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Le Livre De Poche
32 produits trouvés
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L'espace du rêve
David Lynch, Kristine Mackenna
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche
- 4 Septembre 2019
- 9782253257752
Dans ce livre unique, entre biographie et mémoires, David Lynch raconte pour la première fois la vision singulière qui l'a habité toute sa vie, et ses combats pour mener à bien ses projets les plus audacieux. Les réflexions personnelles du cinéaste répondent aux passages biographiques écrits par Kristine McKenna à partir d'une centaine d'interviews de proches de David Lynch. Acteurs, agents, musiciens, membres de la famille..., nous livrent des témoignages d'une grande authenticité.
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Mille vies valent mieux qu'une
Jean-paul Belmondo
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche
- 11 Avril 2018
- 9782253180081
Jean-Paul Belmondo se livre. Son enfance marquée par la guerre, sa mère courage, l'atelier de son père sculpteur, ses premières amours. Il nous entraîne dans les pas dilettantes de son service militaire en Algérie. Il nous invite aux comptoirs de la rue Saint-Benoît pour y faire les quatre cents coups avec ses copains de toujours : Jean-Pierre Marielle, Jean Rochefort, Michel Beaune, Pierre Vernier, Charles Gérard. Il nous fait part de ses joies et ses peines les plus grandes.
Alors oui, mille vies valent mieux qu'une.
Jean-Paul Belmondo se raconte pour la première fois et laisse voir l'homme derrière la légende. Magnifique. Danielle Attali, Le Journal du dimanche.
Les souvenirs de famille, de potes et de cinéma, de bêtises et de drames s'égrènent entre rires et larmes pour retracer cette tumultueuse existence. Ghislain Loustalot, Paris Match.
Une lecture plaisante, qui est aussi une réflexion sur la notion incertaine de talent. Michel Guerrin, Le Monde. -
« Je ne dépends de rien ni de personne. Je préfère vivre à mon gré et selon ce qui se présente que dans la peur de perdre une place. Il n'y a pas de place à prendre, de toute façon, il n'y a que des chemins à suivre. Des voyages que l'on fait grâce à des regards différents. Je ne vais pas aller chercher le client. Je n'ai pas à plaire. À personne. C'est ma liberté. Je ne fais rien pour paraître gentil et sympathique. Je vis, tout simplement. Les gens peuvent être déçus par moi, me perdre, me retrouver, accepter ou non ma diversité, je refuse de me mutiler. Chacun de nous est un monde et je ne veux pas laisser dans l'ombre une moitié de mon monde. Je préfère vivre ma lumière et mon obscurité. C'est ça mon équilibre. »
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« HS. Kaputt. Finito. Arrêtons les frais. Le cinéma français agonise sous nos yeux. Il ne faut plus se voiler la face. Il est à peine l'ombre de lui-même. Bientôt, on punira les enfants qui n'ont pas fini leurs devoirs en les obligeant à regarder les nouveautés. C'est ainsi, le plaisir est devenu une corvée. Si tu n'es pas sage, tu iras voir le dernier Ozon.
C'est une morne plaine. Comment en est-on arrivé là ? ».
Éric Neuhoff livre un portrait sans concession du cinéma français actuel. Réalisateurs, acteurs, interprofession, nombreux sont ceux soumis à sa critique acérée. Nostalgique du cinéma des années 1960 et 1970, il déplore que celui d'aujourd'hui ne fasse plus rêver.
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Un problème avec la beauté ; Delon dans les yeux
Jean-marc Parisis
- Le Livre de Poche
- Documents
- 20 Janvier 2021
- 9782253237815
Enfant solitaire, il jouait dans la cour d'une prison où Genet écrivait Le Condamné à mort. Quelque 87 films plus tard, ultime star française, son oeuvre d'acteur, les figures, les passions, les époques qu'il porte en lui, son panthéon intérieur, lui confèrent une dimension proustienne. Venu de nulle part, doté du don de plaire et de déplaire, Alain Delon a triomphé, mais aussi payé cher son éclat, sa personnalité, ses convictions, ses amitiés, sa fidélité à lui-même. La beauté n'est rien sans la liberté qui l'anime. Dans une fresque biographique vif-argent, loin des clichés et des fantasmes, Jean-Marc Parisis peint un caractère, une exception, un destin. Delon comme on ne l'avait jamais vu, écrit.
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ça s'est fait comme ça
Gérard Depardieu
- Le Livre De Poche
- Ldp Litterature & Documents
- 9 Mars 2016
- 9782253185833
« Ma grand-mère habitait en bout de piste à Orly, elle était dame pipi à Orly où je passais mes vacances quand j'étais gamin. Dans les chiottes d'Orly - j'adorais ça : " Départ à destination de Rio de Janeiro... " Putain, ils s'en vont à Rio ! Et je courais voir. Je voyais toutes les villes du monde défiler : Saigon, Addis-Abeba, Buenos Aires... Moi, j'étais dans les chiottes. Elle, elle nettoyait les chiottes, elle travaillait pour une boîte qui s'appelait L'Alsacienne. Ma grand-mère se rasait, j'étais toujours fasciné. Elle avait un Gillette double lame et elle se rasait. Quand je l'embrassais, je lui disais : "Tu piques encore, Mémé ! - Je me raserai demain, t'en fais pas..." »
Une vie de funambule courant au-dessus de ses précipices intimes. Le portrait d'un joueur qui ne triche pas. Christophe Ono-Dit-Biot, Le Point.
Un livre de souvenirs si crus qu'il en est bouleversant. Catherine Schwaab, Paris Match. -
Sybille croit aux histoires qui finissent bien. Elle a beau savoir de quelle manière est morte Jeanne d'Arc, quand elle regarde un des films qui lui ont été consacrés, Sybille ne peut s'empêcher d'espérer qu'un pompier vienne la tirer d'affaire. Alors comment imaginer que la réalisation de son propre long métrage va virer au film catastrophe ? Producteurs qui écrivent les scénarios, actrices qui entrent en résistance, agents hystériques, financiers qui ne financent pas. Mais tout va s'arranger, c'est certain. Son enthousiasme aveugle lui donne des ailes. Celles du pigeon que l'on plume ou celles du dindon de la farce ?
« Calamity Testud a dégainé un stylo de gros calibre pour flinguer la grande famille du cinéma.
On en apprend beaucoup sur ce milieu opaque où il faut savoir traverser bien des cauchemars pour pouvoir offrir du rêve aux gens. » Alain Spira, Paris Match.
« Un pavé dans la mare du cinéma. » Didier Jacob, Le Nouvel Observateur.
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Je revendique complètement ma connerie et mes dérapages. Parce qu'il y a là quelque chose de vrai. Et si on ne dérape jamais, c'est souvent qu'on est un peu con.
Je ne maîtrise rien, je ne fais que suivre, et parfois supporter mon amour de la vie et des autres. Un amour qui, comme disait François Truffaut, est à la fois une joie et une souffrance.
Je ne cherche pas à être un saint. Je ne suis pas contre, mais être un saint, c'est dur. La vie d'un saint est chiante. Je préfère être ce que je suis. Continuer à être ce que je suis. Un innocent.
G. D.
Les confessions d'un acteur du siècle. Le Figaro.
Sa curiosité reste intacte, comme son exquise humanité. France Dimanche.
Libre. C'est probablement le terme qui définit le mieux l'homme et l'acteur, entier, singulier, sincère. Madame Figaro. -
J'ai passé une grande partie de ma vie sur des montagnes russes, à négocier d'impossibles virages, à escalader les hauteurs - triomphes immenses, joies et plaisirs - avant de plonger, éperdument, vers des abîmes de tragédie et de douleur. Mais c'est bien ce périple insensé qui m'a conduit vers cet endroit inattendu : un présent de bien-être, et, oserais-je le dire, de bonheur. Voilà pourquoi je ne regrette rien du chemin que j'ai parcouru.
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J'ai vécu dans mes rêves
Michel Piccoli, Gilles Jacob
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche
- 14 Juin 2017
- 9782253186106
« Parvenir à étonner les gens par mon travail et sans prétention, avec simplicité, aura été mon idéal.
Un authentique grand acteur peut avoir une attitude très modeste face à son travail, dans sa jouissance de faire ce métier extravagant, et tellement amusant. Sa réussite n'a rien à voir avec une médiocre crânerie.
J'aime les acteurs qui restent entiers dans leur secret. » M. P.
Grâce à son complice et ami de toujours. Gilles Jacob, Michel Piccoli se confie pour la première fois en toute liberté, révélant les tournants intimes de sa vie et les moments forts d'une carrière exceptionnelle. Lucide sur le temps qui passe, il livre de sa voix envoûtante les confidences habitées d'un homme totalement, passionnément acteur.
Les confidences filent, discrètes, comme chuchotées. Un livre ludique, brillant, précis. Pierre Murat, Télérama.
Un texte court, incisif, où la pudeur le dispute à l'élégance. Gilles Martin-Chauffier, Paris Match.
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Nadine Trintignant Ma fille, Marie Je t'aime, ma fille chérie. Je t'aime à jamais.
Peut-être parviendrai-je un jour à ne plus être obsédée par les horribles images de la fin de ta vie.
J'arriverai à penser à toi avec douceur, et à te sourire.
Peut-être.
Je ne suis sûre de rien.
N. T.
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Bruno Crémer Un certain jeune homme C'est un de nos meilleurs comédiens. Le public l'a découvert dans les années 60, au théâtre d'abord, dans son inoubliable création du Becket de Jean Anouilh, puis au cinéma, avec la poignante 317 e Section de Pierre Schoendoerffer.
Depuis cette époque, il a tourné avec les plus grands metteurs en scène, de Costa Gavras à Bertrand Blier, de René Clément à Claude Sautet.
Mais c'est avec les enquêtes du commissaire Maigret - trente épisodes à ce jour, et le meilleur interprète que Simenon ait rencontré - que Bruno Crémer a conquis des millions de spectateurs.
Pourtant, ce n'est pas le visage d'un acteur qu'il a vu apparaître, quand il a commencé à écrire ses souvenirs, mais celui d'un homme. D'un tout jeune homme, plutôt, de ce certain jeune homme qui a été lui et qui ne l'est plus, qu'il regarde de loin, non sans quelque étonnement, avec amitié mais sans complaisance.
Avec un grand talent naturel, Bruno Crémer nous fait revivre cet âge obscur, les émotions secrètes, les incertitudes, les premières leçons de la vie, les relations difficiles, les rencontres qui ont eu du poids, la naissance d'une vocation, les expériences du débutant et ses premiers succès.
Et par le don d'évocation, le souci d'une vérité sans apprêt, le miracle de la littérature fait que, dans cette adolescence très singulière qui fut la sienne, nous retrouvons toutes les adolescences.
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Maintenant, il faudra tout se dire
Castaldi-B
- Le Livre De Poche
- Litterature
- 4 Mai 2005
- 9782253113409
Benjamin Castaldi
« Maintenant, il faudra tout se dire »
« Maintenant, il faudra tout se dire. » Que cachait cette phrase lancée à Benjamin Castaldi par sa mère, Catherine Allégret, quand disparut Simone Signoret ? Longtemps elle l'obséda sans qu'il la comprenne.
C'est qu'avant d'être animateur à la télévision, Benjamin Castaldi a d'abord été le petit-fils de Casque d'or. Il a passé une enfance dorée dans la maison d'Yves Montand, à Autheuil, ignorant les lourds secrets de famille qui l'entouraient. La vie a fait son oeuvre. Le temps est venu. Maintenant, il faut, en effet, tout se dire :
au-delà des jours heureux, l'autre visage de Montand, son mépris des femmes, son attitude envers sa belle-fille, son inconstance à l'égard de Simone.
Au prix d'une douloureuse confrontation avec une vérité si différente du conte de fées longtemps offert aux médias, Benjamin Castaldi se réconcilie avec lui-même et dit enfin son amour pour sa mère.
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Pierre Tchernia
Magic Ciné
Magic Ciné, c'est le nom de la salle de banlieue où, enfant, Pierre Tchernia a découvert le cinéma. Il ne se doutait pas alors qu'on l'appellerait un jour Monsieur Cinéma, titre d'une émission de télévision qu'il a proposée pendant vingt-deux ans.
Magique cinéma qui lui a donné le goût du spectacle et l'envie de réaliser des films et des téléfilms, de produire et de présenter tant de programmes d'information et de divertissement.
Pierre Tchernia est l'ami de tous. C'est à la télévision qu'il a commencé sa vie professionnelle, dès la création du Journal télévisé en 1949. Pionnier du petit écran, il fait partie de la famille des Français depuis un demi-siècle.
Olivier Barrot l'a entraîné sur le chemin des souvenirs, au travers de ses oeuvres mémorables, La Belle Américaine, Le Viager, Le Passe-muraille, et de ses émissions au long cours, « L'Ami public n¡ 1 », « La Boîte à sel », « Les Enfants de la télé ». Autant de rendez-vous d'amitié où l'on peut voir, parmi bien d'autres, Michel Serrault acheter des chaussures en plastique, René Goscinny hésiter devant une sole grillée, Georges Brassens commander les oeuvres de Kipling, Jean Poiret dans la troupe des Spataragonflards, Lino Ventura ratant sa recette de chou rouge, Jean Carmet dans son « récital de tambours historiques ».
Présenté par Olivier Barrot.
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Les cigales sont de retour
Foucault-J.P
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche
- 11 Juillet 2007
- 9782253121435
un jour viendra où, à mon tour, je raconterai la provence à mes petits-enfants.
ils s'installeront autour de moi sur la terrasse, à l'ombre d'un pin, face à la mer, et j'ouvrirai ce livre. je leur parlerai de ces hommes et de ces femmes qui ont forgé l'histoire de ce pays qui court du rhône aux alpes. parce que cette terre est celle
où j'ai grandi, parce qu'elle a été le refuge de mes parents, mes enfants y plongeront leurs racines. ils pourront toujours compter sur la couleur du ciel, la chaleur du soleil et la douceur du vent pour devenir des hommes.
l'amour de cette terre et de cette mer, dans lesquelles je me plonge aujourd'hui avec le même bonheur que lorsque j'étais enfant, c'est l'amour de la nature, chantée par les cigales. l'amour de la provence, tout simplement.
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Le 30 octobre 1944, un train quitte Theresienstadt, direction Auschwitz. Parmi ceux qui partent ce jour-là et qui finiront gazés, Kurt Gerron et Olga, sa femme. Sur les listes où figurent leurs noms, deux lettres : RU, Rückkehr unerwünscht, Retour indésirable. Gerron, né Gerson, acteur - il a joué notamment dans L'Ange bleu - et cinéaste allemand et juif, a été arrêté et interné en 1940 à Theresienstadt, le camp des célébrités. Juin 1944. Sur ordre de Goebbels, le Obersturmführer SS Rahm lui demande de tourner un film de propagande - Le Führer offre une ville aux Juifs - sur le camp. En échange il lui garantit la vie sauve. Pourquoi Gerron accepte-t-il de tourner ce film ? C'est la question récurrente et le point de départ de ce roman vrai et bouleversant.
« L'auteur donne la parole à Kurt Gerron, dont le nom reste attaché au pire des mensonges, un faux témoignage au service de ses bourreaux. » Evelyne Bloch-Dano, Le Magazine littéraire
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Quitte a avoir un pere, autant qu'il s'appelle gabin
Moncorge-Gabin-F
- Le Livre De Poche
- Litterature
- 6 Octobre 2004
- 9782253109860
Florence Moncorgé-Gabin
Quitte à avoir un père,
autant qu'il s'appelle Gabin.
Ce livre n'est ni une biographie de Gabin ni une autobiographie, mais un merveilleux vagabondage au fil de souvenirs cocasses ou émouvants. Comédien, homme et simplement père, Jean Gabin apparaît ici dans toute sa démesure et aussi toute son humanité bourrue. Misanthrope capable de fraternité, il était aussi un être à l'anxiété dévorante. On retrouve ici son sens de
la réplique, dont nombre auraient pu être signées Audiard, et sa légendaire mauvaise foi dont il usait comme d'un art.
Florence Moncorgé-Gabin dresse aussi, au gré d'anecdotes savoureuses, le portrait de tous ceux qui formaient la famille cinématographique de Gabin - les Ventura, Delon, Brialy, Grangier, Verneuil. - ou de ceux qu'elle croisa lors des tournages auxquels elle a collaboré.
Plus qu'un volume de souvenirs, c'est le film de la vie d'une femme avec des images en noir et blanc. et d'autres en couleurs.
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Louis de funes : jusqu'au bout du rire
Bonnotte-S
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche
- 2 Novembre 2005
- 9782253114970
Stéphane Bonnotte Louis de Funès Jusqu'au bout du rire La Traversée de Paris, Fantômas, Le Corniaud, La Grande Vadrouille, Oscar, La Folie des grandeurs, Les Aventures de Rabbi Jacob et les tribulations du célèbre Gendarme de Saint-Tropez, sans compter ses succès au théâtre : vingt ans qu'il a disparu et Louis de Funès reste le comique préféré des Français !
Le lecteur découvrira dans ces pages l'acteur aux mimiques irrésistibles, aux attitudes extravagantes, aux déguisements fous, l'artiste survolté, exigeant, perfectionniste et inquiet sur scène comme sur les plateaux de tournage, mais aussi l'homme fuyant les interviews et les mondanités à la ville, le châtelain épris de pêche et de jardinage, chez lui, à la campagne.
A travers cette biographie impressionniste, enrichie de témoignages inédits et d'une fine analyse du processus du rire, Stéphane Bonnotte rend hommage à une légende du théâtre et du cinéma, et retrace l'itinéraire de ce fils d'émigrés espagnols qui fit la joie du public pendant plus d'un quart de siècle.
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Avoir dix-neuf ans et être au sommet du hit-parade. Hurler " Capri, c'est fini " dans la frénésie des sixties. Et, un soir de tournée, à Verdun, pour un scoop de journaliste, retrouver sa mère sous l'objectif des photographes. Douloureuses retrouvailles, rue Nollet, dans le huis clos d'un meublé : Blanche a du vague à l'âme, et, sous l'évier, les bouteilles de vin s'entassent. Hervé choisit la fuite. Du Péloponnèse à Mexico, du palais de la Shabanou à l'Espagne franquiste... Le succès n'est plus au rendez-vous. Sa mère perd la raison. Dégâts, procès, ruines. D'une plume vive, Hervé Vilard évoque ici ses années de succès, égratignant au passage certaines idoles, mais aussi ses échecs et ses déceptions, avec pudeur et dignité. Un récit émouvant.
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L'histoire est connue. Pourtant, elle n'a jamais été racontée. La star la plus désirée d'Hollywood et le président le plus charismatique des Etats-Unis ont eu une liaison qui a duré dix ans avant de se transformer en love story sous haute surveillance. Enregistrés par la Mafia, mis sur écoute par le KGB, filés par la CIA, les amants n'ont jamais été seuls. Voyeurisme d'Etat, chantage, manipulation, élections truquées, argent sale, tout y passe : Marilyn Monroe, au bord de la folie, et JFK, à la frontière du scandale, se sont croisés. Et peut-être même aimés. Mais, tandis que le Président écoute Marilyn chanter Happy Birthday, la guerre de l'ombre fait rage. Servi par une écriture superbe, étayé par une solide documentation, le récit de François Forestier, journaliste au Nouvel Observateur, romancier et biographe, brosse le portrait inédit et dérangeant d'une Amérique sordide.
Grand format 11.20 €Indisponible
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Claude Berri Autoportrait « Il est deux heures, je rejoins mon bureau solitaire afin d'écrire ces quelques lignes. Je suis le Léautaud de la rue Lincoln. Quand j'écris, je n'entends plus mes oreilles. Je fume, je fulmine, je me lave les dents, je fais pipi, le temps passe. Voilà décrits quelques instants de la vie du «grand» producteur Claude Berri. » Si Claude Berri s'est déjà dévoilé dans certains de ses films, il nous révèle avec force et humour dans ce livre les aspects les plus secrets de sa vie. Rarement l'écriture aura permis d'approcher d'aussi près l'intimité d'un être.
Claude Berri est né en 1934. On a souvent dit de lui qu'il était l'un des « derniers nababs du cinéma ». Autoportrait est son premier livre.
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