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Cicéron Angledroit est détective privé en banlieue parisienne. Quand il ne croule pas sous les affaires, ce qui est régulièrement le cas, il partage son temps entre sa fille et ses maîtresses. Mais voilà, tout à coup il se retrouve avec deux dossiers sur le dos. D´un côté, une sombre histoire de policiers pas très honnêtes, de l´autre, un mystère autour d´une naissance... Avec son flegme et son humour légendaires, Cicéron mène l´enquête.
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Les enquêtes de Cicéron Tome 1 : sois zen et tue-le
Cicéron Angledroit
- Publibook
- 15 Août 2012
- 9782748388657
Mais qu'est-ce qu'il lui prend, à la mère Costa, de me demander d'enquêter sur la mort de son mari enterré depuis dix ans ? Si j'accepte, c'est bien parce que j'ai besoin de sous. Et puis il y a cette histoire de truands de banlieue qui explosent à chaque coin de rue. Et ces SDF qui n'en sont pas. Ajoutez une ou deux femmes mariées, un Yorkshire. Mélangez le tout et dégustez ! Mais c'est qui qui tue ? Pour le savoir il va falloir me suivre, moi Cicéron Angledroit, jusqu'au bout de cette histoire. Sacrément séducteur, non moins nonchalant et caustique, Cicéron Angledroit est un détective comme on les aime : irrévérencieux, un peu voyou, travaillant dans les marges. Un personnage qui s'inscrit dans la lignée des San Antonio et Burma, qui, à travers son regard décalé et impertinent, nous entraîne dans les noires arcanes d'une famille en apparence bien sous tout rapport. et qui livrera ses secrets d'une manière pour le moins déconcertante.
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"- Où est ma fille ? Dites-moi où est mon enfant, je vous en supplie. implora Denise, mais son agresseur resta de marbre. L'inconnu avait déposé délicatement Loïs sur un matelas. La petite fille eut juste le temps d'apercevoir d'autres lits avant que la lourde porte se referme sur elle. Au matin elle fut réveillée par une petite main qui caressait sa joue. - Je m'appelle Cristal et voici Simon, comment tu t'appelles ? - Loïs. - Cette enfant est un ange. Elle est si belle, paraît si pure avec ses boucles blondes, sa peau de porcelaine et ses yeux si bleus. - Elle vaut bien un petit supplément, dit l'inconnu en tendant la main vers son interlocuteur. Elle n'est arrivée qu'hier soir. Personne n'y a encore touché. - Alors elle a encore plus de valeur, dit-il en sortant quelques billets qu'il glissa dans la poche de la chemise de l'inconnu."
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La vie quotidienne d'une ville imaginaire d'une province non moins irréelle, pervertie par les manigances de notables bien peu reluisants. La mangrove grouille de crabes qui, ébahis, sortent de leurs trous. Un psychopathe rôde, avide de chair morte. Son obsession : pratiquer des chasses nocturnes tous azimuts ! Pas de quoi en faire " un calalou " direz-vous ? Mais, les crabes doivent jeûner quelque temps dans une barrique de piments z'oiseaux. Dans ce pastiche de roman policier désopilant et cocasse, l'auteur nous dresse un tableau hilarant et cruel des politiques et autres notables. Une galerie de personnages loufoques et des situations rocambolesques lui permettent de laisser libre court à une fantaisie narrative qui s'appuie sur le langage et son sens de l'absurde. Lisez donc plutôt car, selon l'auteur, " l'appétit vient en lisant ".
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« Les infos de treize heures. Le corps sans vie de Laetitia, une jeune fille de dix-sept ans, a été retrouvé en fin de nuit sur les bords de la Dyle. Nous venons d´apprendre l´identité du professeur arrêté tôt ce matin. L´enquête doit encore déterminer... » Jeune professeur, Virgile est un ami de l´inculpé. Son existence est bouleversée par cette arrestation. Tout au long de l´enquête vont surgir dans son esprit d´innombrables questions face à une vie plus compliquée qu´il ne le pensait. Ce roman, tour à tour grave et léger, explore les réactions de l´entourage d´un meurtrier présumé.
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Paris, demain. Une nuit d'été dans la capitale tentaculaire assommée par la canicule. Les rues sont calmes, peut-être un peu trop. Pas un souffle d'air, le silence pour seule rumeur. Et pour cause: véhicules à l'arrêt, poussettes abandonnées, corps inanimés sur le bitume La cité, en un instant, est devenue le théâtre d'un mal étrange et foudroyant. Pour les rescapés, le cauchemar commence.
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Meurtres à Saint-Jean-de-Luz
Bernard Marcout
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 7 Novembre 2011
- 9782748370232
Quand Julien Amiot est envoyé à Saint-Jean-de-Luz pour dénouer une affaire de meurtre, personne dans la commune basque ne croit au succès du policier parisien. Et encore moins le capitaine Bixente Etchart, fort de son expérience locale, qui, pour l'instant, patauge dans ses recherches. Les deux hommes vont travailler de pair, sur fond de rivalité, de rancurs et de jalousie. Le policier parisien, qui connaît la ville depuis son enfance, n'a pas été envoyé par hasard : la cité des Corsaires n'a aucun secret pour lui.
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À Paris en novembre 1962, Alicia Grandin est tuée par trois hommes. Dieu l'accueille dans son royaume, puis la renvoie sur Terre. Tout commence. Alicia et son amie Adeline traquent les coupables pendant que l'inspecteur Pierre Jaspar mène l'enquête. Le policier est confronté à des forces invisibles, à deux femmes vengeresses et un inconnu portant une redingote. « La prostituée releva le couteau et tourna la tête vers Alicia. Elle la regarda en lui souriant, puis planta le couteau dans la poitrine de Robert, une fois, deux fois, trois fois... plusieurs autres fois, avec un acharnement et une frénésie diabolique. Ses cris et ceux d'Alicia traversèrent la longue avenue, des hurlements de louves enragées. Il y avait en eux une énergie remplie de certitudes nourries des souffrances de la femme. »
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Le meurtre d'un client homosexuel au Club Med d'Agadir n'est pas un cas isolé. Venus déguisés en Gentils Membres épauler la police marocaine pour élucider la mort de ce touriste français, le capitaine Le Guen et le lieutenant Muller vont déterrer trois morts suspectes survenues ces dernières années dans des Clubs Med du Sénégal, d'Espagne et de France. Ils remonteront la trace d'un tueur au passé douloureux, animé par le seul désir de vengeance. Lorsque l'enfer s'invite au paradis : Joe Tanghe choisit des cadres de rêve pour semer les pièces d'un puzzle sordide. De l'île Maurice à Rome, via le Maroc, il suit la fuite en avant d'un écorché vif au fil d'une enquête rondement menée. Conjuguant dépaysement et suspense, un scénario solide pour un polar maîtrisé.
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Julien Molinet, agent d'assurances à Dijon, est un personnage sans aucun scrupule. Bel homme de surcroît, il use de son charme pour placer auprès des clientes ses contrats douteux. Ambitieux, il veut conquérir la première place de son agence envers sa direction régionale. Pour ce faire, il séduit Nadia, une belle fille, clerc de notaire qui lui confie les adresses de clients aisés. La jeune femme comblera Molinet, dans tous les sens du terme, jusqu'au jour où tout bascule. Mais c'est sans compter la présence d'un témoin sur les lieux du drame...
Un assureur véreux, une femme fatale, un pactole à empocher, un témoin gênant, sans oublier le grain de sable qui fera toute la différence... Jean-Paul Martoire procède avec minutie à l'autopsie d'un plan machiavélique échappant au contrôle de son instigateur. Du fait divers au roman noir, il franchit le pas et assemble les pièces d'une tragédie ordinaire, crédible et inquiétante.
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« Mercenaire du crime et volontaire pour n'importe quel trafic louche, pourvu que cela me rapporte, voici ma carte de visite. C'est un métier qui n'exige pas de compétences particulières pense-t-on, tuer (ou éliminer) ne paraît pas difficile. En réalité cela exige une quantité de qualités, autant que pour être pilote de course ou pianiste. Je dois être patient, bon observateur, avoir la main ferme et du sang froid pendant l'« action » et surtout, je ne dois pas être embarrassé par une conscience tatillonne et volubile ou par un coeur d'enfant de Marie. Bien que je ne me souvienne pas d'avoir eu à supprimer un honnête travailleur, un bon époux ou un brave à trois poils, je le ferais si cela m'est commandé et payé car qui sait quelle crapule se cache derrière l'apparence de l'honnête homme ou de la femme sérieuse ? »
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Didier Méroni est un citoyen comme des millions d'autres, menant une petite vie tranquille en Haute Normandie, entre sa famille et son travail d'ouvrier fondeur. Jusqu'au jour où il perd et son emploi et son épouse qu'il surprend dans d'autres bras. C'est alors que commence une lente descente en enfer : divorce, éloignement de sa fille de douze ans, recherche d'un emploi et désoeuvrement total. Fragilisé psychologiquement, et afin de faire face aux difficultés financières du quotidien, il décide de « faire un coup », un seul, qui lui permettra de se reconstruire et de se mettre à l'abri. Ça peut marcher... si le hasard ne s'en mêle pas. De la première à la dernière page, le lecteur se laisse entraîner dans ce drame sociologique de nos temps modernes, sur fond d'enquête policière parsemée de suspense et de curieuses coïncidences.
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Houlgate, l'énigme du kursaal
Marcel Miocque
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 8 Février 2012
- 9782748376302
Été 1938. À Houlgate, station balnéaire du Calvados, une dame du meilleur monde s´éprend d´un séduisant employé saisonnier. En septembre 1939, le jour même de la déclaration de guerre, un pêcheur retrouve le corps de la malheureuse, abandonné sur la plage au voisinage du kursaal. L´enquête démarre dans l´ambiance de la « drôle de guerre », ralentie par l´absence de nombreux hommes mobilisés. Des difficultés supplémentaires vont se présenter avec l´arrivée des troupes d´Occupation en juin 1940. La victime ayant eu antérieurement à son service une jeune Allemande, la possibilité d´une affaire d´espionnage vient en outre compliquer la donne. Enfin la petite Simca de la victime avait été volée la nuit du drame, peut-être en relation avec le meurtre. Beaucoup de pistes donc seront passées au crible avant que soit enfin faite la lumière complète...
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Six ans qu'il est parti. Six ans que sa mère est morte. Six ans qu'il rumine sa vengeance. Aujourd'hui, Léo revient enfin dans son village d'enfance, dans sa maison bleue. Il a vingt ans et soif de justice. Quelqu'un doit payer. Horgues, le patron de la scierie, l'homme qu'il tient pour responsable du drame, va découvrir ce que l'on ressent lorsqu'on vous prive d'un être cher, de son propre sang : Léo kidnappe sa fille de six ans. Jusqu'où est-on prêt à aller pour tuer sa souffrance ? Autour de la quête de vengeance et de la fuite en avant, Marie Ranc orchestre sous des airs de chronique rurale un drame à hauteur d'hommes. Un thriller psychologique implacable pour un tourbillon inexorable.
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- Il y a un hic, pressentit immédiatement Léa. Pour garder le suspens, le commissaire partit chercher un café et revint, quelques minutes plus tard, le gobelet brûlant dans les mains. Enfin, il reprit: - Mais, nous ne sommes pas dans le cas d'un crime « banal ». Les médecins qui ont examiné le corps de M. Abart m'ont affirmé que celui-ci était mort avant d'avoir reçu les balles dans le ventre. Cela compliquera un peu cette enquête, je le crains. [.] » M. Proust but une gorgée de café et ajouta : - Une autre chose étrange : l'agresseur avait les clefs de la villa et semblait connaître la maison. [.] Pour cette enquête, vous avez carte blanche. Tout est clair ? - Très. Ne vous a-t-on jamais dit qu'un parfait coupable ne l'est pas forcément ?
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Il est coutumier de comparer la vie à un chemin Celui de John Porter a peut-être ceci de particulier que cet architecte ne s'y sent pas tout à fait à son aise, que cet homme y évolue comme dépossédé de lui-même, dans une atonie pesante Une sorte de brouillard quotidien, qui se voit soudainement percé par des cauchemars récurrents mais aussi des êtres qui croisent soudainement sa route : Smokey, l'Australien malade, Angus, lady Gwineth sont ainsi de ces êtres qui vont peser de leur poids sur son parcours, qui vont, implicitement, tenter de faire coïncider John avec ses envies et ses désirs. Et qui, à leur manière, vont le conduire à bouleverser sa vie et le plonger au creux du mystère lié à la Dame des Marches. Quête existentielle progressant presque irrésistiblement vers des brumes plus fantastiques et ésotériques, « La Gare » parvient, au moyen d'une écriture oscillant entre le blanc et le désincarné, à nous entraîner dans le sillage dun antihéros comme guidé vers une remise à plat de ses attentes et de sa vie. Comme orienté vers une histoire qui lui appartient tout autant qu'elle le dépasse. Comme attiré vers une destinée qu'il ne soupçonnait pas ou qu'il ne faisait que pressentir Avec ce roman, John Mauret signe une oeuvre aux détours et virages inattendus, à l'ambiance fascinante et ensorcelante.
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Miscellanées culinaires
Patrick Tournier-Potiez
- Publibook
- Mon Petit Editeur
- 8 Juillet 2011
- 9782748365955
Première affectation à Nice pour le juge Bastien De La Roche Vivier et premier meurtre. Grand et athlétique, ce brun aux yeux vert indéfinissable se crée vite une réputation de play-boy à la répartie toujours affûtée. Son collaborateur l'inspecteur Garriguette va lui faire découvrir les méandres d'une ville où chaque mètre carré aiguise les appétits. Et quand le juge s'approchera de la vérité, certains n'hésiteront pas à s'attaquer à son entourage le plus proche, son compagnon.
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Affectée à la P.J. de Lyon, le lieutenant Lou Grimaud est confrontée dès sa prise de fonction à une série de meurtres aussi subtils que violents. Comme si le tueur, mélomane et pervers, l'avait attendue pour la tester. La musique de Mozart, n'adoucit pas vraiment les moeurs. Jeu de piste noire sur fond d'opera seria, une sombre partition où la moindre erreur peut conduire à la mort du chasseur sur la trace du fauve, une partie d'échec entre un chef d'orchestre masqué et une inspectrice, aussi obstinée que séduisante, qui apprend vite la musique.
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Dis maman, c'est comment quand on est heureux ?
Gabrielle Motta
- Publibook
- 28 Février 2008
- 9782748340914
Mariée et mère affectueuse de deux enfants, une femme que le présent semble combler pleinement est victime de problèmes de santé chroniques et psychosomatiques. Elle débute donc une psychothérapie, durant laquelle elle évoque les souvenirs d'une enfance marquée par un père aux accès de violence incontrôlables et meurtriers. Cependant, cette exploration de la mémoire n'est pas sans conséquence : entre un attachement immédiat à sa thérapeute et une prise de conscience des défauts d'une mère idéalisée, Gabrielle Motta exhume les secrets douloureux, profondément enfouis sous les strates du temps.
En quoi sommes-nous toujours porteurs de notre enfance et des événements qui l'ont marquée ? Avec "Dis Maman, c'est comment quand on est heureux ?", Gabrielle Motta répond à cette question essentielle mais souvent occultée en créant une oeuvre romanesque relatant la psychanalyse d'une femme au foyer. L'écrivaine compose ainsi un roman aussi bien introspectif que rétrospectif, oscillant entre le présent et les différentes strates du passé. Un texte donc qui, à travers une écriture à la première personne et la compréhension des traumatismes premiers, dit la recherche d'une résilience et du bien-être par la parole thérapeutique. -
Alors, depuis vingt ans, oui vingt ans déjà, tout le monde me croit concertiste. Bien sûr pour donner le change, je travaille mon piano plusieurs heures par jour. Je vois des maîtres pour me perfectionner en vue des concerts, je fais des « Master classes », des stages. Je fais tout ce qu'il faut pour que personne n'ait le moindre doute à ce sujet. Et comme je suis vraiment passionné par le piano, enragé même, je n'ai pas vraiment beaucoup de mal à convaincre ceux qui ne demandent qu'à me croire. Pour le commun des mortels, une Étude de Chopin, c'est une Étude de Chopin. Basta. J'en interprète quelques-unes à ma façon, et mon béotien ne se pose aucune question. Pour lui je suis un véritable artiste. C'est un odieux mensonge. La vérité, c'est que pour gagner ma vie j'exerce une profession parallèle. Un métier qui lui aussi demande beaucoup de doigté, surtout en public. Je vous ai prévenu. J'ai un côté obscur.
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Ça commence par un coup de téléphone. « Si vous voulez connaître la vérité sur la mort de votre mari, venez tout de suite me rejoindre dans la forêt, à la fontaine. » Puis un corps, ensanglanté. Des mots qui lui reviennent en mémoire. « Madame, il faut vraiment que je vous parle, c'est vital. Nous sommes vous et moi en danger. » Une voiture qui la suit, lui rentre dedans. Un cri au secours, un inspecteur dubitatif, jusqu'à ce qu'il découvre aussi le corps. Enfin un nouveau coup de fil. Un souffle. « Vous n'auriez jamais dû mêler la police à toute cette affaire. Cela ne vous a pas suffi de perdre votre mari ? Vous vous en mordrez les doigts ! »
Et la vie d'Eve Langlois prend un tournant des plus inattendus et ne sera plus jamais la même. Mais ça, vous l'auriez deviné tout seul.
Une jeune femme qui se retrouve malgré elle plongée dans une histoire qui la dépasse.
Un mari qui lui a caché d'horribles secrets de son vivant, un inspecteur qui lui tape sur les nerfs, un mystérieux inconnu qui veut la tuer... Il y a des jours comme ça, où l'on se dit qu'on aurait mieux fait de ne pas répondre au téléphone...
En unissant avec merveille polar et humour, en y ajoutant un zeste d'amour (c'est incontournable), Patricia Bogey arrive aussi bien à nous faire rire qu'à nous angoisser.
Des personnages hors normes, une intrigue qui joue on ne peut mieux avec les conventions, de l'action et des péripéties, des insultes et des mots doux, c'est certain, tout est là pour nous - pour vous - faire passer un bon moment, entre émotion et surtout sensations fortes !