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Après 30 ans d'existence et 120 numéros, la revue de cinéma Trafic change et devient une parution annuelle : Trafic L'Almanach. Un important volume collectif qui reste attaché à la vocation critique que Serge Daney avait fixée : « Revue de cinéma, elle appartient à tous ceux pour qui l'image et l'écrit, quoiqu'irréconciliables, ont un destin commun. » Avec une équipe renouvelée de collaborateurs.
Un sommaire 2023 ambitieux : compte-rendu critique et développé du Festival de Cannes 2022, quatre textes inédits de Serge Daney ; une lettre inédite de Jacques Rivette à François Truffaut ;
Un ensemble consacré au grand cinéaste roumain Radu Jude ; les contributions de la philosophe Catherine Malabou, de Peter Szendy ; des textes sur le cinéma de Clint Eastwood, Izoguchi, John Huston, Léo Carax...
Plus de 300 pages consacrées à l'actualité et à la critique des images. -
Revue de cinéma fondée par Serge Daney.
Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New-York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
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Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nou- velles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
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Nul besoin aujourd'hui de jouer au Christ pour descendre aux limbes, il suffit d'aller au cinéma, de payer son obole à la caisse d'une salle obscure, d'emprunter l'escalier tortueux qui conduit au sous-sol et de franchir la porte coupe-feu qui débouche sur l'enfer, le purgatoire ou le paradis des images où s'accomplissent nos désirs inavouables.
L'inconscient visuel que la caméra révèle à Benjamin, le cinéma permanent où Breton se laisse détrousser comme dans un bois ou l'espace négatif que creuse souterrainement l'art termite cher à Farber ne sont que d'autres noms de ces limbes, dévoyés autant que sécularisés, de notre temps. Pour s'y rendre, il n'est point de meilleurs guides que les films eux-mêmes, qu'ils relèvent ici du registre de la prose comme plusieurs productions hollywoodiennes de Sjöström, de McCarey, de Tourneur et de Fuller, de celui de la poésie comme quelques oeuvres underground plus libres de Levitt, Loeb et Agee, de Brakhage, de Frank et Leslie, ou de celui, plus inclassable encore, de l'écriture de Biette ou de Straub et Huillet.
Ces Descentes aux limbes forment un diptyque avec Passages à vide dont elles constituent à la fois un prolongement et un cas limite. Là où ceux-ci s'efforçaient de décrire le vide central de l'essieu qui fait tourner la roue des films, celles-là tentent plutôt d'explorer son rayonnement vers la périphérie, aux confins du cinéma, aux abords de la peinture, de la littérature et de la photographie, tels qu'aperçus depuis cette autre rive.
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Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales).
Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France. Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma. C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
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Revue de cinéma fondé par Serge Daney.
Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nou- velles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New-York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
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Ce volume contient :
Sylvie Pierre Ulmann, L'affect et le temps.
Fabienne Costa, Forces d'inertie. An Elephant Sitting Still de Hu Bo.
Dimitri Martin Genaudeau, Filmer le monde qui vient.
Naruna Kaplan de Macedo, Depuis Mediapart, récit.
Nathalie Delbard, Tordre le cou à l'éloquence. À propos d'une séquence d'Au fil de la révolution d'Abounaddara.
Pierre Jailloux, David Robert Mitchell, détournements de fonds.
Sylvia Acierno, Chantal Akerman : moi et ma mère.
Gabriel Franck, S'il vous plaît - en pensant à Chantal Akerman, aux rendez-vous d'Anna.
Pierre Eugène, Psychopathologie de Rainer Werner Fassbinder.
Alexander Kluge, Neuf histoires pour Rainer Werner Fassbinder.
Hervé Gauville, L'arche de Noé, 7. Quand passent les cigognes de Mikhaïl Kalatozov.
Jonas Mekas, Édouard de Laurot et moi.
Nicole Brenez, Édouard de Laurot, que faire après la libération ?
Édouard de Laurot, Dramaturgie.
Jacques Kermabon, Deux films siamois en Saintonge.
Bernard Eisenschitz, «Journal d'un instituteur» de Vittorio De Seta.
Jean-Michel Frodon - Benoît Jacquot, Aller-retour - conversation .
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Revue de cinéma fondé par Serge Daney.
Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nou- velles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New-York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
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Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nou- velles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New-York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
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Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New-York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
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Revue de cinéma fondée par Serge Daney.
Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New-York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
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Revue Trafic n.120 : 30 ans : ce que tu aimes bien demeure
Collectif
- P.O.L
- Revue Trafic
- 2 Décembre 2021
- 9782818054192
Nous nous trouvons à un moment où, de plus en plus, nous parlons d'images. Tantôt modernes (« nouvelles images », images de synthèse), tantôt archaïques (mythologiques, religieuses, picturales). Et parmi ces images, il y a celles du cinéma.
Les images du cinéma sont très précieuses parce qu'elles constituent pour deux ou trois générations de par le monde une véritable archive de souvenirs, un trésor d'émotions stockées et aussi une usine à questions. Le temps est venu de se servir du cinéma pour questionner les autres images - et vice versa.
Trafic veut retrouver, retracer, voire inventer les chemins qui permettent de mieux savoir, dès aujourd'hui, « comment vivre avec les images ». La revue est ouverte à tous ceux qui ont l'image comme première passion, le cinéma dans leur bagage culturel et l'écriture comme seconde passion. Sans exclusive et pas seulement en France.
Il est essentiel de restituer cette autre « actualité » qui est celle des autres pays et des autres cultures du cinéma.
C'est pourquoi nous demanderons à un certain nombre d'amis étrangers (de New-York à Moscou) de jouer ce rôle d'informateurs, voire de poser des questions ailleurs.
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