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Arts de l'image
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Le cinéma en partage ; entretiens avec N. T. Binh
Michel Ciment
- Rivages
- 8 Octobre 2014
- 9782743629403
Auteur de plusieurs ouvrages de référence sur le cinéma mondial, dont un incontournable Stanley Kubrick, critique internationalement reconnu, notamment par les réalisateurs eux-mêmes (Quentin Tarantino, les Frères Coen, Francesco Rosi, Maurice Pialat), auteur de documentaires sur Elia Kazan, Billy Wilder et Joseph L. Mankiewicz, professeur émérite, Michel Ciment a "pratiqué" le cinéma depuis son enfance et en a exploré tous les aspects.
C'est cet itinéraire - de l'apprentissage spontané de la cinéphilie dans les cinémas de quartier aux diverses étapes de la critique professionnelle (revues, radios, télévision), du plaisir d'enseigner (lycée, université), à la participation aux jurys internationaux des plus grands festivals, de sa conception de l'analyse cinématographique à ses rencontres avec les grands réalisateurs mondiaux - qu'il retrace au fil de ces entretiens avec son collègue et ami N.T.
Binh. Avec, pour unique but, de donner en partage cet amour pour le cinéma et ceux qui le font.
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Parmi les métiers exercés par les cent sept femmes choisies par Sophie Calle :
une médiatrice familiale, une chercheuse en lexicométrie, une correctrice, une dessinatrice, une journaliste d'agence de presse, une juge, une normalienne, une sexologue, une psychanalyste, une publicitaire, une avocate, une commissaire de police, une assistante sociale pénitentiaire, une journaliste, une criminologue, une exégète talmudique, une ado, une chasseur de tête, une physicienne, une spécialiste de littérature française contemporaine, une philosophe, une philosophe morale, une anthropologue, une experte des droits des femmes à l'ONU, une graphiste, une chef d'édition, une écrivain pour la jeunesse, une institutrice, une élève, une romancière, une compositrice, une voyante, une officier DGSE, une psychiatre, une traductrice en langage SMS, une cruciverbiste, une sociologue, une joueuse d'échec, une comptable, une mère, une animatrice radio, des actrices, scénaristes, réalisatrices, chanteuses, musiciennes., et aussi une marionnette, une poupée de bunraku et un psittacidé.
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Techniques d'animation ; pour le dessin animé, l'animation 3D et le jeu vidéo
Richard Williams
- Eyrolles
- 3 Février 2011
- 9782212128185
Un manuel indispensable sur l'animation par Richard Williams, le directeur d'animation aux trois Oscars, pour son travail sur Qui veut la peau de Roger Rabbit ? Richard Williams est un animateur de génie qui a réussi à faire le lien entre l'ancienne école et la nouvelle génération. Au cours d'une carrière exceptionnelle, il s'est montré un véritable innovateur et a su jeter un pont entre l'âge d'or de l'animation traditionnelle et l'animation par ordinateur. Cet ouvrage est basé sur ses Master clans, qui remportent un vif succès, tant aux Etats-Unis qu'en Europe (suivies notamment par des animateurs de chez Disney, Pixar, Dreamworks, Blue Sky et Warner Bros). Richard Williams nous livre les principes de base dont chaque animateur a besoin, qu'il soit débutant ou expert, travaillant manuellement ou sur ordinateur. Incitant ses lecteurs à " inventer tout en restant vraisemblables ", il illustre ses méthodes par des centaines de dessins, distillant les secrets des maîtres en un système cohérent et faisant de ce livre la bible de toutes les formes d'animation pour les professionnels, les étudiants et les amateurs. Dans cette nouvelle édition augmentée, Richard Williams consacre une quarantaine de pages à de nouveaux thèmes, notamment le phrasé des dialogues, l'utilisation de prises de vues réelles comme références, le mouvement des animaux et le réalisme en animation. En bonus, un DVD offert avec ce livre vous permettra de découvrir les versions animées de ces nouveaux thèmes.
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Les 14 films des Groupes Medvedkine (1967-1974) réunis dans un coffret 3 DVD, accompagné d'un livret de170 pages + le film "Le train en marche" dans lequel Alexandre Medevkine raconte l'histoire du ciné-train à Chris Marker (inédit en DVD): A bientôt, j'espère (Chris Marker et Mario Marret,1967-1968) - La charnière (son seul, 1968) - Classe de lutte (1968) - Rhodia 4/8 (1969) - Nouvelle Société 5. « Kelton » (1969) - Nouvelle Société 6. « Biscuiterie Buller » (1969) - Nouvelle Société 7. « Augé découpage » (1970) - Lettre à mon ami Pol Cèbe (Michel Desrois, 1971) - Le traîneau-échelle (Jean-Pierre Thiébaud, 1971) - Sochaux, 11 juin 1968 (1970) - Les trois-quarts de la vie (1971) - Week-end à Sochaux (1971-1972) - Avec le sang des autres (Bruno Muel, 1974) - Septembre chilien (Bruno Muel et Théo Robichet,1973) - Le train en marche (Chris Marker, 1973)
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En 1974, le réalisateur Pascal Aubier entreprend d'adapter « Le Dormeur du val » d'Arthur Rimbaud.
43 ans après, l'écrivain Didier da Silva découvre ce film un peu par hasard, enquête sur son tournage, rencontre Aubier, puis se lance sur les traces de cette aventure cinématographique et temporelle dans les Cévennes.
Edition reliée et complétée d'un DVD comportant trois courts métrages de Pascal Aubier : Le Dormeur, La Champignonne et Puzzle.
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Didier Roth--Bettoni en grand connaisseur du cinéma en général et particulièrement du cinéma international LGBT, fait ici l'historique de tous les films et téléfilms - américains d'abord, mais aussi français, allemands, australiens... - qui ont traité de l'épidémie du sida.
Depuis Un Compagnon de longue date (1990) à Théo et Hugo dans le même bateau (2016) en passant par Les Nuits fauves (1992), Philadelphia (1993)...
Trois cents films et téléfilms ou documentaires en tout !
« Ce livre, écrit--il, est sur les images de nous en ces temps de tempête.
Les images de nous créées en réponse au chaos, les images plaquées sur nous de l'extérieur, les images de nous en communauté...» et il ajoute :
« Ce livre comme un mausolée [...] » Dans Les Années sida à l'écran il fait le bilan de quatre décennies.
Il veut aussi en faire un hommage à ceux qui ont fait ces images et qui sont partis, Derek Jarman en tête auquel il a consacré, chez ErosOnyx, une monographie - avec le DVD de son premier film, Sebastiane (1976).
Et un salut à ceux qui ont fait et font encore ces images, à John Greyson le premier, artiste et militant canadien, son film Zero Patience (1993) en bandoulière dont le DVD accompagne le livre.
« Zero Patience, film gay, dit--il, film queer, film grave, film léger, film consolant, film revendicatif, film de mort, film d'amour, comme un symbole, comme un emblème, tant il incarne, d'une certaine manière (au-- delà, voire en raison même, de sa singularité), ces années sida et leur cinéma ».
Patience zéro, comme un slogan, Zero Patience, comme un manifeste...» L'ouvrage est préfacé par Christophe Martet, ancien président d'Act Up France et co--fondateur de Yagg, qui insiste sur la portée du livre, parce que le VIH aujourd'hui n'a pas dit son dernier mot.
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Rushes de Bruno Muel
Bruno Muel, Francine Muel-dreyfus
- Editions Commune
- Cinema Hors Capital(e)
- 9 Septembre 2016
- 9791091248129
Un texte inédit de Bruno Muel sur les images, le montage, l'engagement - qui fait rendre un drôle de son à notre époque -, des documents sur les groupes Medvedkine, des photogrammes de « Rio Chiquito » et de « Septembre chilien » et un DVD comprenant la version restaurée d' « Avec le sang des autre »s et un court de René Vautier (« Les trois cousins »).
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La parole perdue et retrouvée de Marc Scialom
Marc Scialom, Jean-françois Neplaz, Saad Chakali
- Editions Commune
- Cinema Hors Capital(e)
- 30 Avril 2015
- 9791091248082
Livre construit autour du film « Lettre à la prison » (1970) : « Film incandescent, film rescapé, « Lettre à la prison » est le grimoire halluciné d'une expérience intime de l'immigration. Une oeuvre hors norme, dont la modernité trouve sa filiation du côté de Bunuel, Jean Vigo, Pasolini, un cinéma de poète, d'images fulgurantes; un cinéma de montage, de greffes, d'incidentes, de collision et de stases, où l'univers onirique et la vérité documentaire se conjuguent pour mettre en scène l'expulsion de soi-même qu'opère la condition d'immigré.
Inclus le DVD du film + court métrage « La parole perdue ».
Entretien film de Franck Déglise-Bougherra.
Marc Scialom est cinéaste et écrivain, J.F. Neplaz est cinéste, Saad Chakali est critique de cinéma. -
Flacky & camarades ; le cinéma tiré du noir de Aaron Sievers
Collectif
- Editions Commune
- Cinema Hors Capital(e)
- 20 Avril 2011
- 9782953489941
A la fin des années 70, Pierre Gurgand, réalisateur, alors conseiller technique et pédagogique auprès de l'Institut National d'éducation Populaire, avait déplacé les stages cinématographiques et photographiques dans les corons, au coeur du peuple, entre Lens, Sallaumines et Liévin. C'était la fin des mines, le lent démantèlement de l'industrie lourde, une page de l'histoire ouvrière se tournait. Avec DVD du film et court métrage « La leçon de cinéma de Pierre Gurgand ».
Auteurs : Aaron Sievers, Jean Duflot, Marc-Henri Piault, Christian Hottin, Jean-François Neplaz, Marie-Jo Aiassa, Kiyé Simon Luang. -
Je t'ai dans la peau de Jean-Pierre Thorn
Collectif
- Editions Commune
- Cinema Hors Capital(e)
- 1 Juin 2014
- 9791091248051
« Je t'ai dans la peau » est une fiction tournée à Marseille en 1988. Inspiré d'une histoire réelle, le film raconte l'histoire de Jeanne, religieuse qui tombe amoureuse d'un prêtre-ouvrier, devient leader syndicaliste et s'engage au service de la cause féministe. Jeanne, jouée par Solveig Dommartin, l'héroïne des Ailes du désir, ou celle par qui le scandale arrive... Elle aspire au bonheur mais incarne jusque dans sa fin tragique l'aventure d'une génération qui voit, des années 1950 à 1981, ses rêves se briser implacablement... Ce livre et ce film ne nous enferment pas dans une histoire passée, mais posent des continuités entre des engagements d'hier et leurs métamorphoses au présent. DVD avec le film et un documentaire de Achille Chiappe sur le tournage du film.
Auteurs : Jean-Pierre Thorn est cinéaste, Kiyé Simon Luang et Jean-François Neplaz sont cinéastes, Raphäl Yem est animateur Radio, Laura Laufer, critique de cinéma.
Auteurs : Jean-Pierre Thorn, Jean-François Neplaz, Kiyé Simon Luang, Laura Laufer, Raphäl Yem, documents : entretien Serge Daney/Jean-Pierre Thorn-«Microfilm» 1990. -
La remontée du temps de Jean-François Neplaz
Jean-françois Neplaz, Frédéric Valabrègue, Paul-emmanuel Odin, Rodolphe Olcèse
- Editions Commune
- Cinema Hors Capital(e)
- 6 Avril 2010
- 9782953489934
C'est une mise à nue que propose J.-F. Neplaz (cinéaste et cofondateur de Film flamme et du Polygone étoilé). Son texte suit deux chemins entrelacés : un premier récit retrace la genèse de 4 de ses courts métrages et constitue un descriptif du processus de création de chacun d'eux. Dans un second mouvement, l'auteur porte une réflexion sur le geste cinématographique et interroge de manière critique son analyse chez des théoriciens comme Jacques Rancière et Giorgio Agamben à travers le geste politique et poétique de Jean-Luc Godard. Une réflexion qui déporte l'attention de l'analyse sur le rôle du son et celui de l'improvisation. Trois auteurs parcourent cette spirale du temps proposée par J.-F. Neplaz et font lecture des films qui fondent l'ouvrage. Avec DVD de 4 courts métrages de l'auteur.
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Renaud Victor présence proche
Collectif
- Editions Commune
- Cinema Hors Capital(e)
- 27 Octobre 2019
- 9791091248181
Témoignages et textes critiques autour des films de Renaud Victor, depuis les premiers films tournés auprès de Fernand Deligny dans les Cévennes jusqu'au dernier long métrage à la prison des Baumettes à Marseille en 1991.
Cinéaste et acteur, Renaud Victor (1946-1991) mène un long travail sur l'autisme auprès de Fernand Deligny et réalise "Ce gamin là" (1975), "Fernand Deligny, a propos d'un film à faire" (1989). Son dernier film "De jour comme de nuit" (1991) est une immersion pendant deux ans dans la vie quotidienne de la prison des Baumettes.
Auteurs : Anne Baudry, Caroline Caccavale & José Césarini, Richard Copans, Bruno Muel, Jean-François Neplaz. -
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Dictionnaire du cinéma japonais en 101 cinéastes ; l'âge d'or 1935-1975
Collectif, Pascal-alex Vincent
- Gm Editions
- 14 Juin 2018
- 9782377970179
Ce dictionnaire ge´ne´reux et accessible a` tous, novices comme cine´philes, retrace le parcours des re´alisateurs et des films a` l'origine de l'a^ge d'or du cine´ma japonais (1935-1975) : 101 destins et 101 histoires de cine´astes qui ont contribue´ a` faire du cine´ma japonais l'un des premiers cine´mas au monde.
Coordonne´ par Pascal-Alex Vincent, qui oeuvra pendant 12 ans a` la re´e´dition de grands classiques en salles, et re´dige´ par une jeune e´quipe de critiques et chercheurs venus de Paris et de Tokyo, Le Dictionnaire des cine´astes japonais pre´sente 101 cine´astes essentiels.
Chaque notice met en avant le parcours du cine´aste, ses oeuvres mai^tresses, avec toujours la me^me ambition, aider et inciter le lecteur a` de´couvrir ce cine´ma d'exception.
Jamais le cine´ma japonais ne nous a paru si proche.
Grands auteurs, petits mai^tres, cine´astes expe´rimentaux, pionniers du cine´ma d'animation, re´alisateurs de films de genre : ce dictionnaire illustre la grande varie´te´ du cine´ma japonais de studio (1935-1975).
Les cine´astes de cet ouvrage ont e´te´ choisis avec soin, et traite´s par ceux qui les aimaient particulie`rement.
Kiyoshi Kurosawa a ensuite valide´ puis comple´te´ la liste, permettant d'e´tablir un panorama ide´al de 101 cine´astes japonais incontournables.
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De quelques événements sans signification à reconstituer
Léa Morin, Collectif
- Zaman Books
- 29 Novembre 2022
- 9791093781259
Cet ouvrage présente la recherche de Léa Morin autour du premier film, longtemps invisible, du cinéaste marocain Mostafa Derkaoui De quelques évènements sans signification (1974), qui a conduit à sa récente restauration et diffusion internationale. Loin de se cantonner à une histoire cinématographique, ce « livre-archive, livre-enquête, livre-action » esquisse à partir des pistes multiples ouvertes par le film, une constellation de micro-histoires qui sont autant de réflexions et propositions de récits à faire émerger sur le Maroc culturel, artistique et politique des années 1970.
Le livre inclut un DVD avec le film. -
Textes de Philippe Azoury, Anne Dary, Donatien Grau, Élisabeth Lebovici, Brice Pedroletti, Thomas Schlesser.
Le film de Charles de Meaux (avec Fan Bingbing, Melvil Poupaud, Jin Shi-Jye, Wu Yue, Thibault de Montalembert, Féodor Atkin), en livre - textes de Philippe Azoury, Anne Dary, Donatien Grau, Élisabeth Lebovici, Brice Pedroletti, Thomas Schlesser -, Blu-Ray et DVD : une fresque singulière qui explore le rapport entre la tradition artistique impériale chinoise et l'art occidental, en même temps que le rapport entre la peinture et le cinéma.
C'est l'histoire d'une rencontre. C'est aussi l'histoire d'un portrait qui est lui-même une rencontre entre l'art chinois immuable et l'art occidental. Au milieu du XVIIIe siècle, le jésuite Jean-Denis Attiret est un des peintres officiels de la cour impériale de Chine. Il se voit confier la tâche honorifique de faire le portrait de l'impératrice Ulanara. Cette concubine, devenue impératrice à la suite de la mort de la première femme de l'empereur Qianlong, aura un destin très particulier. Rejetée et humiliée par l'empereur, elle finira sa vie seule et abandonnée de tous, sorte de figure romantique avant l'heure. D'elle ne restera que ce portrait à la sensualité énigmatique de Joconde asiatique.
Le film raconte ce moment fiévreux, où l'impératrice chinoise rencontre le peintre jésuite. Un moment où la relation électrique entre un peintre et son modèle est prise en étau dans les contraintes de la cour et les différences culturelles les plus extrêmes.
« Cette oeuvre pourrait devenir une référence en matière de reconstitution raffinée de la Chine ancestrale. ».
Vincent Ostria, L'Humanité.
« Un brillant jeu de miroirs qui reflète le caractère intraduisible de la tradition chinoise par le regard occidental. ».
Luc Chessel, Libération.
« Ce traité d'art et de culture entremêle avec goût sensualité et impertinence. ».
Vincent Ostria, Les Inrockuptibles.
« Inspirée d'une histoire vraie, une fresque romanesque et somptueuse, sur les traces de la Joconde asiatique au temps de la Chine impériale. ».
Guillemette Odicino, Télérama. -
Les gants blancs ; l'étrange affaire Angelica de Manoel de Oliveira
Louise Traon, Valérie Loiseleux
- Filigranes
- 23 Octobre 2014
- 9782350463094
"Je suis partie avec ma mère (Valérie Loiseleux) à Lisbonne à l'occasion du montage du dernier film de Manoel de Oliveira L'Étrange Affaire Angélica avec le désir de retrouver les souvenirs d'un cinéma avec lequel j'avais grandi. Ce nouveau voyage à Lisbonne se double d'un autre voyage, plus intérieur, dans les salles de montage des vingt précédents films de Manoel de Oliveira. Alors qu'une valise se ferme d'autres s'ouvrent.
Les Gants blancs sera un film sur mon apprentissage du cinéma, sur ce que le réalisateur et sa monteuse m'ont transmis d'année en année, silencieusement." LT Synopsis Isaac, jeune photographe juif, réfugié dans une commune proche de Porto, est sollicité par une riche famille de notables catholiques dont l'une des filles, Angélica, vient de mourir. On lui demande de prendre une photo de la défunte, sur son lit de mort. À l'instant où il règle ses cadrages, il voit le visage de la jeune femme s'animer. Il en tombe éperdument et instantanément amoureux. De retour dans la chambre de pension où il loge, le phénomène se reproduit : sur les photographies développées, Angélica lui apparaît vivante. Désormais, elle hante également ses rêves. Envoûté, Isaac sombre alors dans une profonde mélancolie, s'isole du monde extérieur et en vient à souhaiter la mort pour lui-même.
Le scénario du film avait été élaboré dès 1952 par le cinéaste portugais.
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Fac-similé des 5 albums photos du tournage du film réalisé en 1960. L'ouvrage rassemble quelque 1.000 photos qui ont servi à sa promotion, à l'illustration d'interviews, de reportages ou à un photo-roman. Il présente également la révélation des sources d'inspiration de F. Fellini.
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Dans les années 80 et sous l'influence de Mad Max et New York 1997, le cinéma d'anticipation et post-apocalyptique connaît un engouement tout à fait spectaculaire. De 2019 Après la chute de New-York aux Exterminateurs de l'An 3000, en passant par Apocalypse 2024 ou la série des Mad Max, le livre dévoile comment ces avenirs d'hier interrogent aujourd'hui encore notre présent...
200 pages richement illustrées contenant une analyse du genre post-apocalyptique en plein boom pendant la période des années 80, ainsi qu'un large focus sur de nombreuses pépites du genre, le tout accompagné du DVD du film Le Drive-In de l'Enfer, un long-métrage datant de 1986, en provenance d'Australie, et inédit en DVD en France.
Le DVD contient le film en français dans son format cinéma d'origine et, en suppléments, les bandes-annonces américaine et française du film, ainsi qu'un diaporama photo.
Réalisé par Brian Trenchard-Smith (Les Traqués de l'an 2000, Le Jour des assassins...), Le Drive-In de l'Enfer possède une certaine aura auprès des amateurs, en raison de son ambiance décomplexée et décadente. Il s'agit même d'un des films favoris de Quentin Tarantino !
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Vivez l'aventure incroyable du cinéma d'exploitation des années 70 et 80, à travers le parcours et les films de Brigitte Lahaie, la plus culte des actrices françaises. Un livre regorgeant de superbes photos, d'interviews, d'anecdotes, d'infos et d'analyses, et accompagné d'un DVD bonus exclusif ! Tout a commencé quand deux cinéphiles, Cédric Grand Guillot et Guillaume Le Disez, fans de films de genre, réalisent que personne n'a, à ce jour, raconté les exploits cinématographiques de Brigitte Lahaie. Brigitte Lahaie, l'icône de l'âge d'or du X français, mais dont la carrière et l'aura, toujours intactes aujourd'hui, ne sauraient se réduire à la pornographie. En effet, elle a joué dans plus d'une centaine de films de tous genres, de l'horreur au polar, en passant par l'aventure et la comédie.Soit ce qu'on appelle communément le « cinéma bis », un cinéma populaire à la marge des grosses productions mais qui fit les beaux jours des salles de quartiers des années 70 et 80. Assurés du soutien de Brigitte elle-même, co-auteur du livre, celui-ci retrace donc deux décennies folles, où une jeune femme timide découvre le fascinant pouvoir de son corps. Elle embrasse le courant joyeux et libertaire qui soufflait alors sur la production érotique et pornographique, en affirmant une liberté sexuelle absolue dont elle deviendra l'incarnation, avant de travailler avec des stars telles que Christopher Lee, Alain Delon, Henri Verneuil, Helmut Berger, Roger Carel, Stéphane Audran, Aldo Maccione, Jean-Jacques Beineix, Pierre Richard, Max Pécas, Michel Galabru et bien d'autres... Brigitte Lahaie, Les films de culte invite le lecteur à embarquer dans ce voyage via de nombreux entretiens, témoignages, surprises et révélations, mais aussi d'images fortes et souvent rares, telles de nombreuses photos de plateau inédites.Avec les contributions de Francis Mischkind, producteur et distributeur, fondateur d'Alpha France, Gérard Kikoïne, réalisateur et auteur du récent Kikobook, René Chateau, producteur et distributeur, Burd Tranbaree, réalisateur, Fabrice du Welz, réalisateur, Richard Allan alias "Queue de béton", comédien, Philippe Vandel, journaliste, ainsi que de nombreux autres. Le livre accueille aussi les « visions » de l'icône Brigitte Lahaie par des graphistes ou artistes tels que Jean-Sébastien Rossbach ou il Maestro Milo Manara. Enfin, un DVD bonus inclus dans le livre rassemble des bandes-annonces, des extraits, des interviews et un documentaire. Si les images de Brigitte Lahaie ont guidé votre éveil à la sexualité et que chacune de ses apparitions filmées vous inspire une volupté langoureuse, si vous aimez la poésie des films de Jean Rollin, dont Brigitte Lahaie fut l'égérie, si vous avez un faible pour les nanars sympas avec des infirmières maléfiques, des nazis crétins, de l'humour en-dessous de la ceinture ou des femmes-flics avec des gros calibres, soyez les bienvenus ! Le contenu de ce livre et de son DVD est strictement interdit aux moins de 16 ans.
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Différent ! ; "nous étions un seul homme" et le cinéma de Philippe Vallois
Didier Roth-bettoni
- Erosonyx
- 27 Février 2016
- 9782918444282
à partir du film Nous étions un seul homme (1979), inséré en DVD dans le livre, l'auteur étudie le cinéma différent de Philippe Vallois. D'où le titre. Il éclaire l'audace pionnière de ce film où la militance se joint à l'émotion. Dans le Lot-et-Garonne, en 1943, Guy, un jeune forestier interprété par Serge Avédikian dont ce fut le premier film (et qu'on retrouvera dans Le Pull-over rouge de Michel Drach), recueille sous son toit un soldat allemand blessé, Rolf. Ils vont peu à peu briser les tabous du dehors et du dedans pour ne former qu'un seul homme. Pour Philippe Vallois l'homosexualité n'est pas « un douloureux problème » selon la formule connue d'une émission radio de Ménie Grégoire, en 1971. L'auteur souligne le naturel de l'amour entre deux hommes. Ne se retrouvant pas devant les clichés de La Cage aux folles (1978) ni d'un club cuir SM, les critiques en furent déboussolés. Un pas décisif venait d'être franchi dans le cinéma LGBT.
L'auteur montre que ce film veut en finir avec la victimisation et la diabolisation de l'homosexualité.
Guy et Rolf en pleine guerre parviennent à s'aimer. La simplicité poétique et réaliste à la fois de leur histoire, dans le décor automnal des Landes, illustre à sa manière les grands mythes de l'amour plus fort que la mort.
Un avant-propos de Pierre Lacroix, auteur de Bleus et Homo Pierrot, romans parus chez EO entre 2007 et 2013, reprend la présentation du film faite au festival "Écrans mixtes" de Lyon en 2011.
Le livre complète l'autobiographie de Philippe Vallois déjà publiée en 2013, avec deux de ses films, chez ErosOnyx Éditions, sous le titre La Passion selon Vallois, le cinéaste qui aimait les hommes.
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Des films pour le dire ; reflets de la shoah au cinéma (1945-1985)
Claudine Drame
- Metropolis
- 10 Avril 2007
- 9782883401730
le champ de la relecture côtoie celui, mieux défini, de la réécriture.
nombre d'auteurs se relisent, sans se récrire ni se commenter. tacitement par l'image ou la mise en scène. tardivement par des moyens moins laconiques. analyser l'ensemble de ces gestes du xviiie au xxe siècle, c'est s'intéresser au rapport de soi à l'autre qu'on fut, à la conversion masquée ou proclamée, au reniement tacite ou non, au deuil ou à son impossibilité. c'est aussi dégager des constantes : homme de dos, l'auteur relecteur est volontiers diariste ou autobiographe, tourné vers son passé et celui de son oeuvre, il se relit de plus en plus à l'approche de la mort, construit rarement un seul tombeau, peaufine son testament, d'oeuvres ultimes en préfaces préposthumes.
lorsqu'elle est véritablement tardive, la relecture est un legs, parfois une bouteille à la mer qui ne se confond plus avec les réactions à chaud, les réponses virulentes aux lecteurs et aux critiques, mais la blessure de la réception originale, le sentiment d'un malentendu primordial ne s'apaisent pas nécessairement. rares sont les relecteurs heureux, à la fois satisfaits de leurs contemporains et confiants dans ce jugement de la postérité qu'ils ne cessent d'anticiper, tant relire, c'est élire et parfois défigurer l'oeuvre, relue, revue et corrigée, quelque fois mise en pièces.
le tome 1 propose au fil du volume une définition de la relecture, le tome 2 en esquisse une histoire au xxe siècle.
quand les mots ne sont pas là pour le dire, quand ils ne sont pas entendus ou quand on n'a pas envie de les entendre, le cinéma peut-il prendre leur place ? de la fin de la deuxième guerre mondiale à 1985, quand, comment et pourquoi le cinéma s'est-il intéressé, en particulier en france, à la destruction des juifs d'europe ? les actualités cinématographiques circonscrites à quelques mois de l'année 1945, avec leur brutalité, font figure de berceau de représentations.
après dix ans de silence, le cinéma français tente d'aborder directement la question en expérimentant la forme documentaire (nuit et brouillard), la fiction (l'enclos) et le témoignage filmé (le temps du ghetto). les années 70 et 80 voient des formes plus allusives de représentation : les évocations de la shoah se situent toujours en arrière-plan d'une narration concernant l'occupation (le vieil homme et l'enfant, lacombe lucien, les guichets du louvre, un sac de billes, monsieur klein, les violons du bal, la passante du sans souci.
) pour aboutir à une représentation et une " vérité " plus dépouillées : le témoignage filmé. claudine drame analyse ainsi quarante ans de cinéma jusqu'au moment oú sort le film de claude lanzmann, shoah, en 1985. ainsi se dessine la trace de la construction d'une mémoire sociale par le cinéma.
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« J'aurais dû être fusillé ce jour-là. » Par un heureux concours de circonstances, Jean Blum, résistant dans le massif du Vercors, échappe de justesse aux balles de l'armée allemande. Sa vie a basculé pendant la guerre. Adieu les années d'insouciance à Paris. Comment croire en son étoile lorsqu'on en porte une jaune, offerte à la haine aveugle ? Avec la traversée de la résistance, Jean Blum devient Jean Valère. Aux lendemains de la guerre, il éprouve un sentiment de vide que le cinéma vient combler. Il en gravit peu à peu les échelons. Marcel Carné, André Cayatte, Max Ophuls. Il côtoie les plus grands, dont il devient l'assistant. En acteur ému et en observateur amusé, il croise Arletty, Jean Gabin, Simone Signoret, Roger Nimier, Julien Gracq, Cocteau, Morand et Giono. Une fois devenu metteur en scène, sa vie devient une succession de films. Son cinéma explore la condition humaine dans le registre dramatique, et avec quelques incursions dans la comédie. Il dirige des acteurs aussi différents que Maurice Ronet, Jean Seberg, Monica Vitti, Jacques Brel, Emmanuelle Riva. Entre souvenirs et anecdotes, entre gravité et légèreté, le récit de Jean Valère nous restitue des pages entières de l'histoire du cinéma français, de l'après-guerre à aujourd'hui, avec un éclairage particulier, sur l'histoire de la Nouvelle vague notamment.
Le livre sera accompagné du fi lm (DVD) "La Sentence" (1959) de Jean Valère avec Robert Hossein, Marina Vlady, Roger Hanin, Béatrice Bretty, Lucien Raimbourg... et en bonus des entretiens avec Jean Valère, Robert Hossein et Marina Vlady...
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On doit à l'emblématique couple d'artistes formé par le russe Alexandre Alexeïeff (1901-1982) et l'américaine Claire Parker (1906-1981) l'invention d'un extraordinaire procédé de réalisation de cinéma d'animation : l'écran d'épingles, qu'ils utilisent pour la première fois en 1933 pour leur film "Une nuit sur le mont Chauve". Génial instrument permettant par le jeu de la lumière sur des épingles, de transposer le rendu, la gamme de dégradés propres à la gravure, pour laquelle Alexeïeff était renommé dès les années 1920 grâce à ses superbes illustrations d'oeuvres de Guillaume Apollinaire, Léon-Paul Fargue, André Malraux, Cervantès et bien d'autres. Si l'écran d'épingles leur permit d'être mondialement (re)connus, Alexeïeff et Parker sont avant tout de grands artistes, cinéastes et plasticiens hors normes, ce dont attestent les nombreuses illustrations de cet ouvrage, ainsi que les très inventifs films publicitaires du couple, présentés dans le DVD.
Alexeïeff/Parker, montreurs d'ombres, apporte de nouveaux reg