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Marval
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« Paris est la ville que j'ai habitée enfant, et elle a beaucoup compté pour moi. J'ai toujours photographié Paris, même enfant avec un Brownie Flash en couleur ; puis je l'ai filmée en 8 et en super 8 mm... Après des années vécues à l'étranger, je redécouvrais Paris chaque fois, au retour de chaque voyage : me retrouver à Paris me donnait immanquablement une profonde envie de faire des photos, c'est-à-dire de la redécouvrir : ses habitants, ses rues, et aussi les cafés, et les si jolies passantes dans les rues !
Mon regard était comme neuf, après les paysages de désert visités dans le monde !
Rentrer du désert et se retrouver dans le métro parisien, le choc !
Et, qui dit choc, dit photos ! » -
Paris, encore et toujours, pour cet amoureux de la capitale, Paris qu'il a tant photographiée... Mais Paris-Matic... photographiée - en 1970 puis 1990 - à l'Agfamatic, cet appareil jetable, presque un jouet, qu'un photographe pourrait ne pas prendre au sérieux... Pourtant, Bernard Plossu joue avec les possibilités de l'appareil, si différentes de celles de son Nikkormat professionnel, et nous offre ici un nouveau regard "instantané" sur la ville...
"Photos faites à l'Agfamatic, "pour enfants" c'est-à-dire d'une "technique enfantine"... Rien à régler, on met juste sur le petit dessin de nuages ou de soleil. Un rêve I Et en fait d'enfantin, ce sont les appareils les plus révolutionnaires I Pensez, il n'y a même plus à régler, il suffit d'appuyer : on peut photographier avant même qu'on ait eu le temps de se demander si on allait prendre la photo ou pas ! On n'a même plus le temps d'hésiter Plus rapide que du reportage ! " B.P.
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Territoires de france(francais-anglais-allemand-espagnol)
Gilson Jean-Pierre
- Marval
- 16 Mai 2002
- 9782862343464
Jean-pierre gilson, perfectionniste accompli de la photographie de paysage, a parcouru, au rythme des quatre saisons, l'ensemble des départements français et des territoires d'outre-mer.
Les photographies qu'il a cueillies tout au long de ce périple sont celles d'un promeneur qui, au détour d'un sentier ou d'une forêt, découvre toute la poésie d'un paysage et, un peu plus loin, l'étonnante composition qu'un arbre, une rivière, ou un nuage, peuvent offrir. territoires de france présente par région un état du paysage de la france actuelle en plus de trois cents photographies toutes empreintes de l'écriture si particulière à ce photographe de renom.
Chaque région de territoires de france s'ouvre sur le texte d'un grand écrivain qui, de sang ou de coeur, a su rester proche d'elle.
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La photographie est un médium que Bernar Venet a pratiqué par intermittence pour des séries très spécifiques. À dix-neuf ans, se promenant en bord de mer près de Marseille, il observe sur les pans d'une falaise une coulure de goudron solidifié... qu'il photographie pour mémoriser cet évènement aléatoire et les effets de la matière figée, pour fixer le « noir » et les jeux de la lumière jusqu'à leur disparition, comme dans l'un de ses premiers portraits, celui de son frère photographié la nuit...
Tout au long de sa carrière, de 1963 à aujourd'hui, Bernar Venet aura réalisé de nombreux portraits. Au commencement, ceux de ses proches - frère, amis -, mais aussi, et presque systématiquement, des portraits des artistes qu'il croise, fréquente et rencontre : Man Ray, Andy Warhol, Ralph Gibson, Richard Serra...
Parallèlement, il se livre à une pratique photographique d'inspiration scientifique : une série de photographies est réalisée sur les fusions du métal, matière familière pour le sculpteur qu'il est. En 2005, il expose une série d'autoportraits tomodensitométriques, photographies créées au moyen d'un scanner scientifique, explorant par coupe sa propre anatomie...
Ce livre regroupe l'ensemble des portraits d'artistes.
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Bernard Plossu a accepté de se livrer à ce difficile exercice : exhumer de ses archives des photographies « autoportraits » qui fassent sens, et écrire, au sujet de chacune d'elles, un texte évoquant leur contexte, et les souvenirs qui s'y rapportent.
Ces autoportraits - 1963 à 2012 - et les textes qui les accompagnent ne parlent pas seulement du passage du temps, mais portent l'empreinte de ses itinéraires, révèlent ses passions et lèvent le voile sur la pratique, comme sur des moments plus intimes, de ce photographe-voyageur, marcheur passionné, observateur curieux.
À travers une trentaine de photographies, pour l'essentiel inédites, Bernard Plossu s'est « tiré le portrait » : photographier sa bibliothèque, son cher appareil Nikkormat, son ombre en carré, son reflet. autant de clins d'oeil pour raconter, sans se prendre au sérieux, 50 ans de carrière.
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Donner à voir les étoiles dans les mégapoles. En respectant une démarche photographique cohérente, le projet consiste à montrer ce que nous devrions voir la nuit dans les mégapoles s'il n'y avait pas de pollution lumineuse, ni de pollution atmosphérique : l'architecture des villes, les rues, les perspectives reconnaissables des mégapoles et leurs ciels étoilés.
Ce travail propose au public de manière prospective l'opportunité de le sensibiliser aux conséquences de nos erreurs sur notre environnement présent et futur. Le citadin en particulier qui oublie et ne comprend plus la nature. Lui redonner à voir le ciel et les étoiles, c'est le faire rêver à nouveau comme d'innombrables civilisations avant lui. L'univers avec ses soleils lointains , ne serait-il pas le seul espoir de l'humanité ? D'un point de vue astronomique, en un demi siècle, une grande partie des habitants de notre planète ne peut plus contempler la beauté de la voie lactée, comme la presque totalité des étoiles, devenues invisibles.
La pollution lumineuse a aussi des conséquences sur la santé humaine. Il est probable que l'exposition prolongée à la lumière artificielle soit un facteur important à l'origine de l'augmentation des cancers. L'épiphyse sous l'effet de la lumière artificielle affecte la production de mélatonine nécessaire à la diminution du développement des cellules cancéreuses.
Quant au facteur économique, les dépenses énergétiques inconsidérées, liées à la façon irrationnelle d'éclairer les villes (éclairage vers le haut et non vers le bas seulement), devraient sensibiliser les pouvoirs publics et les particuliers à n'utiliser que des installations d'éclairage à rendement optimum. Cela baisserait notre dépense énergétique de façon drastique.
Plus de 35%de l'énergie lumineuse émise sur la terre éclaire les nuages et le ciel en altitude ! L'éclairage public en France représente environ 4%des émissions totales de gaz à effet de serre. L'éclairage de nuit représente 1%de la consommation électrique totale en France.
Scénario noir : et si nous devions vraiment éteindre les villes faute d'énergie ?
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La photographie et le rêve américain ; 1840-1940
Andreas Bluhm, Stephen White
- Marval
- 16 Mars 2002
- 9782862343488
L'histoire parallèle des débuts de la jeune nation américaine et celle des débuts du jeune médium qu'est la photographie montre bien comment l'Amérique s'est appuyée sur la photographie pour témoigner de l'esprit de son évolution et comment la photographie, en retour, a transformé l'Amérique.
Après un prologue sur les émigrants, les différents chapitres concernent l'identité américaine, la lutte pour la liberté, le mode de vie américain, l'expansion industrielle, la ruée vers l'Ouest, le développement des mégapoles. Des premiers daguerréotypes aux photographies aériennes, toutes les formes de photographies sont représentées, des photographes très connus (Stieglitz, Steichen, Muybridge, Abbot, Evans, etc.) aux anonymes, toutes les sensibilités sont présentes.
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kingsley, un jeune camerounais de 22 ans, a traversé en toute illégalité l'afrique subsaharienne (le cameroun, le nigeria, le niger, le désert du sahara, l'algérie et enfin le maroc) pour s'embarquer sur un esquif de fortune et affronter l'atlantique afin d'entrer clandestinement aux canaries, territoire espagnol, donc européen.
aujourd'hui, il vit en france et a réussi à obtenir une carte de séjour en toute légalité. olivier jobard a accompagné kingsley tout au long de sa périlleuse aventure et a retracé en photographies ce que l'on peut considérer comme une épopée des temps modernes.
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" prononcez ora et j'entends "or", comme la lumière parfois incandescente et chaude qui enveloppe ces terres émergeant du pacifique, comme la lumière des danseurs de feu caressant les corps.
j'entends "origine", comme ce sentiment d'être dans le berceau des hommes quand les nuits lumineuses dévoilent une voie lactée épaisse, proche et tangible. j'entends "aura", comme ce souffle de puissance ressenti aux îles marquises où l'océan chante dans le "trou du souffleur", comme cette curieuse émanation de vie face aux veux immenses des tiki solidement ancrés dans la terre des temples à ciel ouvert, immuables depuis tant de siècles.
j'entends "oracle" tant ces "marae" semblent nous inviter à la volonté des dieux. j'entends "eaux" comme cette immensité liquide qui nous entoure, comme des trésors de perles noires que l'océan enfante et dont la lumière est captive... " ainsi françois rousseau confronté à la magnificience de tahiti et de ses îles, cherche-t-il à restituer, à travers des photographies chargées de sensualité, l'ora : le principe vital polynésien
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Bertrand Lavier ; photographies. catalogue raisonne 1969-2016
Hans Ulrich Obrist
- Marval
- 21 Septembre 2016
- 9782862344478
Plus connu pour ses « objets peints » et ses « objets superposés », le travail photographique de Bertrand Lavier représente néanmoins une partie essentielle de son oeuvre.
La richesse de ses différentes séries, plus rarement exposées, nous est apparue comme pouvant faire l'objet d'un livre très complet, et l'idée d'un catalogue raisonné s'est alors imposée.
L'ouvrage s'articule autour des séries photographiques, sur lesquelles Bertrand Lavier s'explique dans un entretien très vivant - réalisé et filmé à la galerie rueVisconti - avec Hans-Ulrich Obrist, conservateur et codirecteur très médiatisé de la prestigieuse Serpentine Gallery à Londres.