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Dis Voir
25 produits trouvés
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Notes, souvenirs et séquences de choses vues
Raoul Ruiz
- Dis Voir
- Cinema - Fictions
- 10 Août 2022
- 9782381620053
Une méditation sur le cinéma et sa fabrication : le Journal de Ruiz, miroir nomade du cinéaste entre 1990 et 2011, marque une nouvelle étape de sa vie et de sa carrière, caractérisée par des productions plus ambitieuses mais aussi par une désillusion concernant l'évolution du cinéma.
Notas, recuerdos y secuencias de cosas vistas, ici traduit en version française, réunit des extraits du Journal de Ruiz écrit en espagnol entre 1990 et 2011. Ruiz observe avec tristesse, au vu du montage financier de ses projets toujours plus difficile et chaotique, les transformations du paysage audiovisuel s'éloignant à jamais de ses rêves d'un cinéma artisanal, non industriel, d'inspiration chamanique, exposés dans sa Poétique du cinéma.
Cette sélection d'extraits du Journal réunis ici par Bruno Cueno et Érik Bullot - tous deux aussi amis de Ruiz - que constituent Notas, recuerdos y secuencias de cosas vistas expose sa pensée et le développement de la mise en pratique de sa Poétique définissant de nouvelles conceptions du temps, de la mémoire et des manières de faire du cinéma. « De cette façon, je développerais les idées de Poésie du Cinéma (...) J'essaie d'expliquer - de m'expliquer - le fonctionnement des fictions dans le film. De quelle manière elles s'articulent pour permettre, multiplier et intensifier la circulation des images réelles et mentales. (...) Peu à peu, douloureusement, une nouvelle méthode de filmer, radicalement différente de toutes celles qui circulent, commence à prendre une forme. » Un tel témoignage de cinéaste sur sa manière de faire du cinéma est plutôt rare. On connaît ceux de Jean Cocteau lors du tournage de La Belle et la Bête ou ceux d'Andreï Tarkovski ou Yasujirô Ozu. Ruiz, avec les traductions de Notas, recuerdos y secuencias de cosas vistas, accompagnées de notes établies par Bruno Cuneo et d'une préface d'Erik Bullot, constitue ainsi une contribution précieuse à l'histoire du cinéma.
Ces traductions s'inscrivent dans la suite de Poétique du cinéma 1 et Poétique du cinéma 2, ses premiers recueils d'essais sur le cinéma devenus incontournables dans le paysage de la culture contemporaine, à la recherche de nouveaux modes narratifs comme outils d'appréhension du monde d'aujourd'hui, des manifestes qui proposent de nouvelles manières de filmer, d'écrire et de concevoir les images. -
Manoel de Oliveira
Yann Lardeau, Jacques Parsi, Philippe Tancelin
- Dis Voir
- 1 Février 1988
- 9782906571044
Première monographie consacrée au maître du cinéma portugais (entretien et mise en image de Manoel de Oliveira).
Aniki Bobo, Amour de Perdition, Le Soulier de Satin, Mon Cas, Les Cannibales, Val Abraham, L'Étrange affaire Angelica... L'oeuvre de Manoel de Oliveira est exemplaire en ce qu'elle condense à elle seule toute l'histoire du cinéma. Du muet à l'extrême pointe de la modernité, elle trace, entre maintes ruptures esthétiques, le fil rouge de l'évolution des formes cinématographiques. Rarement les rapports entre cinéma et théâtre ont été posés et expérimentés avec autant de force et de beauté.
La production filmique de Manoel de Oliveira (Porto, 1908-2015) se démarque comme l'une des réalisations les plus originales de l'histoire du cinéma. Son oeuvre a bénéficié d'une portée internationale, en témoigne les nombreuses récompenses des festivals et académies de cinéma du monde entier. Cinéaste à la longévité exceptionnelle, il adapta de nombreuses oeuvres littéraires. Amour et perdition (1978), Francisca (1981), Le Soulier de satin (1985), Non, ou la vaine gloire de commander (1990), Val Abraham (1993) comptent parmi ses plus grands films.
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Lee Chang-Dong
Véronique Bergen, Jean-Philippe Cazier, Antoine Coppola
- Dis Voir
- 2 Septembre 2019
- 9782914563918
Le premier ouvrage consacré à l'oeuvre du cinéaste coréen, dans la série de monographies sur le cinéma publiée par Dis Voir (à la suite de Peter Greenaway, Raoul Ruiz, Manoel de Oliveira, Atom Egoyan, Wong Kar-wai, Bruno Dumont, Kim Ki-duk...). Conçu par Lee Chang-dong lui-même, qui a sélectionné et mis en page les images, le livre inclut un entretien ainsi que deux essais de Véronique Bergen et Jean-Philippe Cazier sur son travail.
L'oeuvre de Lee Chang-dong interroge le statut du voir et de l'invisible dans un monde contemporain saturé d'images et d'informations qui oscille entre réalité et fantasme, histoire et fiction. Un cinéma qui explore l'esthétique de la disparition par le hors-champ de l'image sur fond de critique sociale et politique, de la mémoire oubliée de l'homme à son Histoire ou à la Nature. Des images « perceptives » qui invitent à l'empathie pour ressentir « la sensation universelle de la vie » à travers de jeunes adultes qui louvoient avec leur désespoir existentiel dans ce monde dont ils sont captifs, l'espoir en berne malgré leur rage. Un cinéma qui se joue aussi des catégories cinématographique - avec des histoires cachées dans des récits emboités par la recréation de durées différées dans la narration ou glissées dans la bande son.
Entre fiction et témoignage documentaire sur notre époque, Lee Chang-dong invente un régime d'images qui en appelle à la perception et à l'imagination en sollicitant les images mentales (invisibles) du spectateur. Un retour de mémoire pour percevoir ce « quelque chose » qui ferait vibrer les contours du réel d'un monde contemporain en cours d'évaporation et de disparition dans le virtuel.
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Dans La Ronde de Nuit (The Nightwatch), Rembrandt a peint une conspiration.
Le titre ténébreux du tableau à lui seul suggère que nous devrions la déjouer. Pour ce faire nous devrions aussi beaucoup écouter la bande-son. Parmi tous les tapages, l'aboiement des chiens, le tambour du tambour-major, le cliquetis des treize piques, la célébration de Banning Cocq, le bruit le plus fort est celui d'un coup de mousquet. On peut voir l'embrasement du coup de feu éclatant derrière la tête du personnage en jaune au premier plan, lequel porte la pointe de sa hallebarde à la place de sa bite et dont le ventre est parcouru à tâtons par l'ombre de la main de son compagnon.
Où la balle a-t-elle disparue? Nous devions enquêter, et quand nous l'avons fait, au final, en s'aventurant avec un peu d'ingéniosité, nous pouvons voir clairement que tout le tapage que s'évertue à rendre cette peinture de Rembrandt, La Ronde de Nuit - certainement la troisième peinture la plus appréciée en Occident après la Mona Lisa de Léonard, une peinture subversive s'il en est, et le Sacrifice de Michel Ange à la Sixtine, certainement une peinture païenne payée par un Pape Chrétien - va provoquer des ennuis.
C'est, dans cette tradition où les grands peintres sont connus par leur prénom, le grand acte subversif de Rembrandt - son J'accuse. Le tableau est une démonstration du meurtre, avec des meurtriers tous dépeints en détail. Quel délice de penser que Rembrandt a été payé, et plutôt bien payé, pour révéler la vérité sur cette garde milicienne à temps partiels, le parti des bourgeois d'Amsterdam jouant aux soldats en plein Âge d'Or Hollandais, pour quinze minutes de célébrité selon la formule chère à Warhol.
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Un réalisateur Taïwanais est invité à tourner l'histoire de Salomé au Musée du Louvres. Malgré sa réputation, il tient absolument à confier le rôle du roi Hérode à Jean-Pierre Léaud. Pour donner à ce film au budget modeste une chance au box office, la production s'est résolue à confier le rôle de Salomé à une star de renommée internationale. Mais dès le début du tournage, les problèmes s'accumulent...
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Faisant suite à sa Poétique du Cinéma 1 à la recherche de nouveaux modèles narratifs comme outil d'appréhension du monde d'aujourd'hui, POETIQUE DU CINEMA 2 propose des parodies et des simulations conceptuelles pour de nouvelles façons d'appréhender le filmage, l'écriture et la conception de l'image.
« Onze années séparent ces lignes de la première partie de ma Poétique du cinéma, 1. Entre-temps, le monde a changé et le cinéma avec lui. Poétique du cinéma 1 devait être un appel au soulèvement. Ce que j'écris aujourd'hui est bien plus u ne consolatio philosophica. Mais que l'on ne s'y trompe pas, un pessimisme salutaire peut être meilleur qu'un optimisme suicidaire.
"De la lumière, plus de lumière", disait Goethe avant de mourir. "Moins de lumière, moins de lumière", répétait Orson Welles sur un plateau de cinéma, la seule fois où je l'ai vu. Dans le cinéma actuel (et dans le monde), il y a trop de lumière. Il est temps de revenir aux ombres. Donc : demi-tour ! Retournons aux cavernes !» Raoul Ruiz
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Wong Kar-Wai
Jean-Marc Lalanne, David Martinez, Ackbar Abbas, Jimmy Ngai
- Dis Voir
- 1 Décembre 1997
- 9782906571662
Par sa façon de s'emparer des images et de les traiter en matière autonome, Wong Kar-wai s'impose comme le plus contemporain des cinéastes. Dans ses films-prismes qui captent les reflets lumineux des paysages urbains et les sombres états d'âmes des personnages pour les diffracter en autant de facettes bariolées comme des video-clips, demeure ce qui fait le prix de tout grand cinéaste : une vision parfaitement articulée de l'état du monde, ici et aujourd'hui.
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Livre devenu aujourd'hui incontournable dans le paysage de la culture contemporaine à la recherche de nouveaux modes narratifs comme outil d'appréhension du monde d'aujourd'hui, Poétique du Cinéma est un manifeste qui propose de nouvelles manières de filmer, d'écrire et de concevoir les images.
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Bruno Dumont
Philippe Tancelin, Sébastien Ors, Valérie Jouve
- Dis Voir
- 25 Septembre 2001
- 9782914563055
"Je ne suis pas un cinéaste de la réalité mais plus proche de quelqu'un qui cherche une vérité c'est pour cela que l'acteur de composition ne me satisfait pas. J'ai besoin de vrais décors, de vrais gens, de vrais sons pour fabriquer de la fiction. Je pense aussi que le cinéma que je fais c'est le corps, c'est la chair, c'est le vent. d'être au plus proche de la nature, donc des instincts et montrer à l'homme civilisé qui est dans la salle de cinéma au XXI° siècle ce qu'est sa nature. "
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Jeux et enjeux de la narrativité dans les pratiques contemporaines
Audet / Romano / Dre
- Dis Voir
- 24 Octobre 2006
- 9782914563284
Cet ouvrage s'intéresse à l'importance donnée aujourd'hui à la recherche de nouveaux modes narratifs dans les pratiques artistiques (que ce soit dans les arts visuels, le cinéma et la littérature).
Aborder la question du récit dans ses ruptures et ses mutations à l'époque de la culture médiatique et de l'influence des jeux videos - où le principe ludique et interactif est un élément important - est une manière de faire l'inventaire de cette dernière décennie où le temps est devenu un enjeu esthétique majeur sur lequel les artistes ont recomposé la réalité quotidienne et cherché à réinventer d'autres expériences.
Cette réflexion sur la narrativité, les codes de représentation et leur possibilité de générer du sens, se veut une pensée du temps qui s'attache à montrer comment ces nouveaux langages, nouvelles écritures, sont représentatifs de l'imaginaire cont emporain qui s'y exprime.
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Le script en version originale du nouveau film de Peter Greenaway, un portrait ironique de Joseph, père nourricier de Jésus, dont Dieu devient peu à peu jaloux.
The impetus to explain various mysteries and anxieties in the story of Christ's beginning and end-not least the virgin birth and the last words on the cross-came from a question asked by a six-year old girl-my daughter-who wondered how «on earth» could Christ have two fathers? Which is a valid question in the circumstances from such a source. The following script for a film is some sort of answer. Much of it could be seen to be a possible scenario where none of it really contradicts canonical wisdom, only re-arranges it. This version of events could be as true as any other. The Bible is known to be an edited, massaged, censored, and often reconstructed propaganda vehicle made at some distance from the events it relates; it was the record of the product of priests, arranged to fulfil and justify Old Testament prophecy in order to establish a new religion based on a new Messiah. And those priests lived in a Hellenic world where it was not so uncommon for Gods and mortals to copulate. Ambitious Judean priests work out a conspiracy to bed God with a mortal female to produce a son, and educate him to become a leader of men. But if their God is going to play the mortal game, is it not likely that he might fall mortally in love, and thus become vulnerable to jealousy, especially since he has a rival on earth called Joseph?
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Raoul Ruiz
Christine Buci-glucksmann, Fabrice Revault d'allonnes
- Dis Voir
- 1 Avril 1987
- 9782906571020
Les Trois Couronnes du Matelot, l'Hypothèse du Tableau Volé, La Ville des Pirates, la Vie est un Songe, l'Ile au Trésor, infime partie d'une oeuvre dont l'intégrale est déjà impossible à tracer. Magicien des apparences et orchestrateur joyeux des simulacres, Raoul Ruiz opère l'une des plus étonnante alchimie cinématographique en détournant et recyclant toutes les cultures populaires et savantes. Le livre présente les éléments constituants de l'oeuvre foisonnante de cet artiste-poète, à la fois cinéaste, homme de théâtre, écrivain. Entretien, texte et mise en image de Raoul Ruiz. (Ouvrage récompensé par le Prix du Livre de Cinéma 1988, décerné par le Centre National du Cinéma/CNC).
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Retrace l'histoire et le film Lisbonne culturelle que le cinéaste portugais Manoel de Oliveira tourna au cours de l'hiver 1982-1983. Ce documentaire est à placer en contrepoint de Non, ou la vaine gloire de commander.
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Freddy, la vingtaine, vit au côté de sa mère, modeste bistrotière, dans une morne bourgade du Nord. Sans emploi, il tue le temps comme il peut, se gavant de télé ou arpentant la campagne à mobylette avec ses copains. Seuls rayons de soleil de cette vie marquée par la grisaille, la fanfare, où il joue du tambour, son pinson Léo, qu'il élève avec affection, et sa petite amie Marie, jolie caissière de supermarché à laquelle il voue un amour aussi fort que partagé. Mais celle-ci ne laisse pas indifférent Kader, un maghrébin, qui devient bientôt la bête noire de Freddy... "J'ai écrit cette fiction sans jamais vouloir faire un travail de documentariste, l'histoire, le décor, les personnages sont un véhicule, un moyen d'expression pour essayer d'atteindre ce qui est universel en chacun de nous. (B. Dumont)
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Voici l'histoire du lieutenant de police Pharaon De Winter, un homme simple, naïf . Son travail, une enquête sordide, découvre lentement son désespoir et l'effroi de sa propre culpabilité, une culpabilité universelle, celle de notre monstrueuse nature. Ce livre est le récit qui servit à l'écriture du scénario d'où fut tiré le film Humanité complété par 70 images du film qui reçu le grand Prix du Jury au Festival de Cannes 1999.
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Livre extravagant et espiègle, livre-objet recherché par les collectionneurs de livres rares, Le Livre des Disparitions & des Tractations réunit une correspondance entre une chrétien et un maure d'Espagne au temps de la découverte de l'Amerique p ar Christophe Colomb, qui témoignent d'affaires secrètes et de débats passionnés tentant de couvrir le bruit des cris et des pratiques de l'Inquisition.
Caché au coeur du texte, des voyelles et des consonnes imprimées en gras s'associent pour reconstituer l'enjeu de ces tractations : la disparition d'une fille captive de Marrakech dont l'histoire renvoie à la prostituée incarnant l'Espagne peinte par Vel asquez dans l'Allégorie de l'Expulsion des Maures.
Veritable expérience litteraire et aventure réelle pour le lecteur déambulant entre fiction et réalité, cette énigme audacieuse que l'on suit à travers un récit dont une partie imprimée à l'envers est à lire à travers un miroir... n'est qu'un indice visi ble de tous les secrets à découvrir au fil de la lecture.
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Un réalisateur Taïwanais est invité à tourner l'histoire de Salomé au Musée du Louvres. Malgré sa réputation, il tient absolument à confier le rôle du roi Hérode à Jean-Pierre Léaud. Pour donner à ce film au budget modeste une chance au box office, la production s'est résolue à confier le rôle de Salomé à une star de renommée internationale. Mais dès le début du tournage, les problèmes s'accumulent...
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Une méditation sur le cinéma et sa fabrication : le Journal de Ruiz, miroir nomade du cinéaste entre 1990 et 2011, marque une nouvelle étape de sa vie et de sa carrière, caractérisée par des productions plus ambitieuses mais aussi par une désillusion concernant l'évolution du cinéma.
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Lee Chang-dong (angl.)
Bergen Véronique, Jean-Philippe Cazier, Antoine Coppola
- Dis Voir
- 6 Septembre 2019
- 9782914563925
This is the first full monograph on the widely acclaimed South Korean director Lee Chang-dong (born 1954), whose 2018 film Burning was the first Korean production shortlisted for the Academy Award for Best Foreign Film.
With his six features made since taking up filmmaking at the age of 43 (after working as a novelist), Lee has distinguished himself as an uncompromising auteur through his tightly wrought narratives that depict human suffering taken to its limits. His films tend to follow conventional genre structures, including thriller and melodrama, but are consistently surprising in both their emotional subtlety and their characters' confrontations with Korean history and politics.
The latest in a monograph series from Dis Voir, the book was designed by Lee himself, who selected and arranged all the images, and includes an interview with the director along with several scholarly essays on his work. -
Un conte inédit, publié de manière posthume par les éditions Dis Voir, avec lesquelles Ruiz avait initié la collection d'écrits de cinéastes Fictions.
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Le scénario du nouveau film très attendu de Peter Greenaway en 2022.
This is the story of an intelligent man whose last big adventure is very likely to be Death, but death through what we may call "natural causes" if any cause can be described as natural.
He wants to make his death elegant and sensible, fearless and forthright.
He wants to make his life related to its beginning which he believes started not where he lives now which is New York, modern city of priapic towers and hubristic skyscrapers but where it began with his grandmother in Lucca in Italy, once a mediaeval town of priapic towers and hubristic phallic skyscrapers. He is elderly, and just past the generally acceptable date of three score years and ten mentioned in the Bible that suggests he is living on borrowed time, beyond his sell-by date, in a world of seven billion persons which is far too many.
The carnal pleasures, though still alive in his mind are no longer so obsessively demanding with his body. His fascination for sex has given way to a preoccupation with death. But not death of a macabre kind, he is far too civilized, and far too grateful for the life he has lived for his interests in death to be sensational.
He will undoubtedly leave his wife and daughter bereaved but he aims to anticipate and lessen their grief by making sensible plans.
To make his life somewhat tidy and symmetrical he seeks to find his father's mother's beginnings, to seek out his paternal grandmother's origins.
He takes a sabbatical from his life as a free-lance jobbing writer, an extended holiday in semi-retirement from which he is doubtful, if all goes well, he will return.
To give this holiday a focus and a purpose he promises himself he will finish a long cherished ambition of writing one hundred stories about pride and ambition and hubris, built around a content which is both characteristic of modern New York and mediaeval Lucca - the building of towers, aspirational certainly, perhaps laudable, but surely a metaphorical activity that is hubristic, challenging gravity but also trying to penetrate the sky to reach God.
After all his name is Jacob and we know that Jacob wrestled with the angels.
This is a story perhaps of a man who wrestles with his angels.