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Photographie
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« Quand les filles du X rayonnent Depuis trois ans, Cyril Lesage, photographe, travaille dans le milieu du X français. Sur des shootings, des tournages, ou plus simplement dans son studio, il a pu ainsi faire défiler devant son objectif toutes les actrices porno d'ici, d'Estelle Desanges, à Carla Nova, d'Ovidie à Nina Robert's. Toutes se sont prêtées au jeu, et il en ressort un panorama complet [.]. Préfacé par Nina Robert's, et accompagné de de textes signés Michaël Krieff, le livre devrait faire fureur chez les chasseurs de dédicaces lors des futurs salons de l'érotisme, où les actrices viennent rencontrer leurs fans. Pas de doute, Cyril Lesage, le X, c'est son rayon. » Les Inrockuptibles, juillet-août 2008
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En plus de leur sensualité, les nus de Paul Banner ont un traité artistique particulier de par leur retranscription objective et picturale du corps féminin. La teneur érotique de ses clichés est soutenue par des ambiances chaudes et des lumières tamisées.
Son travail est un hommage au corps, à la peau, source de fascination pour le photographe.
Les figures féminines de Paul Banner sont toujours enveloppées dans la douceur de son style, il joue à exciter l'oeil du lecteur, parfois par le biais de poses théâtrales, dramatiques dans le sens littéraire du terme.
Les photographies semblent extraites de fantasmes torrides, mais avec toujours une grande place laissée à l'imagination. C'est d'ailleurs ce qui permet à Paul Banner de demeurer dans les sphères du bon goût.
Les jeunes femmes aiment leur corps, savent le montrer et en jouer, en faire un lieu pour le culte de la sensualité, reine dans l'oeuvre de Paul Banner.
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Sandrine Sauveur possède un don : celui de photographier le plaisir avec un regard à la fois complice et pudique.
Avec elle, on ne saurait parler d
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Hors règles, hors formes, hors genres, Lynn S.K. se place du côté de cette citation souvent reprise : nous ne voyons pas les choses telles qu'elles sont mais telles que nous sommes.
Surnommée fée-tographe pour sa manière de transformer une flaque d'eau en soleil liquide ou un cône de signalisation en soupirant mélancolique, elle cultive sa vision de la féminité, entre onirisme trash et poésie décalée.
A travers des êtres lunaires et des photons/fantômes, Lynn S.K. recherche la beauté - et elle l'aime fragile et imparfaite.
