êtres qui s'aiment se meurtrissent avec acharnement, cherchant par-delà la volupté une unité jamais atteinte. Peut-être est-il parvenu à montrer - car elle apparaît sous cette forme avec une violence qui l'emporte sur ses autres manifestations - que leur tourment sexuel n'est qu'un des aspects de l'inquiétude qui brûle certains. On peut suivre dans Anny, jour après jour, les efforts de ces deux jeunes êtres pour surmonter cette angoisse qui a pris le visage de la sensualité.
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Comme son titre l'indique assez, ce livre nous propose une image de la vie d'où toute gravité a été bannie. C'est un monde léger, souriant, et qui se veut tel. Ayant écrit des oeuvres où une grande part a été faite au tragique - ainsi dans Les Exilés, Une journée toute simple, Anny, et dans sa pièce jouée au Vieux-Colombier, Les Voix -, Marc Bernard semble n'avoir souhaité avec La Bonne Humeur que noter ses instants de bonheur. Un parti pris d'optimisme l'a poussé à ne prendre de la réalité que ses aspects les plus rassurants. C'est la même joie de vivre que nous trouvons dans les pages consacrées à Paris aussi bien que dans celles où nous sont montrés Amsterdam, Londres ou Majorque. Il n'est pas mauvais que, face au conformisme de l'angoisse, des écrivains de la qualité de Marc Bernard rappellent que, après tout, la vie n'est pas aussi uniformément désespérée qu'on voudrait nous le faire croire.
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