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REVUE CUT n.3 : Beyrouth ; Sarajevo hors champs de batailles
Revue Cut
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- 15 Septembre 2013
- 9782954179810
Et bim! On remet le couvert pour un numéro 3 (saison 2013/2014) de la revue de cinéma CUT. Le concept est inchangé : 132 pages d'illustrations, de textes, de photographies et de bandes dessinées entièrement dévouées à la cause du cinéma, et peu importe son actualité. Enfin, pas la moindre pub ne vient pourrir le paysage !
Au sommaire de ce numéro : la cinéphilie en temps de guerre (BEYROUTH - SARAJEVO hors champs de batailles), un grand entretien avec la bande de Mona et moi, une carte blanche offerte à Jean-Pierre Bouyxou, une oblique sur Maurice Pialat, un traité sur la peine capitale au cinéma, Béla Tarr et l'apocalypse... Et d'autres réjouissances ; Blake Edwards, le western spaghetti, John Cassavetes et les enfants, Jean-Henri Roger in memoriam, des histoires de costumes, Jochen Gerner qui met tout dans un shaker...
Et puis, et puis...
LA FINE ÉQUIPE Directeur de publication et coordination : Romain Sublon Auteurs : François-Xavier Taboni, Jenny Ulrich, Sylvain Pasquali, Greg Lauert, Mathias Ulrich, Stéphane Libs, Sylvain Mazars, Romain Sublon, Franck Mannoni, Mathias Duperray, Pascal Coquis, Mathieu Boisadan, Olivier Nouvel et Philippe Calloix. Avec la participation exceptionnelle de Jane Roger et Jean-Pierre Bouyxou.
Illustrateurs / Dessinateurs : Aurore Petit, Boyan Drenec, Guérine Regnaut, Ogrrr, Anne Laval, Trap, Ariane Pinel, Mateo, Jacques Floret, Nadia Diz Grana, Mathieu Boisadan, Elodie Durand, Khodor Ellaik et Jérémie Fischer. Avec la participation exceptionnelle de Jochen Gerner.
Photographes : Christophe Urbain, Mathieu Boisadan, Mathias Duperray et Emmanuel Somot. Conception graphique / Maquette : Emmanuel Somot
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Après trois longues années d'une absence insoutenable, CUT, la revue cinéma, est de retour : 132 pages, 0 publicité, 10€. Ce nouveau numéro, qui ne se pose pas la question de la périodicité, laisse l'actu ciné sur le bord de la route... Pour mieux se donner le temps d'aborder des sujets qui ne cachent pas un goût certain pour la transversalité ; le porno, Krzysztof Kieslowski, la moustache, David Lynch, la critique, Alain Guiraudie, l'Asie, Gérard Blain, la salle de cinéma, Wes Anderson etc. Des illustrations, des analyses, des nouvelles, des photographies, des entretiens, tout y passe ! Même les cartes blanches : Gustave Kervern, Luc Moullet et Ludovic Debeurme
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L'an dernier, CUT la revue cinéma a signé un retour fracassant, allant même jusqu'à éclipser les primaires socialistes ou la sortie de Paranormal activity 3. Un premier numéro de 132 pages, sans la moindre pub et faisant fi de l'actualité, où l'on visitait le cinéma avec un goût certain pour la transversalité ; le western, Krzysztof Kieslowski, la moustache, David Lynch, les cinémas porno, Gérard Blain, l'esprit rock, etc. Pour cette deuxième livraison, on repart évidemment à la conquête du cinéma. Et cette fois-ci, ce sont l'alcool, David Cronenberg, le voyage, Jean-Claude Brisseau, le twist, Stanley Kubrick, les adaptations de bandes dessinées et bien d'autres qui nous intéressent. Des textes, des entretiens, des illustrations, des bandes dessinées, de la photographie, tous les moyens sont bons pour appréhender le 7e art, le plus protéiforme de tous.
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A l'époque de CUT, version revue de cinéma mensuelle, nous cherchions une rubrique récurrente, un rendez-vous régulier avec nos lecteurs, ailleurs qu'au bistrot du coin. Avec les Cinéphilies, nous tenions notre Graal. Puisque, jeu de la promo oblige, les réalisateurs, acteurs, dessinateurs, imposteurs, écrivains ou autres professionnels de la profession se pointaient là pour des créneaux prédéfinis (vingt minutes en tête à tête ou une heure en conférence de presse collective, selon le modus operandi), il fallait réflechir à les détourner de leur objectif promotionnel en leur proposant de parler de cinéma de façon...transversale.
Et CUT n'a pas peur de fêter la transversalité, jamais. Pour cela, comme pour tout, nous devions établir un cadre propice à la liberté ; nous décidâmes de leur soumettre cinq films, trois liés à leur « actualité », un issu de leur filmographie, et le dernier - toujours le même - devait revêtir la fonction de fil rouge. Encore fallait-il trouver le film idoine. Irréversible de Gaspar Noé, évidemment! Qu'il ait été vu ou non, c'est incroyable mais presque tout le monde avait/a quelque chose à en dire, y compris hors de nos frontières.
En réaction à tous ces films cités, certains ont eu besoin de peu de mots, d'autres sautaient du coq à l'âne, se perdaient, se retrouvaient sur des paragraphes entiers, d'autres encore développaient des pensées archi-structurées, s'exprimant comme des livres ouverts : dans nos retranscriptions in extenso (sans coupes, ni montage), nous avons essayé de coller au plus proche de ces rythmes et de ces phrasés. Exit la réécriture formatée, c'est brut ou délicat selon les cas, mais c'est comme ça.
Nous avons tenu ce rythme de 2005 à 2013, nous avons rencontré près de 300 artistes à géométrie variable et plus de 900 films ont été cités. C'était vivant, c'était passionnant, c'était déroutant... Et il était temps aujourd'hui d'en publier l'intégralité, sur papier bible évidemment.
Avant d'un jour, s'y remettre !