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Le nouveau hors-série de Fisheye est consacré au travail de Susan Meiselas, la grande photographe de Magnum qui s'est illustrée par sa couverture des conflits en Amérique latine dans les années 1980, mais aussi par plusieurs séries sur la condition des femmes. Ce numéro de 100 pages propose une plongée dans l'oeuvre de cette photographe avec un entretien inédit et des textes de critiques et d'historiennes reconnues internationalement comme Marta Gili, Clara Bouveresse ou Kristen Lubben, notamment.
Un portfolio de plus de 60 pages, avec de nombreuses images inédites, permet de donner une vision panoramique de cette « pionnière engagée », qui est aussi la première lauréate du prix Women In Motion, une distinction destinée à mettre en lumière le travail des femmes photographes. -
Fisheye N°18 La Slow Photo Donne Le Tempo Mai/Juin 2016
Collectif
- Be Contents
- 10 Mai 2016
- 3663322090110
Le temps demeure dans sa complexité, l'acteur central de la photographie. Il impacte directement la lumière, l'exposition et le rendu final. Dans ce nouveau numéro, la revue Fisheye a voulu interroger les pratiques de la slow photography, un mouvement aux contours mal définis né en opposition à l'intantaneité, la fulgurance, le partage immédiat et l'ubiquité totale. Des pratiques qui mettent en avant l'expérience photographique,la matérialité des supports et s'attachent à enregistrer des durées plus que des instants. Avec des photographes privilégiant la photo argentique, la chambre grand format, le sténopé, le Polaroid ou les procédés anciens comme l'ambrotype ou les tirages Fresson.
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Fisheye N°17 Dans Les Secrets Des Photos De Famille Mars/Avril 2016
Collectif
- Be Contents
- 1 Mars 2016
- 3663322088667
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On le croyait obsolète, désuet, réservé aux nostalgiques... il n'en est rien ! Le retour de l'argentique, le goût pour les procédés anciens, le désir d'expressivité, le renouvellement d'un certain classicisme, ou son inscription dans des démarches contemporaines constituent autant de voies que les photographes défrichent pour réinventer le noir et blanc. Évanescent et puissant, épique et onirique, précis et vaporeux, le monochrome permet un large champ des possibles, du reportage à l'art en passant par la mode ou le portrait. Il aimante nos likes sur Instagram, et constitue la majorité des ventes dans les foires de photographie contemporaine majeures. Il permet de se concentrer sur l'essentiel et d'échapper à la distraction, souvent marketing, des couleurs. Le cadre, la lumière, le sujet, la matière. Surtout la matière. Le noir et blanc porte un substrat physique dans son essence même. Du sel d'argent au charbon, la profondeur des noirs nous subjugue toujours autant. En explorant ce thème rebattu, Fisheye n'a évidemment pas choisi une voie classique ou attendue. En réunissant des auteurs contemporains autour de leur pratique, nous avons dessiné une carte qui permet de naviguer dans ce monde à part.
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La nouvelle livraison de Fisheye est riche d'aventures, d'histoires et d'images. Vous y découvrirez de drôles de fêtes célébrant les vampires de la nuit new-yorkaise ; un enlèvement terrible au Guatemala ; des natures mortes intrigantes ; les « Reines de Catane », en Sicile - une plongée entre deux genres - ; ou les nuits oniriques indiennes à la recherche d'un mystérieux serpent... 60 pages de portfolios qui ne vous laisseront pas indifférents.
Sans oublier les actualités de l'image, de la nouvelle édition du Palais augmenté qui met à l'honneur la création contemporaine en réalité augmentée, en passant par la nouvelle production de Charlotte Abramow qui s'est piquée d'apiculture. Vous pourrez aussi découvrir les deux nouvelles expositions de la Fisheye Gallery : Vierges et toreros, les compositions baroques de Christine Spengler, à Arles ; et un hommage à Notre-Dame associant clichés inédits du siècle dernier et photos d'auteur. Vous ferez connaissance avec Luce Lebart, brillante historienne et commissaire d'exposition, vous découvrirez une nouvelle galerie photo à Ménilmontant tenue par un passionné de 25 ans. Vous pourrez aussi faire un détour par la Bulgarie pour y voir une nouvelle géné -
Installée à New York dans les années 1970, la cinéaste et photographe expérimentale Babette Mangolte a documenté la scène chorégraphique et performative de la ville.
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Le nouveau Fisheye arrive dans les kiosques et les librairies début novembre. Un numéro riche d'histoires et d'images qui vous aideront à passer l'hiver. Avec au programme des images inédites d'Anders Petersen sur sa célèbre série du Café Lehmitz ; Guillaume Herbaut nous propose de revisiter son travail sur l'Ukraine à travers des photos de la nouvelle génération prises au cours des deux dernières décennies. Vous découvrirez également l'étonnante enquête visuelle de Nicolas Descottes sur les accidents de la route, et vous plongerez Dans le silence, une histoire très personnelle de Loïc Laforge. Enfin les portfolios de Niko Krijno et Leonardo Scotti, assez hauts en couleur, devraient vous sortir de la grisaille ambiante.
Vous aurez aussi l'occasion de vous embarquer dans le Cinéma sonore, qui fait naitre des images dans le noir, grâce à une création de France Culture. Vous ferez plus largement connaissance avec Mathieu Pernot dont on tire le portrait. Vous découvrirez aussi un nouveau laboratoire d'expérimentation photographique et le paradoxe écologique des arts numériques. Sans oublier la riche actualité des expositions et publications des festivals d'automne : Paris Photo, PhotoSaintGermain, le festival du Regard, Planches Contact et bien d'autres encore... -
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Ce nouvel opus de Fisheye placé sous le signe de l'invisibilité met en avant des travaux d'artistes qui nous rappellent la dimension politique des images. Comme la photographe sud-africaine Zanele Muholi (en couverture), qui nous montre à quel point une image peut impacter nos consciences, ou le portfolio d'Elliott Verdier au Liberia, ou encore celui de Parlamenti et Pantanella qui trace la cartographie des « pays qui n'existent pas ». Sans oublier le travail exceptionnel de Guillaume Herbaut qui dresse un portrait cinglant d'une Ve République à bout de souffle.
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Images automatisées : les auteurs s'emparent des machines Photomatons, caméras de surveillance, satellites, drones... Les images réalisées sans aucune intention humaine se développent et prolifèrent autour de nous. Si elles pouvaient laisser croire de prime abord à la disparition des auteurs, ceux-ci retournent le paradoxe en se servant d'elles comme matériau pour retrouver leur autorité. Le développement des techniques est toujours un révélateur des préoccupations d'une société et de son inconscient technologique, et ces nouvelles photographies nous racontent quelque chose de notre époque. Qu'apportent ces images sans auteur ? Que racontent-elles ? Quels sont leurs usages ? Comment les artistes en reprennent-ils possession ? Le sujet est vaste et touche à la notion de liberté. En effet, cette masse de photos pose la question de leur analyse et de leur exploitation dans cet ensemble « merveilleux » qu'est le Big Data. Chaque image automatisée contribue à un système pour le moins discutable, et que pourtant personne ne réfute. En tant que magazine de société sur l'image, nous nous devions d'ouvrir le débat. Dans ce numéro, vous trouverez aussi un reportage sur la photothérapie, une enquête sur la photographie en Chine, un portrait d'Eileen Gittins, la fondatrice de Blurb, et bien sûr des portfolios comme celui de Géraldine Millo sur les jeunes en formation, ou encore celui d'Estelle Hanania qui met en scène de drôles de personnages conjurant les mauvais esprits de l'hiver. Avec aussi le regard de David Burnett sur le sport, et bien d'autres choses encore...
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Face au mythe du photographe en loup solitaire, il fallait mettre en lumière les initiatives de plus en plus nombreuses qui voient les oeuvres s'élaborer au sein d'une réflexion mutuelle où chacun s'enrichit plus qu'il ne se vampirise. Notre dossier explore la multitude des points de vue et la capacité à faire passer les ego derrière la réalisation commune. Fisheye a mené l'enquête en France et à l'étranger à la découverte d'expériences collectives qui, comme autant de laboratoires, cherchent des solutions pour continuer à inventer la photographie. Embarquement pour le Cambodge, le Nigeria, le Royaume-Uni, la République du Congo, la Pologne, le Canada, l'Angola, l'Argentine, sans oublier la France, pour une virée chez des photographes qui ont opté pour le partage des savoir-faire.
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Fisheye N°20 Photographie Documentaire Septembre/Octobre 2016
Collectif
- Be Contents
- 1 Septembre 2016
- 3663322091308
Le 20e numéro de Fisheye vous propose un dossier sur la photographie documentaire, un genre qui s'intercale entre photojournalisme et fine art, avec une histoire et des écritures en mouvement. Une appellation que l'on retrouve aujourd'hui à l'affiche de nombreux festivals et de galeries. Fisheye tente de faire la lumière sur ce pan de la photographie en donnant la parole à des auteurs, critiques et curateurs, et en allant voir ce qui se trame sur les réseaux sociaux. Ce numéro de rentrée marque aussi l'ouverture de la Fisheye Gallery de Paris qui ouvrira ses portes le 29 septembre, un espace dédié aux auteurs contemporains porteurs d'un univers personnel fort.
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Fisheye N°21 L Afrique Revelee Novembre/Decembre 2016
Collectif
- Be Contents
- 1 Octobre 2016
- 3663322091315
L'Afrique révélée par elle-même Cela faisait un moment que nous tournions autour de la photographie africaine sans vraiment arriver à trouver le bon angle. Évidemment, depuis la création de Fisheye, nous avons réalisé de nombreux articles sur le sujet, mais cela nous semblait mériter davantage. La créativité, l'énergie et le talent des photographes africains sont une évidence. Au-delà des pères fondateurs, notamment maliens ou sud-africains, c'est toute une nouvelle génération qui affiche son style, son point de vue et ses aspirations dans une impulsion globale qui célèbre les multiples influences du continent. Avec ce dossier, nous avons essayé de partager notre regard sur ce mouvement de fond sans chercher à être encyclopédique. Dans ce n° 21 à la pagination augmentée (148 pages), vous trouverez aussi un focus sur la photographie polonaise, un reportage sur le festival de Valparaiso, plusieurs portfolios, de l'adolescence vue par Steeve Iuncker à la situation en Syrie vue par quatre artistes du pays. Sans oublier toutes nos rubriques habituelles : musique, vidéo, expos, livres, politique, éducation... auxquelles s'ajoute une nouvelle page « cuisine ». Cette année, nous serons présents au Salon de la photo (du 10 au 14 novembre), à Paris Photo (du 10 au 13 novembre) avec un stand média, et à Fotofever(du 11 au 13 novembre) avec un stand galerie. Autant de rendez-vous pour se rencontrer et continuer de fédérer notre belle communauté Fisheye. D'ailleurs, vous êtes tous les bienvenus à la Fisheye Gallery qui a ouvert ses portes le mois dernier au numéro 2 de la rue de l'Hôpital- Saint-Louis, dans le 10e arrondissement de Paris. Elle est ouverte du mardi au samedi de 14 h 30 à 19 h 30, et les dimanches de décembre. Si vous voulez nous rencontrer, vous savez désormais où nous trouver.
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Fisheye N° 22 - Jeux De Pouvoir - Janvier/Fevrier 2017
Collectif
- Be Contents
- 2 Janvier 2017
- 3663322093180
JEUX DE POUVOIR Photographes et politiques ont toujours eu des relations ambivalentes. Les questions du pouvoir de l'image et de l'image du pouvoir n'en finissent pas de les opposer. Et les services de communication s'évertuent à en domestiquer les pratiques pour tenter de maîtriser leur discours. Nous avons interrogé les photographes pour savoir comment s'organise ce poker menteur dont on ne voit que la partie imagée. Les regards d'une douzaine d'auteurs nous ont servi de guide dans cette enquête pour décrypter comment les images tentent de prendre le pouvoir sur nos consciences.
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La photographie, littéralement l'écriture avec la lumière, nous a habitués, dans une acception largement fausse, à rendre compte d'une réalité. Or il est évident que cela n'est pas le cas la plupart du temps. Non parce que la réalité y serait altérée, mais sûrement plus parce que l'évidence que nous captons avec nos yeux n'est pas forcément le reflet de la vérité. Comme nous le dit Friedrich Nietzsche : « La vie n'est désormais plus conçue par la morale : elle veut l'illusion, elle vit d'illusion. » Et c'est dans cette veine que nous avons conçu ce 51e opus de Fisheye.
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Fisheye HS N°11 : Women in Motion Kering - Sabine Weiss - Novembre 2022
Sabine Weiss
- Be Contents
- 4 Novembre 2022
- 3663322122422
On croyait connaître Sabine Weiss, bercé·e·s par ses images d'enfants et de marginaux glanées au gré de ses voyages, autant de personnes photographiées avec tendresse et empathie. On l'a trop vite cataloguée dans la photographie humaniste, une case étriquée au regard d'un parcours qui mérite un élargissement de la perspective. Une ouverture et une mise en lumière qui ont notamment été permises par l'attribution du prix Women In Motion en 2020, et la superbe exposition Sabine Weiss, une vie de photographe organisée par les Rencontres d'Arles l'année suivante. Dans cette rétrospective orchestrée par Virginie Chardin, la photographe de 96 ans a pu montrer au public l'étendue de ses talents avec ses photos de reportage, d'illustration, de mode, de publicité, ses portraits d'artistes ou encore son travail personnel.
Les nombreux témoignages rassemblés dans les 100 pages de ce hors-série qui lui rend hommage, tout juste un an après sa disparition, mettent en lumière la diversité des qualités de Sabine Weiss. Son empathie pour les personnes qu'elle photographiait, sa curiosité constante, son ouverture d'esprit, sa tendresse, mais aussi son humour, son irrévérence et sa malice qu'on devinait dans ses images comme dans son regard. Ce numéro s'inscrit dans la collection de hors-séries dédiés aux autres lauréates du prix Women In Motion décerné par Kering en partenariat avec les Rencontres d'Arles, qui a également récompensé Susan Meiselas en 2019, Liz Johnson Artur en 2021 et Babette Mangolte en 2022, et qui continue de mettre en lumière des parcours de grandes femmes photographes. La réécriture de l'histoire de la photographie à l'aune de ses autrices trop souvent oubliées n'en est qu'à ses prémices. -
Ce numéro de printemps célèbre plusieurs anniversaires et met en avant un cahier central entièrement en noir et blanc. Si les 10 ans de Fisheye s'affichent en quatre par trois dans les couloirs du métro parisien en exposant une dizaine d'artistes publiées dans le magazine depuis le début de l'aventure, on trouvera aussi, en avant-première, un focus sur le quotidien Libération qui, lui, fête ses 50 ans avec un superbe livre et une exposition à venir. On célèbre un autre cinquantenaire avec l'édition d'un ouvrage sur Diane Arbus, disparue il y a un demi-siècle. Enfin, ce 24 février - alors que ce numéro est en impression - marque le premier anniversaire de la guerre déclenchée par la Russie en Ukraine. Michel Slomka et ses images satellites en noir et blanc nous conduisent à réexaminer les Topographies de ce pays scarifié.
Le noir et blanc s'étend à l'ensemble des portfolios de ce numéro, avec une sélection particulièrement éclectique. Outre les « paysages inversés » dudit Michel Slomka, on découvrira les Humeurs belges de Jacques Sonck qui croque depuis des années ses compatriotes dans les rues de Bruxelles, Namur et Gand avec une malice teintée de surréalisme. Sur un tout autre registre, Bastiaan Woudt compose de superbes images de mode dans lesquelles la lumière lui sert à cacher pour mieux révéler. Lucie Hodiesne Darras s'est, elle, attachée à rendre compte au plus juste de la vie quotidienne de son frère Lilou, atteint d'autisme, dont elle fait une rockstar. Un travail qui s'accompagne d'un livre aux éditions Fisheye. On trouve chez Sophie Gabrielle un univers intriguant qui explore ses peurs indicibles sur le cancer et la maladie, une manière « intime et universelle » de traduire ce qu'elle ressent. Enfin l'Histoire est de nouveau présente à travers le Palimpseste bulgare de Martin Atanasov qui n'hésite pas, à travers ses collages, à composer des télescopages critiques qui nous questionnent notamment sur le matérialisme et l'amnésie de notre époque. Sans oublier nos autres rubriques, nos coups de coeur ainsi que nos sélections de livres et d'expositions qui devraient vous aider à garder l'oeil ouvert, vif et curieux. -
Le nouveau Mois de la photo joue l'ouverture et la curiosit é. Au-delà des lieux institutionnels et des galeries spécialisées qui balisent d'habitude l'événement, cette édition s'aventure dans des espaces moins connus de la banlieue parisienne avec une programmation éclectique et pas moins d'une centaine d'expositions. Les organisateurs ne produisent pas, ils fédèrent, galvanisent, mettent en lumière et tentent une aventure collective. Dans ces arcanes, nous sommes partis en quête de sens pour vous proposer notre lecture. Sommes-nous objectifs ? Certainement pas, et c'est cela que nous vous proposons : une lecture du monde, un point de vue à travers la photographie.
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Fisheye N°28 Chine En Transition Janvier/Fevrier 2018
Collectif
- Be Contents
- 5 Janvier 2018
- 3663322099182
Ce dossier consacré à la Chine vous invite à une véritable exploration de la création photographique dans l'empire du Milieu. En plus d'un reportage qui nous entraîne à Lianzhou pour découvrir le tout premier musée public de photographie sur le territoire, à Xiamen pour la troisième édition du Jimei x Arles International Photo Festival, et à Hong Kong pour visiter les nouvelles galeries, vous trouverez de nombreux portfolios et analyses pour comprendre les raisons de cette effervescence. Les photographes chinois témoignent des mutations de leur pays à travers leurs regards et leurs expérimentations, utilisant tour à tour l'image documentaire, la mise en scène, la performance, l'image vernaculaire, la vidéo ou les mondes virtuels.
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Fisheye n.12 : l'argentique fait de la résistance
Fisheye
- Be Contents
- Fisheye
- 1 Mai 2015
- 3663322085598
Dossier web 3.0. De la circulation des images sur Internet à leur monétisation, les voies des réseaux sociaux sont parfois impénétrables. Les modèles économiques s'inventent et s'expérimentent en permanence... Passage en revue de cette forme de new deal. Communication : les reconfigurations de l'information. Internet n'est pas la fin du journalisme traditionnel, mais il favorise l'essor de ses formes alternatives. Cette inversion est loin d'être reconnue par nombre de professionnels, qui restent attachés à la hiérarchie de l'information conventionnelle. Portfolio : la France vue d'ici. Une mission photographique initiée par le festival ImageSingulières et le site Mediapart propose de dresser un portrait de la France sur trois ans. Premier bilan d'étape et premières images depuis le début de l'aventure.
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