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Quittant le Congo, Julien Makambo arrive en France sous le nom de José Montfort. Il est accueilli à Paris par Pedro, figure de proue du milieu congolais de la capitale. Sapeur à la pointe des tendances et « homme d'affaires » au bras long, Pedro prend Julien sous son aile et l'initie au monde des combines souterraines. Les affaires tournent, Julien a la vie belle et festive... jusqu'à ce vendredi 13 maudit, où il se retrouve malgré lui mêlé à la défenestration d'une jeune femme. En prison, il écrit son histoire, celle d'un jeune homme confronté à son destin : Makambo en lingala signifie « les ennuis ». Et face aux ennuis, une règle d'or règne ici en maître : Tais-toi et meurs.
LA COLLECTION : « Pour VENDREDI 13, nous avons tenté la gageure de rassembler treize écrivains de renom et leur demander de nous broder 13 romans musclés autour de cette date fétiche. 13 récits d'action, contemporains, où le héros, l'héroïne, met sa vie en jeu pour : un paquet de fric, l'amour, sa liberté, la gloire, la révolution, une utopie... à chaque auteur de choisir. Notre premier succès a été de réussir à recruter une très belle bande de mercenaires : Brigitte Aubert, Pierre Bordage, Patrick Chamoiseau, Mercedes Deambrosis, Pierre Hanot, Jean-Marie Laclavetine, Alain Mabanckou, Olivier Maulin, Pierre Pelot, Pia Petersen, Scott Philipps, jean-Bernard Pouy et Michel Quint. Nos plus secrets espoirs sont comblés : nous avons lu un panaché explosif de récits mordants, vitriolés ou haletants ? à tous les coups savoureux. Unis par la seule date qui donne son nom à la collection, nos treize auteurs offrent un chatoiement de sujets, d'écriture, bref, d'inspiration. (Patrick Raynal, directeur de la collection « Vendredi 13 ».)
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Sur les ondes troublées d'une radio militante de banlieue, Crista donne la parole aux taulards. C'est par le biais de son émission, « Levée d'écrou », qu'elle entre en contact avec un certain Manu qui, sortant sous peu de Fleury, désire la rencontrer pour la remercier de l'avoir aidé à tenir tout son temps d'incarcération. S'amourachant de lui, elle le présente au mystérieux directeur de la radio à qui Manu propose d'installer, à l'oeil, un ultraperformant système informatique. Ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'elle vient de faire entrer un loup dans cette drôle de « bergerie ».
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Au Quolibet, dans un cabaret miteux de Lille, Miranda fait un numéro humoristique de voyance. Un soir, elle reconnaît dans le public un important promoteur qui lui a causé du tort autrefois. Décidée à se venger, elle lui prédit sa mort avant le vendredi 13. L'homme est très vite victime d'une tentative de meurtre. Poursuivi, il se réfugie auprès de Miranda pour qu'elle lui prédise le danger à tout instant. Elle se retrouve à le protéger, à risquer sa vie pour ce type qu'elle hait et dont elle souhaite la ruine.
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Sahil, jeune déserteur de l'armée afghane, réfugié à Paris, est recruté pour exécuter une jeune femme, un vendredi 13. Se rendant compte qu'il est victime d'une machination, Sahil va peu à peu se retrouver embarqué dans une folle équipée, en compagnie d'une adoratrice de Satan et d'une fillette Rom mystérieuse, pourchassé par des Russes qui ont vendu leurs âmes au Diable.
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Même à 23h, la chaleur n'en finit pas de faire bouillir les caveaux.
On pourrait croire que tout commence ce soir-là, ce vendredi 13 caniculaire où Mado ramène Dustin à la maison, un jeune type à l'air franchement voyou. On pourrait croire aussi que Mado a un sérieux béguin pour Dustin, tant elle le protège des piques de Stany, son mari. Mais il y a Nell, la renversante Nell, la nièce de Mado et Stany. C'est elle qui comprend la première que quelque chose cloche. Que Dustin n'est pas celui qu'on prétend.
Que sa chère tante Mado a concocté une danse savante et macabre pour le quatuor en ébullition. Nell n'a qu'à tirer sur le fil pour que la vérité se déroule. Impitoyable, cynique et cruelle.
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Dans l'hôtel, il y a le personnel, en général originaire de pays, plus au Sud, ensanglantés par la lutte entre le pouvoir et la libération. Il y a les clients, dont des écrivains en goguette, des révolutionnaires en mission secrète et un tueur en chasse. Et il y a une direction cynique ayant accepté que certaines salles servent aussi de centre de rétention pour immigrés sur le départ... Tout ce beau monde, microcosme baroque et absurde des douleurs du monde, se mélange avec fureur et va transformer cet établissement chic en creuset où couve une nécessaire et salutaire explosion.
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LE LIVRE : Ils étaient une bande de treize adolescents inséparables, des idéalistes nés trop tard, « une génération à la con qui a tout raté ». Une nuit, soûls, ils se jurent de ne jamais désarmer et décident d'engager un tueur à gages chargé de les exécuter si, adultes, ils venaient à trahir leurs idéaux.
Aujourd'hui, proches de la cinquantaine, le poids du temps, du boulot et des compromis pèse sur leurs épaules. Ils travaillent ensemble, ne sont plus vraiment des amis mais se revoient, aux enterrements. Car la bombe à retardement de leur jeunesse s'est enclenchée : chaque treize lune, l'un d'eux est assassiné...
LA COLLECTION : « Pour VENDREDI 13, nous avons tenté la gageure de rassembler treize écrivains de renom et leur demander de nous broder 13 romans musclés autour de cette date fétiche. 13 récits d'action, contemporains, où le héros, l'héroïne, met sa vie en jeu pour : un paquet de fric, l'amour, sa liberté, la gloire, la révolution, une utopie... à chaque auteur de choisir. Notre premier succès a été de réussir à recruter une très belle bande de mercenaires : Brigitte Aubert, Pierre Bordage, Patrick Chamoiseau, Mercedes Deambrosis, Pierre Hanot, Jean-Marie Laclavetine, Alain Mabanckou, Olivier Maulin, Pierre Pelot, Pia Petersen, Scott Philipps, Jean-Bernard Pouy et Michel Quint. Nos plus secrets espoirs sont comblés : nous avons lu un panaché explosif de récits mordants, vitriolés ou haletants ? à tous les coups savoureux. Unis par la seule date qui donne son nom à la collection, nos treize auteurs offrent un chatoiement de sujets, d'écriture, bref, d'inspiration. (Patrick Raynal, directeur de la collection « Vendredi 13 ».)
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LE LIVRE : « Le commandant fut happé par l'idée que, dans une ironie malencontreuse du sort, il était en train de vivre ce qu'il avait ardemment désiré au fil de sa longue et monotone carrière : la rencontre avec un tueur considérable, une bête de sang demeurée inconnue des forces de police. Et c'était là, durant la merde de ce vendredi 13, ultime nuit de garde de sa longue carrière, qu'il découvrait son existence, et qu'il se retrouvait soumis au bon plaisir de ce que la Martinique avait sans doute produit de plus épouvantable... » Tenu captif, le commandant de police écoute le récit hypnotique du tueur. Car tant que la confession dure, la mort est tenue à distance.
LA COLLECTION : « Pour VENDREDI 13, nous avons tenté la gageure de rassembler treize écrivains de renom et leur demander de nous broder 13 romans musclés autour de cette date fétiche. 13 récits d'action, contemporains, où le héros, l'héroïne, met sa vie en jeu pour : un paquet de fric, l'amour, sa liberté, la gloire, la révolution, une utopie... à chaque auteur de choisir. Notre premier succès a été de réussir à recruter une très belle bande de mercenaires : Brigitte Aubert, Pierre Bordage, Patrick Chamoiseau, Mercedes Deambrosis, Pierre Hanot, Jean-Marie Laclavetine, Alain Mabanckou, Olivier Maulin, Pierre Pelot, Pia Petersen, Scott Philipps, Jean-Bernard Pouy et Michel Quint. Nos plus secrets espoirs sont comblés : nous avons lu un panaché explosif de récits mordants, vitriolés ou haletants ? à tous les coups savoureux. Unis par la seule date qui donne son nom à la collection, nos treize auteurs offrent un chatoiement de sujets, d'écriture, bref, d'inspiration. (Patrick Raynal, directeur de la collection « Vendredi 13 ».)
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Découvrez Paris mutuels, le livre de Jean-Marie Laclavetine. Vincent, narrateur de cette histoire, est un être immature et naïf, nul en affaires, pitoyable en amour, déloyal en amitié, et nombre de ses comportements sont impossibles à justifier.
Pour sa défense on plaidera que s'il n'avait pas rencontré Léa, un jour funeste sur un champ de courses, sa vie aurait pu prendre un tour plus acceptable. Hélas il y eut Léa, et avec elle arrivèrent les malheurs dont on découvrira ici l'enchaînement fatal. Ce livre veut contribuer à l'édification des masses, en indiquant où peuvent mener les excès de l'amour et les tentations du vice. Puissent les générations futures être épargnées par ces deux fléaux.
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Alors qu'Adrien s'était rangé des voitures et retiré à la campagne, voilà que, sous prétexte que ses voisins sont les parents du nouveau ministre de l'Intérieur, les CRS viennent lui chatouiller les arpions et piétiner son potager. Mais on ne réveille pas impunément un ancien terroriste à la retraite ! Surtout un vendredi 13.
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Hugo est le porte-flingue heureux d'un patron véreux.
Une vie bien réglée, qui bascule furieusement quand un prêtre imbibé jusqu'à l'os donne à Hugo un livre, dont le héros est tin homme bon. prêt à tout pour protéger les faibles. Cette lecture bouleverse Hugo : lui aussi veut faire le bien. Il ne veut plus tuer. Oui mais voilà, il n'est pas simple de protéger les gens quand on a pour mission de dézinguer... Et cette bande de hackers, les " vendredi 13 ", ne lui facilitent pas la tâche : en piratant les comptes de son patron, ils déclarent la guerre ouverte.
Les hostilités doivent commencer. Quelle galère.
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On ne plaisante pas avec le céleri rémoulade. Pour avoir raté le sien, Viviane flotte dans la cuve à vinaigre, une balle dans le ventre.
Il faut dire que son meurtrier de mari est fin gastronome. Vigneron de profession, il aime les sauces généreuses et les cuissons délicates. La cuisinière à domicile dont le bon veuf vient de s'adjoindre les services n'a qu'à bien se tenir. Seulement voilà : dans le genre toquée, la nouvelle aussi a la gâchette facile...
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« Le jour va bien finir par se lever sur L.A. Je me relèverai, ça sera dur mais j'y arriverai. Je monterai dans ma voiture, je démarrerai en direction de Wiltshire, je prendrai Mulholland Drive pour rejoindre Hollywood et Jessica. » Être récupérateur de dettes, ce n'est pas de tout repos, il faut mettre sa mauvaise conscience dans sa poche, avec un mouchoir sale dessus. Et, dans un bled comme L.A., faut pas se méprendre. On n'est pas n'importe où. Le rêve peut vite se transformer en cauchemar, lui, beaucoup plus terre-à-terre.
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" Si des keufs te demandent tes papiers, tu leur chantes la Marseillaise.
C'est la preuve par a + b du bon sang français qui coule dans tes veines de moricaud. "
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LE LIVRE : Homme à femmes frénétique, Crandall Taylor est la star de Ventura County, un soap opéra américain qui connaît un grand succès en France. De passage à Paris, Crandall mène une vie aussi sulfureuse qu'industrieuse. À la recherche d'investisseurs pour produire son film, il rencontre ? entre autres femmes ? Esmée, une créature enivrante et persuasive qui convainc son riche mari de financer le projet. L'affaire est conclue, au lit et sur le papier.
Mais derrière le sourire et la coupe impeccables de l'acteur se cache un dérangé chronique, prêt à tout pour arriver à ses fins... Et quand le mari d'Esmée apprend l'adultère, la vie de Crandall bascule soudainement d'Amour, Gloire et Beauté à Sexe, Mensonges et Vidéo.
LA COLLECTION : « Pour VENDREDI 13, nous avons tenté la gageure de rassembler treize écrivains de renom et leur demander de nous broder 13 romans musclés autour de cette date fétiche. 13 récits d'action, contemporains, où le héros, l'héroïne, met sa vie en jeu pour : un paquet de fric, l'amour, sa liberté, la gloire, la révolution, une utopie... à chaque auteur de choisir. Notre premier succès a été de réussir à recruter une très belle bande de mercenaires : Brigitte Aubert, Pierre Bordage, Patrick Chamoiseau, Mercedes Deambrosis, Pierre Hanot, Jean-Marie Laclavetine, Alain Mabanckou, Olivier Maulin, Pierre Pelot, Pia Petersen, Scott Philipps, Jean-Bernard Pouy et Michel Quint. Nos plus secrets espoirs sont comblés : nous avons lu un panaché explosif de récits mordants, vitriolés ou haletants ? à tous les coups savoureux. Unis par la seule date qui donne son nom à la collection, nos treize auteurs offrent un chatoiement de sujets, d'écriture, bref, d'inspiration. (Patrick Raynal, directeur de la collection « Vendredi 13 ».)
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LE LIVRE : Bipolaire, Zoran vit d'amours passagères et de désillusions. Jusqu'au jour où il croit toucher le pactole en faisant main basse sur treize kilos de « Vendredi 13 », une came nouvelle génération, la Rolls-Royce de la défonce...
Poursuivi par une armada de motards néo-nazis qui veulent récupérer la poudre, coincé entre le marteau de la mafia et l'enclume des flics, Zoran apprendra à ses dépens qu'on ne jongle pas impunément avec la chance. Et que nul ne s'improvise dealer ni porte-flingue.
LA COLLECTION : « Pour VENDREDI 13, nous avons tenté la gageure de rassembler treize écrivains de renom et leur demander de nous broder 13 romans musclés autour de cette date fétiche. 13 récits d'action, contemporains, où le héros, l'héroïne, met sa vie en jeu pour : un paquet de fric, l'amour, sa liberté, la gloire, la révolution, une utopie... à chaque auteur de choisir. Notre premier succès a été de réussir à recruter une très belle bande de mercenaires : Brigitte Aubert, Pierre Bordage, Patrick Chamoiseau, Mercedes Deambrosis, Pierre Hanot, Jean-Marie Laclavetine, Alain Mabanckou, Olivier Maulin, Pierre Pelot, Pia Petersen, Scott Philipps, Jean-Bernard Pouy et Michel Quint. Nos plus secrets espoirs sont comblés : nous avons lu un panaché explosif de récits mordants, vitriolés ou haletants ? à tous les coups savoureux. Unis par la seule date qui donne son nom à la collection, nos treize auteurs offrent un chatoiement de sujets, d'écriture, bref, d'inspiration. (Patrick Raynal, directeur de la collection « Vendredi 13 ».)
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L'automobile tue, on le répétera jamais assez.
A l'occasion, elle peut même transformer en assassin un honnête citoyen, bon père, bon époux, et dirigeant d'entreprise avisé. pour cela, il suffit d'un verre de trop, d'une soirée pluvieuse, d'une fille excitante et d'un gros 4x4 bardé de chromes. dans le domaine du crime comme ailleurs, c'est le premier pas qui coûte. après, c'est une autoroute !...
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