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Poetry Wanted
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Des livres photo qui se lisent comme un roman. La collection 36 vues invite un photographe à raconter, avec ses mots, l'histoire derrière trente-six de ses images. Note aux nouvelles générations : 36 vues est un clin d'oeil aux pellicules de film 36 poses. Vous allez voir, personne ne raconte Max Pam comme Max Pam !
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La collection 36 vues invite un photographe à raconter, avec ses mots, l'histoire de trente-six de ses images.
On ne présente plus Bernard Plossu.
De Mexico City à La Ciotat, en passant par Delhi, cet infatigable voyageur traque la poésie depuis plus de cinquante ans. Toujours entre deux trains, l'homme au Nikkormat s'est laissé convaincre de raconter l'histoire de trente-six de ses images. Certaines ont fait comme lui le tour du monde, d'autres sont montrées ici pour la première fois.
Vous allez voir, personne ne raconte Plossu comme Plossu ! -
La collection 36 vues invite un photographe à raconter, avec ses mots, l'histoire derrière 36 de ses images. C'est l'histoire d'un petit garçon qui rêvait d'être Mowgli. L'histoire d'un nomade photographe qui a vécu six ans dans la jungle. De Bornéo au Rajasthan, en passant par le Tibet, Pierre de Vallombreuse a eu mille vies et a témoigné en images de l'agonie des derniers peuples autochtones. C'est un homme pressé, mais il a bien voulu poser un instant ses sacs photo pour nous raconter l'histoire derrière trente-six de ses images. Certaines ont fait comme lui le tour du monde, d'autres sont présentées ici pour la première fois. Vous allez voir, personne ne raconte de Vallombreuse comme Vallombreuse !
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Les miss vivent le rêve abordable ; en une prestation fébrile et quelques sourires détartrés, elles s'y voient déjà. Devant une foule de regards excités, elles courbent leurs corps à la guise d'un chorégraphe improvisé. Elles livrent leurs cheveux, leur chair, leurs ongles, leur naïveté à un public pauvrement endimanché, et imbibé de mousseux. Leur tentative est belle ; le temps d'une pâle performance calquée sur la parade des miss nationales, elles fantasment, s'imaginent fleuron de l'élégance. C'est emportées par cette vision, qu'elles se galbent encore un peu plus, et font gonfler les pantalons. Au terme de la soirée, le rêve communal se mue en un crève-coeur, une désillusion blessante ; les yeux globuleux se détournent, les bouches salivent désormais pour une autre.
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Difficile de photographier Paris sans tomber dans le cliché et le déjà-vu.
C'est pourtant le pari réussi par le chanteur et photographe Julien Baer grâce à un regard et un sens de la composition très personnels.
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Né au Vietnam en 1945, nourri de la contre-culture américaine et de l'esthétique de la Nouvelle Vague, Bernard Plossu souhaitait devenir cinéaste.
C'est en photographe atypique, inclassable qu'il trace ainsi depuis le début des années 1960 son parcours en solitaire, en marge du reportage, de la photographie plasticienne et des modes, « pour être, nous dit-il, de plain pied avec le monde et ce qui se passe. » Pour ce cinéaste de l'instant donné, photographe du mouvement, la photographie est le moyen d'arrimer la pensée à une connaissance personnelle et physique du monde. Rencontres fortuites, stratégies furtives et rapides des sentiments... Bernard Plossu nous montre à quel point on saisit le monde à travers le corps et le corps à travers le monde.
La carte «25_Lisbonne» rassemble plus de 30 photographies en noir et blanc prises par Bernard Plossu à l'occasion de plusieurs séjours à Lisbonne, ville pour laquelle il a une affection toute particulière.
Bernard Plossu a fait l'objet de nombreuses expositions et de nombreuses publications, mais c'est la première fois que ses images font l'objet d'une carte !
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En même temps qu'il guide son spectateur dans l'enceinte du centre de naturisme de Montalivet (Landes), Hervé Szydlowski abolie les frontières autrement solides des âges et des générations et fait taire les canons esthétiques dont l'histoire de l'Art fait émerger d'infinies variations contradictoires.
Szydlowski atteint la plénitude du retour philosophique sur une humanité libérée des chapes que lui imposent les sociétés civiles ou religieuses et plus encore le culte des corps jeunes et sains.
Le photographe étend ici sur le vivant un regard qui appréhende la vie comme une plage de bonheur à laquelle il n'appartient à personne d'imposer les limites plus ou moins claires de la tolérance.
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Carte et photographies de la Californie.
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ORLANDO 6 HEURE DU MATIN.
Orlando n'est pas une ville.
Autoroutes, longues avenues, nombreux parcs d'attraction et un petit centre d'opérette qui jouxte des ghettos à éviter.
Comment raconter une ville qui n'existe pas ?
Avec le décalage horaire, je suis réveillé tôt. Je sors de l'hôtel.
Je me retrouve sur International Drive dans un décor de série télé. Il est 6 h du matin. Dans la rue, il ne se passe rien. Tout semble aseptisé, noyé dans le brouillard matinal. Une vie au ralenti. Avant l'ouverture des magasins, je photographie, je marche, je regarde.
Je me fixe une heure de prise de vue. Jusqu'à 7 h, moment où le buffet de l'hôtel ouvre pour le breakfast. Au fil des matins, je commence à repérer plusieurs trajectoires humaines qui se croisent et s'ignorent.
Entre 6h et 7h, la vie sociale se met en place, petit à petit.
Comment raconter en images ces trajectoires urbaines parallèles ?
Je suis allé quatre fois à Orlando. Et chaque fois, j'ai photographié pendant une heure, de 6h à 7h du matin.
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Las Vegas.
Certains y passent quelques jours pour jouer, s'encanailler ou se marier. D'autres s'installent un mois entier dans un motel, remplissent le minibar de bobines de films, et se mettent en tête de capturer l'âme de ce curieux endroit.
Ronan Guillou fait partie de cette deuxième catégorie. Las Vegas, c'est bien sûr le légendaire Strip qui attire annuellement près de 50 millions de visiteurs. Mais pas seulement. Située dans le désert de Mojave, Las Vegas est au centre d'une immense vallée aride entourée de montagnes où vivent plus de 2 millions d'habitants répartis sur une douzaine d'agglomérations.
Cette carte photographique dévoile en couleurs un peu de l'atmosphère de Las Vegas Valley. Elle donne à voir certains de ces lieux qui gagnent sur le désert d'année en année et nous fait découvrir les personnages que le photographe français y a rencontrés en avril 2013.
What happens in Vegas stays in Vegas... except when Ronan Guillou stays in Vegas.
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770_Brooklyn met en scène ce courant juif orthodoxe à proximité de son centre névralgique new-yorkais le 770, synagogue du grand Rabbi Mena'hem Mendel Schneerson, guide spirituel du mouvement, dans l'optique de dissiper les préjugés qui entourent ces «hommes en noir».
Souvent perçus comme extrémistes, cette famille se distingue des autres mouvements orthodoxes par son ouverture au monde extérieur et sa volonté de respecter les commandements du Très-Haut dans un esprit de joie, de ferveur, de partage et de don de soi.
Comme l'expliquent le photographe Sacha Goldberger et son co-auteur Ben Bensimon : «Par ces images, nous avons voulu poser sur la religion juive un regard positif, poétique, spirituel et parfois humoristique. En photographiant ces femmes et ces hommes nous avons pu observer leur capacité à l'autodérision et leur aptitude à faire partager leur joie.» Aptitude que ces images confirment !
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Après Brooklyn. Lisbonne ou encore Paris, la collection This is not a map fait escale à Saint-Malo. Dïntra-Muros aux Rochers Sculptés, en passant par la pointe de la Varde et la cité d'Aleth, les photographes Gaëlle Magder. bretonne d'adoption, et Guillaume Lebrun, malouin d'origine, ont su poser un regard neuf sur ces lieux déjà tant photographiés.
Réalisées lors de plusieurs séjours, les 33 photographies présentées ici dressent un portrait intime et émouvant de ce territoire qui les inspire tant.
Un texte de l'écrivaine Hélène Gestem, qui entretient un lien fort avec Saint-Malo et la photographie, accompagne leurs images.
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J'ai suivi cinq Tour de France entre 2002 et 2014. Des semaines de courses à travers tout le pays, des milliers de kilomètres, des millions de gens croisés et je n'ai pas vu un seul coureur. J'étais là pour retrouver un pays au bord de la route. Devant la caravane publicitaire, je devançais le peloton d'au moins une heure pour photographier le public. Le Tour de France est une fête populaire. On fête l'été, le 14 juillet et les vacances qui approchent. On fête un imaginaire collectif qui puise ses racines dans le Moyen Age, le Tour de France des compagnons et dans le livre d'école de la Troisième République «Le tour de France par deux enfants». Des millions de français se retrouvent chaque année sur le trajet de la course pour un pique-nique géant aux allures de grand-messe nationale. On vient chercher là une innocence perdue, un pays rêvé. On peut alors faire semblant que rien ne change, que tout est «comme avant». C'était là une occasion rêvée pour faire un portrait de la France d'aujourd'hui...
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FORT MAHON, ÉCHELLE 1.
Après Dark Lens, série photographique dans laquelle il mettait en scène des personnages de la saga Star Wars, Cédric Delsaux nous invite à découvrir une autre planète: Fort-Mahon-Plage, petite station balnéaire du Nord de la France.
Là, pendant plusieurs jours il a photographié les touristes, promeneurs, employés, chasseurs, vendeurs que le hasard plaçait devant son objectif et sur son socle...
En montant sur ce piédestal en bois blanc, les personnes rencontrées dans la rue se changent instantanément en figurines à l'échelle 1.
De simples passants ils deviennent les acteurs de notre vaste comédie humaine. Statues malgré eux, une seule de leur posture, de leur tenue devient significative et d'une certaine manière précieuse.
Le personnage ne fait plus exactement parti du lieu, il s'en détache. Libre au spectateur de l'emmener où il veut...
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Voici sans doute la carte du Texas la moins précise au monde.
Nul en géographie, mais obsédé depuis l'adolescence par l'Amérique de Jack Kerouac, Edward Hopper et Robert Frank, le photographe français Rémi Noël a trouvé ici le décor idéal pour ses mises en scène.
Grands espaces, routes sans fin, motels des années 60 dans leur jus, le Lone Star State regorge encore de morceaux de cette Amérique éternelle qui l'inspire tant.
De Houston à Marfa en passant par Dallas, et avec pour seule compagnie un Batman en plastique, c'est au cours de quatre séjours entre 2004 et 2012 qu'il a réalisé les 34 images rassemblées ici. Défenseur malgré lui de la photographie «à l'ancienne», Rémi Noël travaille en argentique et aucune de ces images n'a été électroniquement modifiée.
Don't mess with Texas...
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La DS comme vous ne l'avez jamais vue.
36 images inédites sorties des albums de famille du monde entier.
Le portrait tendre et émouvant d'une voiture qui nous a tous marqués.
A offrir à un passionné ou à ranger précieusement dans la boîte à gants.
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Je m'étais promis ça. Pas la plage. Pas comme tout le monde. Pas se faire aimanter. Chercher autre chose. Prendre les rues à l'arrière. Traîner près du champ de course. Aller chercher les maisons loin du casino. Je m'étais promis ça.
Se croire plus malin et vouloir photographier un « autre Deauville ».
Et puis en fin d'après-midi penser : j'ai fait tant d'images loin des vagues, je peux m'en autoriser quelques-unes, comme ça, pour finir le jour. Aller traîner sur les planches. Comme tout le monde.
Quelques semaines plus tard, au moment de réunir les images, s'apercevoir que ces rares photographies-là, celles des fins d'après-midi, l'emportaient chaque fois sur les autres. Que toutes ces journées loin de la mer n'avaient fait que me mener à elle.
Alors ne plus lutter.
Ne plus vouloir être plus malin.
Regarder la plage.
Regarder la mer.
À Deauville.
Comme tout le monde.