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Cet ouvrage, présenté comme un grand album luxueux, regroupe les projets que JR a réalisé à Paris. Disparition de la pyramide du Louvre, excavation de la même pyramide, intervention au Panthéon, à l'Opéra ou sur les quais de l'île saint-Louis, ses oeuvres, réalisées avec l'aide collaborative du public, ont marqué le paysage et les esprits des Parisiens et du monde entier.
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Portraits : collection Florence et Damien Bachelot au musée Réattu
Françoise Docquiert
- Maison Cf
- 27 Juin 2023
- 9791096575312
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Chew Stoke est l'une des séries couleurs les plus marquantes de Martin Parr, typique de sa production vernaculaire anglo-saxonne. Il aura fallu 30 ans pour que cette série méconnue fasse l'objet d'une publication.
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Flore : conversation avec Christian Caujolle
Flore, Christian Caujolle
- Maison Cf
- 23 Juin 2023
- 9791096575305
Dans ce très beau livre d'entretien, enrichi d'images iconiques et d'archives familiales, FLORE, artiste incontournable, se livre avec une rare sincérité.
Est ici restituée toute la richesse de son esthétique, fondée sur le souvenir personnel d'un ailleurs qui oscille entre fiction et mythes familiaux.
Plus que des espaces géographiques, le Maroc, le bassin méditerranéen ou les rives du Mékong sont pour l'artiste des lieux propices à l'imagination poétique et au récit intime.
Ses photographies, rendues uniques par des processus de laboratoire singuliers, portent en elles la marque du temps passé, grâce à un travail sur la patine et la dissolution de l'image. -
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L'odeur de la nuit était celle du jasmin
Flore, Marguerite Duras
- Maison Cf
- 30 Octobre 2020
- 9791096575169
L'odeur de la nuit était celle du jasmin s'inscrit dans la continuité du livre de FLORE, Lointains souvenirs (Éditions Contrejour, 2016) qui proposait une variation autour de la jeunesse indochinoise de Marguerite Duras. Dans ce nouvel opus, elle puise dans ses souvenirs d'enfance, dans les récits de ses grands-parents qui ont vécu à la même période et aux mêmes endroits que Marguerite Duras d'insondables mystères nourrissant ce qu'elle ressent aujourd'hui comme une part d'imaginaire commun entre elle et l'écrivaine. Elle continue ainsi à « inventer photographiquement » une Indochine presque mythique. De courts extraits de textes de Marguerite Duras forment un contrepoint aux photographies en noir et blanc virés au thé. Par ces procédés techniques, l'artiste façonne tout autant qu'elle restitue le monde déployé sous ses yeux pour en extraire des images qui se confrontent à la fragilité des souvenirs et à la capacité de la photographie de créer de la vérité plus vraie qu'une réalité.
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L'art du portrait et la photographie documentaire sont deux axes essentiels de l'oeuvre de James Barnor. Ce livre s'attache à montrer à partir d'un corpus d'images réalisées dans les années 1950-1980 entre l'Angleterre et le Ghana, le travail d'un photographe qui a accompagné les mutations de deux sociétés de son époque. Préfacé par l'historienne de la photographie Damarice Amao, cet ouvrage aborde l'oeuvre photographique de Barnor dans son ensemble et propose un éclairage sur la notion d'afro-modernité.
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Extrêmement prolifique ces dernières années, le travail de JR touche un nombre croissant de disciplines comme la photographie, les arts visuels, le cinéma ou le spectacle vivant. Douze ans après avoir autorisé JR, alors inconnu, à coller des portraits sur le mur de son entrée, la Maison Européenne de la Photographie lui propose une carte blanche du 6 novembre 2018 au 10 février 2019. C'est l'occasion de faire un point sur le parcours de l'artiste et d'exposer son travail d'une façon inédite en France.
Préfacé par JL Monterosso et D. Bertinotti, le livre est le reflet de cette rétrospective. Il questionne la question de la mécanique de l'image dans le travail de JR. Sa fabrication fait appel à différentes techniques d'impres-sion, de reliure et de transparence de papiers. Quatre membres de l'Oulipo, groupe d'écri-vains et de mathématiciens fondé en 1960 par Raymond Queneau et François Le Lionnais, viennent rythmer son édition par des textes en résonance avec le travail de JR.
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Publié pour accompagner la plus importante rétrospective américaine de l'artiste JR, ce livre-objet est édité en coédition avec le Brooklyn Museum de New York et sous la direction de JR et ses équipes. Majoritairement illustré de prises de vues réalisées à l'intérieur du musée juste après l'ouverture de l'exposition, le livre montrera dans leur ensemble les dernières installations conçues spécialement pour l'occasion : la fresque (en anglais Chronicle) géante de New York, les différentes pièces conçues et exposées en intérieur mais aussi les collages monumentaux qui seront réalisés dans Brooklyn à cette occasion.'' Livre en anglais, feuillet traduit en français inclus.
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Au milieu des années 1970, les sondes du programme Viking furent les premières à atterrir sur la planète Mars. Les théories conspirationnistes se figurent qu'une mission de reconnaissance de la Terre fut commissionnée par une force extra-terrestre. La série Nouveau démenti de la mission spatiale Viking 4 de Peter Mitchell présente des portraits photographiques réalisés à Leeds qui montrent les habitants et les scènes urbaines traditionnelles sur fond de grille de la Nasa. Cette série, présentée initialement à la Impressions Gallery de York en 1979 n'avait jamais fait été publiée sous sa présentation originale. Le livre bénéficie d'une importante introduction de Val Williams, qui était à l'époque la commissaire de cette exposition qui a influencé des générations de photographes.
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Tony Ray Jones ; rétrospective
Ray Jones Tony, Martin Parr, Liz Jobey
- Maison Cf
- 15 Octobre 2019
- 9791096575114
Mort à trente ans, Tony Ray Jones a été l'un des photographes les plus marquants du siècle et son écriture photographique a laissé sa trace dans l'histoire de la photographie britannique. Martin Parr, fan inconsidéré de son travail, exhume les archives de ce photographe hurlubelu, qui traverse l'Angleterre dans les années 1960 à la recherche de ses alter-ego aussi décalés que saugrenus, avant de partir à New York où il devient proche de Garry Winogrand et Joël Meyerowitz.
Une rétrospective en image pointilleusement selectionnées et ordonnées par Martin Parr, accompagnée d'un imposant texte de Liz Jobey, qui replace le contexte de l'évolution de la photographie pendant ces années passionnantes.
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Cette fiction photographique est le quatrième ouvrage du photographe Fred Stucin. Son décor est celui des abords de la Seine, qu'il remonte à la recherche de sa source, et ce sont ces paysages et ces rencontres qui portent sa narration photographique.
La romancière Marie NDiaye pose dans ce livre ses mots sur ces images.
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La justice est indissociable des luttes, colères, manquements et autres réformes au point que cette notion finit par être réduite à une abstraction impalpable. On l'attend, on la souffre, la saisit, on y perd, on y gagne, on y travaille. Mais qu'y voit-on ? L'objet de cet ouvrage et de confronter l'acte photographique aux contours de la notion de « Justice». Les murs, les dorures, la misère et la violence de cette notion y sont dépouillés de toute ambition documentaire, pour laisser la place à la puissance brute du geste plastique, privilégiant la couleur, l'effort d'abstraction, la mise en valeur des textures comme des regards. Une représentation puissante, inattendue et déroutante qui ne montre ni le fonctionnement, ni les coulisses, mais bien le coeur et l'âme de la Justice.
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Ce livre vous ouvre les portes de la prison de Tehachapi, l'une des plus sécurisées aux Etats-Unis, à travers un projet artistique mené par l'artiste JR.
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Si l'oeuvre couleur de Martin Parr a été maintes fois publiée, c'est la première fois qu'un ouvrage réunit l'ensemble de son travail en noir et blanc, majoritairement réalisé pendant la décennie 1970.
Le photographe prend le temps de plonger dans ses archives et nous dévoile cette surprenante collection d'images soigneusement choisies et éditées par ses soins. On y trouve déjà l'unique côté espiègle de son écriture dans une Angleterre surannée. Du pur Martin Parr. Un livre qui va rapidement se placer comme incontournable pour la bonne compréhension de l'oeuvre de cet immense photographe documentaire. Il s'agit également du premier ouvrage réalisé en collaboration avec la Martin Parr Fondation de Bristol.
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«1981 : Je suis abonné à Reporter-Objectif un magazine photo mensuel. On y explique comment devenir correspondant de guerre au milieu d'un tas de conseils pratiques forts utiles tels que : choisir le bon sac, le bon appareil, les bonnes chaussures... Le conflit le plus abordable selon eux, le moins cher pour les apprentis photographes comme moi, est l'Irlande du Nord. Il faut prendre le bus à la Madeleine le soir vers 22h puis un bateau à Calais en pleine nuit, un train pour Londres où l'on change de gare pour un autre train direction Stranraër au nord de Liverpool, et enfin le ferry pour Larne avant un dernier bus pour Belfast.» Ainsi début l'histoire ténue entre un photographe et un peuple, qui au fil des années va expérimenter la sclérose du conflit nord-Irlandais qui a débuté à la fin des années 1960. Quarante ans de photographies tissent ici la trame de fond de l'histoire que nous conte le photographe, démarrant à la mort de Bobby Sands, et s'achevant à la veille du Brexit.
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Le métier de photographe en Afrique ; 10 ans d'Afrique In Visu
Collectif
- Maison Cf
- 7 Octobre 2017
- 9791096575039
Afrique in visu est une plateforme participative d'e´changes autour du me´tier de photographe en Afrique, lance´e en 2006 par Jeanne Mercier et Baptiste de Ville d'Avray au Mali.
Forte d'une centaine de collaborateurs re´guliers (photographes, journalistes, critiques), elle repre´sente une archive vivante et un laboratoire de cre´ation autour de la pratique photographique en Afrique. Elle met en re´seau les professionnels de l'image du continent, sans distinction de nationalite´, d'appartenance ou d'origine, diffusant la cre´ation contemporaine pour permettre un e´change de savoir-faire autour de l'image. Elle n'e´tablit aucun classement ni aucune tentative de pre´tendre a` une existence d'une histoire de la photographie africaine.
Un seul leitmotiv : un territoire, au-dela` de ses frontie`res terrestres ou maritimes, l'Afrique. Autant d'histoires d'un continent a` travers ses photographes qui cherchent a` se de´tacher, a` supplanter et a` de´tourner toutes les images et ste´re´otypes qui lui ont e´te´ associe´s.
Depuis 2006, Afrique in Visu s'est illustre´e par plus de 1000 articles publie´s, une centaine de collaborateurs a` travers le monde, plusieurs expositions en Europe et en Afrique, des ateliers de formation en photographie et l'accompagnement d'une quinzaine de projets photographiques.
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Le livre Belonging résonne comme un écho du vieux Dhaka, offrant un regard nostalgique sur cette ville ancrée dans la tradition bangladaise. Doucement, en profondeur, les photographies noir et blanc de Munem Wasif dévoilent des vies teintées tant par les années et la mémoire que par le mouvement perpétuel de la vie quotidienne. C'est le regard d'un artiste fidèle à son pays qui réfléchit l'émotion de ce vieux Dhaka qui a déjà fait rêver plus d'un photographe.
Longtemps, Munem Wasif a parcouru ses ruelles, les berges, les échopes, poussant des portes pour y lire l'histoire d'une famille ou d'un homme seul : dix années nécessaires pour tirer dans un livre, l'essence de cet esprit qui caractérise le vieux Dhaka.
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William Daniels a sillonné la Centrafrique pendant trois ans, au plus fort du conflit opposant les Sélékas aux Anti-balakas. Ses photographies racontent cette « histoire d'une survie permanente » de populations retranchées, oppressées ou exploitées. Précises et esthétiques, les images de William Daniels allient à la force du reportage de guerre la douceur d'un regard simplement humain, dans un lieu oublié de l'humanité.
William Daniels est sans aucun doute l'un des photoreporteurs les plus talentueux de sa génération.
Il a d'ailleurs remporté plusieurs prix internationaux comme le Word Press et a été finaliste du prix de l'Académie des Beaux-Arts en 2011. Ce livre est réalisé également avec le soutien de Médecins sans frontières et Amnesty International.
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Cette série de photographies d'Adrien Boyen propose un voyage des plus poétiques, en grand format, au coeurs de l'univers de ce jeune et talentueux artiste. Le livre constitue un premier recueil de tableaux de la série qu'il poursuit, intitulée Consonances. Il est préfacé par Michel Poivert.
«Adrien Boyer sculpte ainsi dans l'épaisseur du monde des photographies à l'esthétique minimaliste, au sein desquelles les matières et les éléments dessinent de larges aplats colorés aux références picturales assumées. Nicolas de Staël, Edward Hopper et Mark Rothko figurent ainsi parmi les maitres d'Adrien Boyer, dont les photographies, sans mise en scène sur le motif ni travail de retouche, témoignent d'un réel pouvoir d'abstraction.» Diane Dufour (directrice du BAL, février 2016).
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C'est en 2004 qu'Anne Rearick part à la rencontre des Xhosas, population noire qui vit dans deux townships du Cap. Pendant plus de dix ans, elle y retournera régulièrement, notamment dans celui de Langa, où elle tisse des liens forts et intimes avec ses habitants. Autant d'années nécessaires pour comprendre la réalité de cette société sud-africaine : au début, Rearick ressent l'espoir qui suit la sortie de l'Apartheid. 20 ans plus tard, la société est désabusée, victime de la ségrégation économique. Violences, meurtres, alcoolisme et maladie font le quotidien du township. C'est pourtant tout autre chose que nous montrent ses photographies :
Elles en extraient la beauté d'un quotidien. Dans la pudeur et la poésie, Anne Rearick témoigne.
Ce travail a été exposé à Visa pour l'Image à Perpignan en 2014 et a reçu le prix Roger Pic (SCAM) à cette occasion. La presse et le public ont été bouleversés par ces images et ce livre est de ce fait, très attendu.
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Des villes et des hommes ; regard sur la collection Florence et Damien Bachelot
Douglas Kennedy, Collectif
- Maison Cf
- 8 Février 2018
- 9791096575060
Depuis une vingtaine d'années, de manière intuitive et passionnée, Florence et Damien Bachelot ont acquis plus de 600 photographies. La collection reflète le regard personnel de ces deux amateurs avertis en privilégiant, dans un premier temps, des clichés réalisés par des photographes humanistes français (Brassaï, Doisneau, Cartier-Bresson...) puis s'intéressant au travail de plus jeunes artistes comme Stéphane Couturier, Thibaut Cuisset... Elle s'enrichit très vite de photographies des grands américains (Lewis Hine, Sid Grossman, Robert Frank, Bruce Davidson, Saul Leiter) ou anglais tel Paul Graham, avec comme principe d'acquérir exclusivement des tirages d'époque d'une qualité exceptionnelle. L'énergie et la passion que développent ces collectionneurs les ont amenés à fréquenter de très près le milieu photographique, les galeristes bien sûr, mais aussi les artistes, les responsables d'institutions, les commissaires d'expositions et critiques d'art. Ils sont ainsi devenus de véritables acteurs artistiques et culturels dans le champ de la photographie et figurent aujourd'hui parmi les plus importants collectionneurs de l'Américain Saul Leiter ou du Français Gilles Caron. Florence et Damien Bachelot s'interdisent de limiter leurs choix à des sujets exclusifs, voulant pouvoir saisir la diversité des images qui les touchent. Seule la qualité de la photographie, son originalité et sa force comptent dans le choix définitif. Néanmoins, par leur intérêt pour le réel, l'urbain, son évolution et sa complexité, une partie importante de leur collection s'attache à une réflexion sur la place de l'homme dans la société et dans la ville. Il s'agit souvent d'images qui s'organisent autour des métropoles, de l'architecture, de la marche dans la rue et de la perception de l'espace moderne. Ils reprennent en cela l'idée du sociologue Edgar Morin quand il avance:
«la ville a toujours été créatrice d'histoire et l'homme a toujours été créateur de villes créatrices».
Douglas Kennedy, grand écrivain américain qui connaît bien la France, a écrit en 1997 The Big Picture, roman consacré à un homme qui désirait être photographe. Il rédige un texte consacré au couple collectionneur dans le catalogue de l'exposition aux côtés des critiques et commissaires.
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« Il y a presque un siècle, ma grand-mère, Maggie May Jones a quitté l'Oklaoma, pour Boise en Idaho avec mari et enfants, dans une roulotte qui contenait la plupart de leurs biens. La tête pleine de rêves.
Trois générations plus tard, je naîs. Mes parents ont tous deux 17 ans. Mon père, employé dans un presbytère, ma mère, oeuvrant dans une superette.
Les souvenirs des étés passés auprès de mon grand-père dans l'Idaho sont les plus forts de mon enfance. Le rodeo et les cow-boys, les drive-in, la descente de la rivière sur des chambres à air, l'odeur et le bruit des pistolets, et la famille ivre...
L'Idaho est semblable à beaucoup d'États américains : la capitale Boise, avec sa belle université et sa population mixte, n'accueille que 12% de la population. Dans le reste de la région, un ensemble de petites villes, où dans chacune des églises, le drapeau américain flotte fièrement à côté de la croix...» Voici le décor de l'histoire photographique personnelle de cette grande photographe américaine, qui travaille dans le temps, en noir et blanc, dans une atmosphère cinématographique.