Cette nouvelle monographie consacrée au photographe américain Michael Kenna, imprimée sur papier japonais Kasadaka et reliée dans un tissu bleu profond, est publiée en association avec le Center for Photographic Art pour coïncider avec l'ouverture d'une exposition itinérante dans leur espace d'exposition historique de Carmel, en Californie, en novembre 2023. Kenna a sélectionné une image pour chaque année à partir de 1973, lorsqu'il s'est inscrit à la Banbury School of Art. En accompagnement des images, un texte de Kenna lui-même contextualise les photographies dans son quotidien.
Published to coincide with a major 2024 travelling exhibition in Tokyo, Los Angeles and London, this gorgeous new monograph presents 100 of Michael Kenna's most iconic photographs of the Japanese landscape, many published here for the first time. A perfect pairing of artist and subject, these photographs of Japan comprise perhaps Kenna's best known body of work and have been the subject of countless exhibitions throughout the world. Michael Kenna first visited Japan in 1987 on the event of his inaugural exhibition there, and he has returned dozens of time and made thousands of photographs throughout the country's vast and incredibly varied landscape. Our earlier monographs Japan and Hokkaido have been out of print for many years, so we are thrilled to announce this important new publication that includes work spanning Kenna's decades-long love affair with the country. Japan / A Love Story is beautifully printed in duotone on natural coated art paper and quarter bound in linen and silk. It opens with an essay in Japanese and English by the renowned critic and historian Kohtaro Iizawa.
Jungjin Lee's extraordinary new artist's book, Voice, comprises 46 large-scale photographs made in 2018 and 2019. While the photographs were originally made in deserts, mountains, oceans and plains, the artist writes, «My images should be seen as metaphors, a form of meditation. I do not depict landscapes or nature. The desert allows me to see my inner self, and my goal is to make images of what I feel there: the eternal sense of being open and present to the world.» Lee's work has expanded the boundaries of the photographic process to create images that are simultaneously textural and minimalist. After printing an image on hand-emulsified cotton or mulberry paper, she then alters its finish, using technological processes that result in a distinct, high contrast image. Born in Korea in 1961, Lee began photographing while a student at Hongik University in Seoul, where she earned a BFA in ceramics in 1984. After graduating, Lee worked as a photo journalist and freelance photographer. She earned an MA in Photography from New York University in 1991. While in New York City, Lee worked for the photographer Robert Frank. Later, she traveled across the country and was deeply moved by the American desert, which became the subject of several of her photographic series. Lee's work has been exhibited widely and is in countless collections, including the The Metropolitan Museum of Art, Whitney Museum of American Art, LA County Museum of Art, Houston Museum of Fine Arts, the National Museum of Modern and Contemporary Art in Gwacheon, Korea, the Seoul Museum of Art, and the Goeun Museum of Photography in Busan, Korea. Her work has been the subject of numerous publications; Voice is the Jungjin Lee's third monograph with Nazraeli Press.
Depuis plus de 25 ans, Todd Hido crée des récits à travers des scènes de banlieue lâches et mystérieuses, des paysages désolés et des portraits cinématographiques. Indépendamment de son titre, c'est un livre sur l'espoir et la beauté. Pour ces dernières images, il a parcouru les îles hawaïennes et leurs opposés météorologiques, les rives de la mer de Béring et les fjords nordiques au-dessus du cercle arctique. Même avec une telle diversité géographique, Hido capture des endroits qui semblent à la fois familiers et inconnus, accueillant et troublant. Avec cette nouvelle monographie, Todd Hido reprend là où son titre précédent Bright Black World s'était arrêté, présentant quelque 80 photographies de paysages inédites.
"À l'été 1987, j'avais 26 ans, je sortais de mes études supérieures depuis quelques années et je vivais dans un appartement abandonné à l'extérieur de Boston. J'avais reçu une résidence d'artiste dans le sud de la France, et donc, en août, j'ai J'ai pris l'avion pour Paris. J'ai passé quelques semaines chez des amis proches de la famille dans un appartement au dernier étage de l'avenue de Wagram. Je prenais un petit-déjeuner et courais dans Paris pour photographier toute la journée. Plus tard dans l'année, je pars dans le Sud pour commencer ma résidence d'artiste à la Fondation Camargo, à Cassis, une ville en bord de mer non loin de Marseille. J'ai fait des excursions d'une journée de Cassis à Arles, Aix, Marseille et Nice, et j'ai pu traiter mon film dans la simple chambre noire qui m'a été fournie. Le rythme de la vie quotidienne était plus détendu. Les gens étaient inquiets en 1987, mais pas autant qu'aujourd'hui. » - Cette collection de photographies inédites de Mark Steinmetz, réalisée il y a environ 35 ans lors d'un séjour prolongé dans le sud de la France, fournit un aperçu bienvenu de ses premières années en tant qu'artiste. Il comprend plus de 60 photographies en bichromie sur papier d'art japonais Kasadaka et reliées en lin bordeaux.
American photographer Mark Steinmetz photographed the people and environs of Atlanta's Hartsfield-Jackson International Airport between 2012 and 2019 as part of the High Museum of Art's Picturing the South series, a photographic archive that examines a range of themes specific to the American South.
The 64 black-and-white images in ATL emphasize «the quiet transitional moments in this liminal world,» writes curator Gregory J. Harris in the volume's introduction. Steinmetz captures «the more introspective moments» of travel in and out of the world's most heavily trafficked airport and includes travelers of all ages «leaving one chapter of their lives and going to another,» as the artist stated in a 2019 interview at the museum. Airline pilots, ground personnel, flight attendants, and janitors are also pictured, always working, often waiting; they share a space with the travelers but remain apart.
Steinmetz also turns his focus to the open spaces around the airport, presenting vast, overgrown, and often unpeopled areas that provide a sharp contrast to the busy workings of the airport and its constantly changing population. A selection of images taken from aircraft windows depict the graphic beauty of clouds, light streaks, and jet trails, echoing the «sense of levity and mystery» felt by those traveling, as well as those viewing the photographs.
Though taken over a period of years, this collection of images evokes the distinct timelessness of air travel, «capturing ordinary yet captivating human dramas that play out in the public spaces across the airport.» ATL is the 15th volume of Mark Steinmetz's work published by Nazraeli Press.
Born in 1961, Mark Steinmetz lives in Athens, Georgia. He is a Guggenheim Fellow, with work in the collections of the Museum of Modern Art, the Metropolitan Museum of Art, the Whitney Museum of American Art, the Art Institute of Chicago, and the Los Angeles County Museum of Art. ATL opens with an introduction by Gregory J. Harris, Keough Family Curator of Photography at the High Museum of Art in Atlanta. He graduated from Yale's MFA photography program in 1986.
Sage Sohier (1954) photographie les gens dans leur environnement depuis plus de 30 ans. Son travail fait partie de nombreuses collections publiques et privées, notamment celles du Museum of Modern Art de New York, du Musée des Beaux-Arts de Houston, du Musée d'art moderne de San Francisco, du Musée d'art de Cleveland, du Musée d'art Nelson-Atkins, du Musée d'art de Portland et du musée de Brooklyn. Cette deuxième monographie sue sur l'oeuvre de Sage Sohier, présente 57 images imprimées en bichromie sur du papier d'art japonais Kasadaka.
Cette première monographie d'Oli Kellett, Cross Road Blues, est publiée pour coïncider avec une exposition personnelle à HackelBury Fine Art de Londres. L'ouvrage présente une sélection de 33 photographies de la série emblématique du même nom commencée en 2016 lors d'une visite à Los Angeles, période qui voyait les États-Unis littéralement à la croisée de differents chemins politiques. La série a évolué naturellement à partir de là, prenant finalement un sens plus universel s'étendant à d'autres pays, y compris l'Espagne, le Japon, le Brésil et le Mexique. Admirateur du grand peintre américain Edward Hopper, qui a reflété la vie américaine dans des espaces silencieux et des moments mélancoliques, Kellett crée des photographies fascinantes de gens ordinaires attendant à la croisée des chemins, nous fournissant une métaphore contemporaine puissante.
Pour Jungjin Lee, photographier le paysage est une exploration de son propre esprit et de ses états introspectifs. Son projet Unnamed Road, déjà publié en 2015, aborde les territoires contestés d'Israël et de la Cisjordanie du point de vue du paysage. Ses images en noir et blanc sont des mondes autonomes d'immobilité et d'émerveillement. Ses images suggèrent que malgré l'apparence de fluctuation, certaines vérités fondamentales ne changent pas : tout comme la surface de l'océan est en constante évolution, ses profondeurs restent en realité figées. Dans le travail de Jungjin Lee la matérialité et la technique d'impression occupent toujours une place d'exception : depuis vingt ans, elle utilise une émulsion photosensible liquide appliquée au pinceau sur du papier de riz fait main, une méthode proche de la peinture. Dans Unnamed Road, elle emploie pour la première fois des processus numériques. Les images restent néanmoins des explorations du hasard et de l'imperfection.
Conçu comme un accompagnement à sa monographie acclamée par la critique South Central (Nazraeli Press, 2006), Mark Steinmetz se concentre ici sur Athena et Atlanta, la Nouvelle-Orléans, Memphis et East Tennessee, ainsi que sur les routes qui les séparent.
Lucas Foglia a capturé la notion subjective de paradis terrestre. Ses photographies de villes, forêts, fermes, déserts, glaciers, océans peuvent être drôles, tristes ou sensuelles mais toutes soulignent le besoin vital de l'humain de se reconnecter au naturel et au sauvage. Dans son oeuvre, Foglia s'interroge dans l'espoir de comprendre le conflit permanent qui nous anime entre modernité et nature, la manipulation de la Terre pour en tirer des ressources ou pour la sauver.
Réputé pour ses photographies modestes mais puissantes qui capturent le sentiment de non-conformité et d'isolement ressenti par de nombreux jeunes Américains, Mark Steinmetz s'est rendu à Knoxville et dans ses environs, dans le Tennessee, pour composer South Central. Le titre du livre est dérivé de la compagnie de téléphone qui dessert Knoxville, et leurs téléphones publics sont un thème récurrent dans ce travail; un rappel emblématique de la condition socio-économique de la région. L'artiste possède une étonnante capacité à reproduire simultanément la folie, l'agression et la tendresse à travers son objectif et livre avec ce livre un roman visuel puissant et touchant de la condition humaine.
Aujourd?hui photographe indépendant, Jason Langer a longtemps travaillé comme assistant et tireur pour des grands noms de la photographie noir et blanc comme Arthur Tress et Michael Kenna. Possession regroupe des clichés de New-York, Paris et la Nouvelle Orléans, dans des noir et blancs d'une rare perfection, auxquels viennent se mêler des photographies de corps féminins, nous plongeant dans une atmosphère poétique proche du film noir.
Monographie publiée à la suite de l'exposition de Kim Jungman au Musée de la Photographie de Séoul. Les visions de l'artiste coréen, considéré parmi les hommes culturels les plus influents de Corée en 2000, sont des instants volés au temps dans un monde en constante mutation.
Réédition de la première série publiée de Todd Hido pour les 20 ans de sa parution. Dans cette série, le photographe présente des vue grand format de l'extérieur et parfois de l'intérieur de maisons de banlieue présentant une fresque étonnamment nostalgique de la morosité des suburbs américians.
One of the great New York guitar sophisticates - Rolling Stone Hearing Voices is a collection of lyrics by songwriting great Dean Wareham. Born in Wellington, New Zealand, Wareham moved to New York City as a teenager, in August 1977. It was here, in high school, that he met future bandmates Damon Krukowski and Naomi Yang. All three went on to attend Harvard University, and in 1987 founded Galaxie 500, for which Wareham was the singer, guitarist and principal songwriter. Galaxie 500 released three albums (for Rough Trade) between 1987 and 1991 that have only grown in stature and influence. Wareham's next band Luna recorded seven albums for Elektra and Beggar's Banquet (including Penthouse, on Rolling Stone's list of best albums of the 90s), followed by four albums as Dean & Britta (with wife Britta Phillips), and three simply as Dean Wareham, including his most recent album I Have Nothing to Say to the Mayor of L.A. Wareham is also a writer; his memoir, Black Postcards, was published by Penguin, and he has contributed to Salon, Pitchfork, the Talkhouse and Counterpunch. Hearing Voices is the first published collection of his lyrics, and is the result of a unique collaboration with the artist Ed Templeton, who created the illustrations for the book. Ed Templeton's drawings, paintings and photographs have been widely exhibited and published in the United States, Europe and Asia. Hearing Voices is his fifth title with Nazraeli Press. Wareham always sounds like Dean Wareham-vulnerable, weary, faintly comical, unhoodwinkable-with a singing style heavily indebted to punk and post-punk, and an approach to the electric guitar that is lyrical without being showoffy. - Rick Moody For erudite wit and dream tuneage, you won't find better - Mojo Magazine Dean's catalogue contains unimpeachable masterpieces - Uncut Magazine Galaxie 500 were the ultimate cult group, a band who set the stage for the indie scene of the 21st century. - Bookforum
En 1960, Enrico Natali, alors assistant du photographe Anton Bruehl, réalise des instantanés du métro new-yorkais qui témoignent de la vie de personnes ordinaires vaquant à leurs occupations quotidiennes. C'est cette série de photos qui lui fit prendre la décision de devenir photographe.
Entre 2006 et 2013, Lucas Foglia a sillonné les grands espaces ruraux du Montana, du Nevada, du Texas, du Wyoming, du Nouveau Mexique et de l'Idaho. Entre paysages naturels sans fin, sites industriels et portraits plus intimes, il y documente la vie de ceux qui occupent ce grand Ouest américain profondément transformé par les industries minières.
Where Ravens Cry est basé sur une exploration envoûtante et émouvante de la mythologie et du mysticisme du Pacifique Nord-Ouest canadien ; une anthropologie visuelle invoquant la signification spirituelle des terres ancestrales de la région, et les histoires et légendes qui en sont nées. Jakob de Boer capture des paysages isolés, des côtes désolées, des cèdres massifs et des forêts sacrées, les fusionnant souvent avec des symboles des légendes locales. Imprimé avec quatre encres noires séparées sur du papier naturel non couché, cet ouvrage est édité en 500 exemplaires numérotés et accompagné d'un grand pentaptyque.
Les efforts héroïques de Madong Ma pour sauver des parties de Fuzhou, sa ville natale, des inondations comprenaient le démontage physique, le transport et la reconstruction de nombreuses structures, ainsi que quelque 10 000 arbres, dans un complexe à des centaines de kilomètres de là qu'il construisait à cette fin. Le photographe Kenro Izu a décidé d'immortaliser les maisons majestueuses restantes et d'autres structures traditionnelles de l'ancien village pour la postérité. Le livre qui en résulte nous rappelle que de nombreux endroits sur Terre, monuments de l'humanité et véritables ponts vers notre passé, sont trop souvent effacés dans l'intérêt de l'aménagement du territoire.
