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Snoeck
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Depuis sa première édition en 1989, le festival nous rappelle que, pour une information visuelle de qualité, le regard du photojournaliste est indispensable. Rendez-vous immanquable des amoureux de la photographie et du reportage, le festival réunit plus de 220 000 visiteurs chaque année à Perpignan. Depuis 35 ans, Visa pour l'Image - Perpignan accompagne les mutations économiques et politiques des métiers du photojournalisme et de la presse, et soutient les professionnels en leur donnant l'opportunité de montrer leur travail et de le faire découvrir au plus grand nombre. Plus que jamais, le festival s'avère nécessaire pour défendre ceux qui exercent un métier qui permet d'informer, de comprendre et d'alerter, dans des conditions toujours plus dangereuses et précaires. Cette année, nous présentons toutes les expositions de l'édition 2024 avec, pour chacun des photographes, huit pages consacrées à leur reportage.
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Durant 40 ans, gie Knaeps a photographié les groupes les plus renommés sur les scènes rock internationales. Il était donc grand temps de revenir sur cette riche carrière et de compiler ces photos de concert fascinantes, pleines de mouvement, d'impétuosité et de passion, ou simplement intimes.
Avec une introduction de Serge Simonart et des photos, entre autres, de New Order, Levellers, Madonna, Kraftwerk, Beyoncé, Justin Timberlake, Kanye West, James Brown, Jane Birkin, Hooverphonic, Grateful Dead, Ike et Tina Turner, Foo Fighters, Faithless, De La Soul, dEUS, Stromae, Red Hot Chili Peppers, Guns N' Roses, Nick Cave, The Rolling Stones, R.E.M., Radiohead, Pixies, Prince, et bien d'autres ! -
Oui j'aime la mer et les bords de mer calme. Oui j'aime les plages, leurs horizons et les petites choses qu'on y trouve.
Oui j'aime les gens qui marchent, leur élan et leur énergie.
Oui j'aime les patates en forme de coeur, surtout celles qui commencent à vieillir, à pourrir et à regermer. Oui j'ai toujours aimé les triptyques anciens et ils m'ont inspiré des trios d'images où je peux associer des photographies argentiques et des vidéos numériques.
C'est mon désir de réconcilier le noir-et-blanc et la couleur, l'immobilité et le mouvement. J'ai même aimé les polyptiques et j'en ai fait un avec les veuves émouvantes de l'île de Noirmoutier.
Oui j'aime les vaches tranquilles et les éoliennes qui tournent sans cesse.
Les visiteurs que je n'ai pas rencontrés - et je le regrette - ont pu se promener dans les divers lieux réels ou recomposés.
Cela me rend heureuse car j'aime penser que l'art et l'imagination peuvent se partager un peu partout dans le monde ». -
Photographe et auteur Thierry Clech J'ai sillonné l'Ukraine en août 2013, soit trois mois avant les manifestations de Maïdan, sans bien sûr me douter que ce serait le dernier été que connaîtrait ce pays dans son intégrité territoriale. La chaleur alanguissait les villes. Les plages d'Odessa ou de Crimée étaient bondées de touristes russes et ukrainiens. Mais derrière l'insouciance estivale, se percevaient déjà les prémices du conflit à venir. J'en ai rapporté 73 films, soit plus de 2 600 vues, pour finalement sélectionner les 76 photographies qui composent ce livre. "Ma première image de l'Ukraine ressemble à ces petits mondes sphériques remplis d'un liquide translucide. Une simple secousse de la main suffit à répandre dans l'atmosphère des milliers de minuscules paillettes. Les flocons argentés fourmillent alors lentement dans le ciel confiné, puis finissent par recouvrir tout le paysage. J'avais dix ans. Comme tous les petits garçons de mon âge, me pâmant devant le poste de télévision, je suivais l'épopée stéphanoise qui, à la pointe de l'hiver 1976, transitait donc en Ukraine. À Kiev, selon mon souvenir erroné. Car je m'aperçois aujourd'hui que c'était à Simferopol, plus au sud, en terres de Crimée ". Le ciel y était sans doute identiquement bas et plombé, mais devait y régner une température plus clémente, propice à la tenue de ce quart de finale aller après que la neige qui recouvrait le terrain eut été chassée par le souffle de moteurs d'avions à réaction acheminés sur la pelouse pour l'occasion : Mig ou vieux Yak de l'armée soviétique, étoiles rouges sur leurs flancs." (...)
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L'exposition Staged bodies est consacrée aux nombreuses façons dont le corps est mis en scène dans la photographie artistique depuis 1970. L'ouverture de la culture postmoderne aux domaines de la fiction, de l'hybridation et du simulacre a provoqué de nombreux bouleversements dans le traitement du corps. Ce dernier n'est plus considéré comme une réalité close et stable, mais devient une surface de projection fluctuante permettant de renégocier des questions fondamentales liées à la représentation, à l'identité, et à la relation entre les sexes. Dorénavant, le corps n'est plus un fait biologique inchangeable, mais une construction sociale, compréhensible uniquement à travers le prisme de ses multiples mises-en-scène dans des contextes historiques et culturels particuliers. À ce passage d'un corps naturel et permanent vers un corps idéologiquement déterminé et remodelable, correspond, en termes de photographie, l'abandon d'une approche documentaire en faveur d'une « staged photography », une photographie mise-en-scène, qui, au lieu de prétendre à la reproduction du réel, le théâtralise et le fictionnalise. Pour cette exposition, de nombreux prêts nous ont été accordés (CNAP, plusieurs FRAC, IAC Villeurbanne, MAMC Saint-Etienne, Musée de la Photographie de Charleroi, MAC's Grand Hornu, Fondation Lhoist...) et les oeuvres d'artistes reconnus seront présentées dont : Orlan, Zoe Leonard, Les Krims, Valie Export, Michel Journiac, Urs Lüthi, Shirin Neshat, Cindy Sherman, Nan Goldin, Balthasar Burkhard, Martin Parr, Victor Burgin, Luigi Ontani, Jürgen Klauke, Jan Vercruysse, Lili Dujourie, Hiroshi Sugimoto, Patrick Faigembaum ou encore Duane Michals.
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Images révélées : Poitiers à l'épreuve de la photographie, 1839-1914
Collectif
- Snoeck Gent
- 5 Novembre 2015
- 9789461612441
Cette exposition présentera pour la première fois un panorama de la création photographique dans la cité poitevine, depuis le temps des pionniers jusqu'à l'aube de la Première Guerre. La période sélectionnée court des débuts du daguerréotype (exposé dès décembre 1839 à Poitiers) à l'apogée de l'autochrome (dont le premier est présenté à Poitiers à l'exposition de 1907), soit jusqu'à la fin des procédés « artisanaux » dans la tradition du XIXe siècle.
Les épreuves d'époque, majoritairement inédites, ont été découvertes après plusieurs années de recherche fructueuses, dans les collections du musée et de la médiathèque, les collections nationales (Musée d'Orsay, Musée français de la photographie à Bièvres, Historial de Vendée, Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine ...) et internationales (Victoria & Albert Museum de Londres, J. Paul Getty Museum à Los Angeles ...). Elles témoignent d'une véritable effervescence du nouveau procédé photographique alors même que la ville subit les plus importantes mutations urbaines et sociales de son histoire.
Le parcours chronologique de l'exposition s'articule autour des figures majeures du médium (Gustave Le Gray, les frères Varin, Alfred Perlat, Jules Robuchon...) montrant l'évolution des pratiques, et les regards nouveaux portés sur la ville (du monumental vers le paysager, du paysage composé à la scène de rue, sans oublier l'univers du portrait). Elle rappelle également le rôle primordial des institutions dans l'essor de la photographie (Commission des Monuments historiques) et des expositions locales du début du XXe siècle qui permettent aux poitevins de découvrir les nouveaux courants artistiques.
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À la demande du Département, Raymond Depardon a réalisé, en 2002-2003, une série de photographies sur les Alpes-Maritimes. Du littoral, récemment urbanisé et connu des visiteurs du monde entier, le photographe est parti à la découverte de l'âme des Alpes-Maritimes. Ses pas l'ont amené à travers des paysages grandioses, vers ces villages nichés dans les vallées, vers leurs habitants héritiers d'une histoire séculaire et gardiens de traditions bien ancrées.
Cet ouvrage vous propose une remontée dans le temps des Alpes-Maritimes vue par le regard d'un des plus grands noms de la photographie.
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Avec cette série, Indra Laenens nous emmène dans un « voyage imaginaire » à travers la Première Guerre mondiale. Fasciné depuis son jeune âge par la photographie de guerre, il a réalisé de nombreux collages à partir d'autoportraits inspirés des scènes populaires de Bruegel et de photographies documentaires anciennes en noir et blanc. Les photos de la Première Guerre mondiale ont amené l'artiste à travailler de manière réaliste, en s'attachant à l'émotion et au vécu, mais avec un regard personnel sur l'époque orienté par ses lectures et l'aide de spécialistes. Le principe de la duplication de « soi » permet de tester les limites du médium. L'ouvrage se veut en outre un appel fort à la paix, « no more war »...
Catalogue de l'exposition « Imaginary Journey through WWI » au Fort Liezele, Puers-Saint-Amand, du 11 novembre 2022 au 30 mars 2023. -
Depuis sa première édition en 1989, le festival nous rappelle que, pour une information visuelle de qualité, le regard du photojournaliste est indispensable. Rendez-vous immanquable des amoureux de la photographie et du reportage, le festival réunit plus de 220 000 visiteurs chaque année à Perpignan. Pendant 31 ans, Visa pour l'Image - Perpignan a accompagné les mutations économiques et politiques des métiers du photojournalisme et de la presse, et a soutenu les professionnels en leur donnant l'opportunité de montrer leur travail et de le faire découvrir au plus grand nombre. Plus que jamais, le festival s'avère nécessaire pour défendre ceux qui exercent un métier qui permet d'informer, de comprendre et d'alerter, dans des conditions toujours plus dangereuses et précaires. Cette année, nous présentons toutes les expositions de l'édition 2019 avec, pour chacun des photographes, huit pages consacrées à leur reportage.
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Paris compte presque 600 impasses, cités, villa's, squares : rues sans issue. Culs-de-sac, tel est le terme plus anciens toujours en vogue dans la bouche des Anglais. La capitale française, circonscrite par le péréphérique, reste la ville la plus densément peuplée d'Europe occidentale : plus de 20 000 habitants au km2. Ce livre offre à voir environ 200 de ces lieux, en passant du premier au vingtième arrondissement. Autant de photographies qui dévoilent des coins de Paris qui passent normalement inaperçus. Karin Borghouts est une artiste et photographe belge spécialiste des lieux environnements et architecturaux.
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Lorsque Thomas Feuerstein (*1968) est interrogé sur son oeuvre exu bérante qui mêle la biologie, la littéra - ture, l'histoire de l'art, la philosophie, la médecine, la cybernétique, la religion, le sexe, l'économie et les mass media, ou encore les effets de la biopolitique sur l'individu et le rêve de l'éternelle jeunesse, il répond volontiers par écrit sous forme d'exposé littéraire. La folle et téméraire énumération autour de son oeuvre ressemble alors d'autant plus à une théorie littéraire complexe de la vie réelle qu'il réagit lui-même par un récit d'aventures -comme son histoire « Plus ultra. Le projet herculéen ». Thomas Feuerstein y fait le portrait du boxeur, éditeur de magazines, dadaïste et dandy Arthur Cravan, tournant son regard vers un personnage des années 1920 qui hante depuis peu, soit 60 ans plus tard, à la manière d'une idole l'histoire de la pop tout en alimentant le mythe de l'anti-héros anarchiste.
Cette image littéraire n'est cependant qu'une parabole pour le modèle de machines et bioréacteurs de Feuerstein avec lesquels l'art est produit au sens le plus classique, notamment un automatisme d'écriture emprunté à la célèbre « Écriture automatique » des surréalistes, mais basé chez lui sur la cotation et la fluctuation des cours. Parallèlement, l'orga nique, les enzymes et catalyseurs, forment des sculptures molécu laires, et donc un processus, qui mène à des manifestes tels qu'on ne les connaît que dans l'histoire de l'art. Son concept de forme, explique l'artiste, « a peu à voir avec le concept classique de sculpture. La matière, ses structures moléculaires et les processus et transfor mations qui y sont liés, joue un rôle spécifique. Je ne vois pas la forme comme le concept contraire de la matière, mais comme une structure susceptible de prendre différents aspects et figurations. »
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Une trentaine d'expositions est prévue. Cette première liste est non exhaustive.
Entrée gratuite, tous les jours, de 10h à 20h, du 1er au 16 septembre 2012.
Du 17 au 21 septembre, les expositions restent ouvertes spécialement pour les groupes scolaires (sur rendez-vous). En 2011, près de 8 000 élèves (étudiants, collégiens, lycéens) de toute la France, mais aussi venus d'Espagne, ont visité les expositions commentées par les photographes Martina Bacigalupo, Matthias Bruggmann, Peter Dejong, Bertrand Gaudillère et Pierre Terdjman.
Pour son 24 anniversaire, le Festival Visa pour l'Image - Perpignan publie, pour la cinquième année consécutive, avec les éditions Snoeck, un catalogue qui met à l'honneur les photographes exposants de l'édition 2012.
Depuis sa première édition en 1989, le Festival International du Photojournalisme nous rappelle que, pour une information visuelle juste, le regard du photojournaliste est indispensable. Les photos reproduites sont des documents d'archives ou d'actualité. Elles relatent les guerres ethniques, les conflits, les oubliés de l'histoire. Elles nous parlent de nature et d'environnement, de peuples, de religions, de faits de société, ou encore des grands fléaux de notre époque.
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Cet ouvrage rassemble un crédit photographique qui s'étale sur une période de trente ans (1982-2012). L'auteur va à la rencontre d'un quotidien accessible à tous, dans une ville unique, en perpétuel mouvement, qui se transforme, grandit ou se recroqueville. Au travers d'une Capitale qui cultive ses secrets, les images de ce livre nous font également découvrir un Paris qui s'amuse, un Paris espiègle, un Paris qui émeut, un Paris qui intrigue et passionne, un Paris qui bruisse de toute part. Entre le Paris qui s'éveille et celui qui s'endort, existe un autre Paris, qui devant une porte anonyme, une chambre sous les toits, un escalier qui s'efface dans la brume, un pavé luisant qui révèle le petit matin.
La ville lumière, oblitérée de ses innombrables visiteurs venus des cinq continents au fil des quatre saisons, entretient en chacun de nous la flamme de la curiosité et de l'évasion.
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A quoi ressemble la vie d'une épicière dans une ruelle de Pékin, d'une infirmière dans un hôpital de Chengdu, d'un chauffeur de taxi dans les embouteillages de Shanghai ? Quelles pensées traversent l'esprit d'un paysan du Ningxia qui n'a que quelques yuans pour nourrir sa famille ? Quel regard porte une ex-idole du rock sur le « miracle chinois » ? Ce livre est un voyage aux quatre coins de la Chine. Une porte ouverte sur l'intimité d'hommes et de femmes, connus ou inconnus, dont les histoires, parfois si simples nous semblent pourtant si lointaines. A ces témoignages humains s'ajoutent quelques données factuelles qui permettent de remettre en perspective des parcours dans cette société en transformation accélérée . « Portraits chinois » a été réalisé à l'initiative de Jacques Penhirin, consultant en Chine. Diane Droin-Michaud, journaliste à Hong Kong, a écrit les textes. Les photos ont été prises par Anais Martane, photographe à Pékin.
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Depuis sa première édition en 1989, le Festival International du Photojournalisme nous rappelle que, pour une information visuelle juste, le regard du photojournaliste est indispensable. Les photos reproduites sont des documents d'archives ou d'actualité. Elles relatent les guerres ethniques, les conflits, les oubliés de l'histoire. Elles nous parlent de nature et d'environnement, de peuples, de religions, de faits de société, ou encore des grands fléaux de notre époque.
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Les Bruxellois connaissent-ils bien la ville dans laquelle ils vivent et travaillent depuis des années ? Pour répondre à cette question, j'ai décidé en 2009 de partir à la découverte de la capitale, dans laquelle j'habite également. Sous le titre « Brusselse scenes, Bruxelles en scène », je présente une série de photos, fruit de mes pérégrinations, prises dans les 19 communes.
J'ai photographié les rues, les parcs et les places car ils sont l'essence même de Bruxelles. Pour offrir aux Bruxellois une exposition dans les rues de leur ville.
Les photos seront exposées au format affiche sur des panneaux publicitaires, des murs et des bâtiments dans 19 endroits de la ville et la présentation sera adaptée en fonction de chaque lieu. Un livre présentant 76 photos de la série sera en outre édité parallèlement à l'exposition.
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Dey your lane, lagos variations, palais bozar Bruxelles
Collectif
- Snoeck Gent
- 1 Juillet 2016
- 9789461613097
Dey your lane!" is an expression often heard on the streets of Lagos. It means: "That's none of your business!" Every day, millions of people survive in this fast-growing city by relying on a particular form of resourcefulness, both individual and collective. In this book, twenty-four photographers lift the veil on the creative and artistic vitality that is generated by the African metropolis. A number of essays interpret and contextualize their photographs.
Discover how residents of this vast Nigerian city navigate the public space of the megalopolis and fulfil personal and collective ambitions.
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A Fluxus family portrait album
Wolfgang Träger, Kerstin Skrobanek
- Snoeck
- 30 Septembre 2017
- 9783864422164
Wolfgang Träger : album portrait d'une famille Fluxus :
En 1962, le mouvement d'avant-garde Fluxus fait scandale et conquiert les associations artistiques et scènes de théâtre allemandes.
Des artistes tels que Yoko Ono, Nam June Paik, John Cage ou Ben Patterson repensent alors entièrement la musique, l'art et la littérature et les associent souvent concrètement. La Rhénanie sera la première infectée par le virus Fluxus, avant la scène new-yorkaise. Dans les années 1970, ce sont l'art conceptuel et le land art qui s'imposent comme les nouvelles avantgardes, mais sans pour autant sonner la fin des « events » Fluxus révolutionnaires, débordants d'imagination et de charme, qui ont encore lieu aujourd'hui. Mais que s'est-il passé exactement entre les années 1980 et les années 2000, avant de voir ces artistes faire l'objet d'hommages à travers de grandes rétrospectives (2013 : Yoko Ono, Schirn Kunsthalle Frankfort ; 2015 : Ben Vautier, Musée Tinguely, Bâle ; Carolee Schneemann, Museum der Moderne, Salzbourg ; 2017 : Ben Patterson, documenta, Kassel et Athènes) - juste à temps pour les 50 ans du mouvement ?
Wolfgang Träger, photographe permanent pour le Kunstforum International depuis 1990, y était et a tout photographié : les actions à la Biennale de Venise en 1990, « fluxus subjektiv » à Vienne la même année, le Fluxus Virus et ses deux-chevaux grillées dans le parking de Cologne ou « da capo » à Wiesbaden en 1992, enfin plus récemment, la tournée mondiale du « Fluxus-Medicine- Show » en 2014. Les photos prises en Europe et aux USA montrent des performances et des portraits, les artistes au travail ou en privé. Le mouvement Fluxus n'a jamais cessé d'exister, il a toujours affirmé de manière envoûtante, charmante, amusante et rouée que l'art est en mesure d'aiguiser nos sens. Quelques-uns des artistes Fluxus sont malheureusement morts depuis, mais Wolfgang Träger les réunit tous encore une fois dans son livre pour une photo de famille.
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Visa pour l'image est un festival international de photojournalisme créé en 1989, par Roger Thérond, le directeur de la rédaction de Paris-Match. Il en avait confié l'organisation à Michel Decron, directeur du journal Photo du groupe Filipacchi. Dirigé par Jean-François Leroy, Visa pour l'image se déroule chaque année dans toute la ville de Perpignan, de fin août à mi-septembre pour une durée de quinze jours, plus une 3e semaine réservée aux scolaires. Il s'agit du plus important festival de photojournalisme public et gratuit au monde, quant à la fréquentation
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Trésors des réserves ; le fond photographique de la première guerre mondiale conservé au musee de la
Collectif
- Snoeck Gent
- 15 Novembre 2018
- 9789461615053
Le Musée de La Cour d'Or - Metz Métropole compte, aux côtés de très nombreuses oeuvres, une importante documentation témoignant de l'évolution de l'institution et de l'histoire du territoire sur lequel il est implanté. Au sein de sa photothèque, riche de milliers de négatifs et de tirages, le fonds Kriegsmuseum (ou KM) dû à la volonté de Johann Baptist Keune, directeur du musée de 1899 à 1918, a récemment fait l'objet d'un soin tout particulier.
Après l'avoir nettoyé, reconditionné et numérisé pour assurer au mieux sa conservation, il est à présent mis à l'honneur au sein de ce nouvel ouvrage de la collection "Trésors des réserves".. Un regard singulier sur la Grande Guerre se dessine ainsi à travers ces 774 plaques de verre produites pendant le conflit.
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Au centre du travail photographique de Carina Brandes (*1982) - qu'elle a présenté en 2018 au Kunstverein de Heilbronn - se trouve son corps dont elle fait - sur un mode déjà presque « cool », selon une lecture aujourd'hui fréquente - la matière de sa production artistique. Cela donne lieu à des confrontations pour ainsi dire surréalistes entre son corps et les univers d'objets les plus divers qui transforment en mystérieuses circonstances pleines de désirs latents les décors en apparence quotidiens. Dans le contexte actuel de la politique autour du genre et du corps, celui des femmes est généralement assimilé à l'horreur et au sexe, associé aux victimes de maltraitances, ou encore dégradé au rang d'objet publicitaire suscitant l'excitation. Carina Brandes y oppose sa vision non explicite dans un monde délibérément privé d'hommes, déterminée par une objectivité abjecte autant que par des moments de sensualité pleins d'humour. L'artiste, que la gymnastique artistique pratiquée depuis sa plus tendre enfance a familiarisé avec son corps en tant que moyen d'auto-formation, travaille le plus souvent seule et continue de croire à la photographie analogique. Son approche ludique et dynamisante transcende l'interaction de la sensation et de l'excitation extérieure, du sujet et de l'objet, au-delà des problématiques féministes telles qu'elles sont formulées par Ana Mendieta, Maria Lassnig, Valie Export ou Cindy Sherman dans des prises de position déjà considérées comme classiques. Lauréate du prix Villa Romana en 2017, Carina Brandes a développé de nouveaux travaux à Florence qui ont été ajoutés à la présente publication, première revue d'envergure jamais réalisée de son oeuvre.
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Sura : Egypt through a belgian lens
Wouter Claes, Marleen de Meyer, Aude Grazer Ohara, Athena Van der Perre
- Snoeck Gent
- 27 Avril 2023
- 9789461617736
Au début du XXème siècle, l'égyptologue belge Jean Capart et ses collaborateurs ont entrepris plusieurs voyages en Égypte. Avec un sens aigu de la photographie, ils ont documenté cette terre sur les rives du Nil sous toutes ses facettes. La bibliothèque égyptologique des Musées royaux d'Art et d'Histoire de Bruxelles abrite cette importante collection d'environ 14.000 négatifs photographiques sur plaques de verre. Les plus de 200 photographies réunies ici illustrent ces années pionnières de l'égyptologie belge. Elles brossent en même temps un tableau kaléidoscopique de l'Égypte d'antan dans toute sa diversité, avec ses paysages spectaculaires, ses monuments antiques, ses expéditions archéologiques et sa vie quotidienne.