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De Claude François à Johnny Hallyday, de Calais à Los Angeles, Tony Frank, grand " Tintin " reporter photographe, a immortalisé ces monuments planétaires. Son travail ressemble à une féerie oculaire et se trouve aujourd'hui à la portée de tous dans ce magnifique recueil que je recommande à toutes et à tous pour une somme modique défiant l'entendement monétaire. De plus, afin de bien soigner mon ego, il se trouve que l'on m'y retrouve à plus d'un titre. Je ne peux qu'approuver et m'incliner devant l'oeuvre de mon vieux copain Tony. Bravo. Eddy Mitchell
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David kamp, qui s'est déjà brillamment illustré avec le dictionnaire snob du rock, récidive, cette fois-ci avec lawrence levi, pour nous offrir un dictionnaire snob du cinéma.
On y trouvera avec plaisir et agacement, - cela va de soi - un abécédaire bourré d'humour et de parti pris sur ce que tout " filmologue " se doit de savoir sur le septième art, cette huitième merveille du monde aux yeux de la tribu assermentée des nyctalopes des salles obscures.
Ces américains considèrent que le snobisme cinéphilique doit être révélé au quidam, comme la grâce divine est révélée à quelques initiés. cet ouvrage est un aussi judicieux qu'indispensable panorama d'un art qu'on dit " à bout de souffle " et qui, pourtant, continue de nous émerveiller, la plupart du temps la où ne l'attend plus.le dictionnaire snob du cinéma entend combler le manque de connaissances qui sépare les non-filmologues des filmologues.
Les auteurs de ce livre ont cherché a atteindre l'équilibre parfait entre curiosité intellectuelle et délire snob.
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L'enfer du cinéma ; dictionnaire des films cultes et maudits
Thierry Acot-mirande, Alain Pozzuoli
- Scali
- 24 Mai 2007
- 9782350121406
Cinéastes maudits, films cultes, série z et enfer des cinémathèques.
Et s'il était là, le seul cinéma qui compte vraiment ? il existe un fil rouge entre toutes les filmographies du monde, celui de la malédiction qui pèse sur certaines oeuvres de cinéma, ou sur leurs auteurs, quels que soient sa forme et son degré d'intensité. certains films ont eu une histoire chaotique (les portes du paradis de michael cimino, les amants du pont-neuf de leos carax), un destin parfois tragique - certains comme london after midnight de tod browning ont même totalement disparu, d'autres ont été abandonnés en cours de tournage (la passagère d'andrzej munk, l'enfer de henri-georges clouzot, the other side of the wind d' orson welles, l'homme qui tua don quichotte de terry gilliam) - ou ont provoqué de véritables catastrophes financières (cléopâtre de mankiewicz, waterwold de kevin costner).
Le lecteur curieux pourra retrouver dans ce livre la chronique de ces désastres annoncés ainsi que certaines " curiosités " telles que liquid sky de slavia tsukerman ou the last movie de dennis hopper, tous ces films qui, pour des raisons diverses, ne sont pas parvenus jusqu'au grand public et qui pourtant ont marqué, à leur façon, le septième art ; sans oublier quelques entrées sur divers réalisateurs dont le parcours difficile les apparente eux aussi à des destins maudits.
Tous ces films forment une cinématographie perverse, décadente, underground, pourrait-on dire. qui en dit bien plus sur son époque que les chefs-d'oeuvre reconnus ou les succès de box-office trop programmés.
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Dictionnaire du cinéma d'épouvante ; l'enfer du cinéma Tome 2
Robert de Laroche
- Scali
- 15 Novembre 2007
- 9782350121581
Max Schreck, Lon Chaney, Terence Fisher, Fay Wray, Conrad Veidt, Bela Lugosi, Mario Bava, John Carradine, Christopher Lee, Freddie Francis, Peter Cushing, Vincent Price, Alfred Hitchcock, Stanley Kubrick, Tod Browning, John Carpenter, George A. Romero, Peter Lorre, Basil Rathbone, John Gilling, Jimmy Sangster, Lucio Fulci, Barbara Steele, Wes Craven, Dario Argento. Que peuvent avoir en commun tous ces noms ? Ils figurent tous au panthéon de l'épouvante et se disputent le titre envié de " roi de la terreur ". Nous leur devons de délicieux cauchemars, et nombre de nuits blanches à redouter d'entendre une porte grincer ou un parquet craquer sans raison apparente. Le Dictionnaire du Cinéma d'épouvante présente tous les grands créateurs et les films mythiques du fantastique (Alien, Le Cauchemar de Dracula, Scream, Les Griffes de la nuit, Suspiria, La Fiancée de Frankenstein, L'Au-delà, Le Fantôme de l'Opéra, La Féline, La Momie, La Chute de la maison Usher, etc.) qui ont donné vie aux personnages mythiques de Dracula, Jack l'Eventreur, Frankenstein, Hannibal Lecter, Leatherface, Freddy Krueger, Michael Myers...
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Terence fisher, christopher lee, peter cushing...
Plus qu'une date de l'histoire du cinéma qui vit l'épouvante assumer enfin sa dimension érotique et violente ; le cycle gothique produit par la firme britannique hammer films fut en france un véritable emblème subversif. le déferlement sur les écrans à partir de 1957 de frankenstein s'est échappé, la nuit du loup-garou ou encore dracula prince des ténèbres offre l'histoire d'une étonnante bataille d'hernani faite de luttes esthétiques, de passions cinéphiles sur fond de révolution pop et de bouleversements politico-culturels.
En retraçant ces évènements sous la forme d'un passionnant récit agrémenté d'entretiens fleuves, nicolas stanzick livre non seulement le premier ouvrage consacré en france à la maison hammer, mais il apporte du sang neuf à l'abondante littérature anglo-saxonne déjà parue sur le sujet. voici le récit de la condamnation morale unanime d'un genre et de la naissance conjointe de la cinéphilie fantastique française, petite communauté joyeusement libertaire et populaire, adepte fièrement revendiquée d'un cinéma du sexe et du sang.
Voici la chronique de ces francs-tireurs qui nous ont légué une mythologie hammer intacte, alors que le cauchemar de dracula souffle aujourd'hui ses cinquante bougies et que, tel le comte sanguinaire, le célèbre studio anglais renaît de ses cendres.
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Mythique légende du cinéma indépendant américain, témoin et inspirateur de l'avant-garde, Jonas Mekas, né en Lituanie en 1922 et émigré à New York en 1944, est connu pour l'écriture d'un nouveau cinéma, le " ciné-journal ", qui consiste à enregistrer son quotidien. Avec un ton qui remet en cause l'esthétique du genre et le cinéma commercial, son style est repris aujourd'hui par de nombreux cinéastes. Hérault de la contre-culture et du mouvement beat, Jonas Mekas dirige actuellement l'Anthology Film Archives, la cinémathèque new-yorkaise du cinéma d'avant-garde. De Andy Warhol à Norman Mailer, en passant par John Lennon, Yoko Ono, Jean Renoir, Al Pacino, Jackie Onassis, Robert Frank, Henri Langlois, Allen Ginsberg...
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